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À la recherche de la parole perdue - EDITIONS DE LA HUTTE

Jacques THOMAS la recherchede la parole perdueIIe dition corrig e et remani e ditions de La HutteBP 860123 Bonneuil-en-ValoisSite Web : e-mail : m me auteur :J rusalem traditionnelle et sot riqueJean-Cyrille Godefroy, Paris, 1995 Tableaux de loges et Gravures ma onniquesDervy, Paris, 2005En collaboration :Le livre d or du Compagnonnage(avec Fr d rik Tristan) Jean-Cyrille Godefroy, Paris, 1997 sot risme et Spiritualit Ma onniques(sous le pseudo de Jacob Tomaso, avec douard Maisondieu et JeanLhomme), Dervy, Paris, 2002 Nouveau dictionnaire th matique illustr de la Franc-Ma onnerie(sous le pseudo de Jacob Tomaso, avec douard Maisondieu et JeanLhomme), Dervy, Paris, 2004 IPR SENTATIONEn d pit des affirmations de saint Jean l vang liste ou de cellesde saint Paul, le chemin qui conduit la contemplation Divine n estpas trac clairement par une doctrine pratique ni m mejalonn.

I PRÉSENTATION En dépit des affirmations de saint Jean l’Évangéliste ou de celles de saint Paul, le chemin qui conduit à la contemplation Divine n’est

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1 Jacques THOMAS la recherchede la parole perdueIIe dition corrig e et remani e ditions de La HutteBP 860123 Bonneuil-en-ValoisSite Web : e-mail : m me auteur :J rusalem traditionnelle et sot riqueJean-Cyrille Godefroy, Paris, 1995 Tableaux de loges et Gravures ma onniquesDervy, Paris, 2005En collaboration :Le livre d or du Compagnonnage(avec Fr d rik Tristan) Jean-Cyrille Godefroy, Paris, 1997 sot risme et Spiritualit Ma onniques(sous le pseudo de Jacob Tomaso, avec douard Maisondieu et JeanLhomme), Dervy, Paris, 2002 Nouveau dictionnaire th matique illustr de la Franc-Ma onnerie(sous le pseudo de Jacob Tomaso, avec douard Maisondieu et JeanLhomme), Dervy, Paris, 2004 IPR SENTATIONEn d pit des affirmations de saint Jean l vang liste ou de cellesde saint Paul, le chemin qui conduit la contemplation Divine n estpas trac clairement par une doctrine pratique ni m mejalonn.

2 Ce qui n tonnera glise, les glises, n en soufflent mot. Cependant, en dehorsde ces deux ap tres, d autres t moignages tels ceux de Platon,Plotin, Orig ne ou Maimonide, donnent des r cits d exp riencesmystiques intenses dont on comprend bien qu elles ne sont pas desmythes et que l on sent la port e de l homme de d sir , commele nommait Louis-Claude de Saint-Martin ; mais ces descriptionsrestent des instantan s sans avant ni apr s .D un autre c t , un peu coup e de ses origines chr tiennes,apr s des si cles d volution, voire m me de contre- volution, lafranc-ma onnerie traditionnelle tente de renouer avec la haute spi-ritualit , l int rieur de ses syst mes de hauts grades, o la Parole7perdue , th me r current offert sous divers aspects aux sp cula-tions, claire quelque peu le domaine d une recherche spirituelletoujours en qu te d itin et m me d une simple travail ici pr sent , apr s bient t quarante ans consacr s approfondir le sens de ma d marche, voudrait tr s modestementd caper un peu le sujet, et montrer que tout n est pas aussi flou qu ily para t de prime abord.

3 Et que de r els encouragements sont offerts qui veut les s tonnera peut tre de certains d veloppements concernantdes sujets qui semblent s loigner de notre objectif principal, mais quien fait sont essentiels, parce que repr sentant des tapes fondamen-tales de l initiation ma onnique, tapes souvent ignor es, souvent n gli-g es. Pic, Reuchlin et les kabbalistes chr tiens (peu vus, peu lus), parexemple comptent parmi les plus importants parmi ces sujets, dem me que certains grades, comme celui de l Arche royale ou le Ma tre cossais de Saint-Andr , ce qui justifie pleinement nos yeux d yconsacrer quelques pages, afin de mieux expliciter notre d iinniittiiaattiioonn mmaa oonnnniiqquuee eesstt-eellllee uunn mmyytthhee??Avant d entrer dans le d tail, disons qu en g n ral, on vient enMa onnerie sans savoir o l on va.

4 Quelques ann es plus tard, oncroit mais vingt ans apr s, on ne sait plus trop. Pourquoi ?Parce que le parcours propos , s il est bien balis et relativementefficace dans les premiers grades, perd de vue son itin raire quandl objectif appara t plus lointain, plus lev , peut- tre aussi d uneautre certitude, la franc-ma onnerie transforme les tres qu ellere oit. Ceci est vrai quelle que soit l ob dience fr quent e, quel quesoit le rite la recherche de la parole perdueOn devient franc-ma on, profond ment, au Rite mulationautant qu au Rite cossais Rectifi ou au Rite Fran ais, aussi bien auGrand Orient qu la Grande Loge nationale fran aise ou laGrande Loge unie d Angleterre. C est plus tard, selon les options choisies, rituelles ou/et ob -dientielles, que viendront les diff le corpus ma onnique des deux premiers grades,Apprenti/Compagnon, agissant comme un r v lateur sur celui quis implique, restructure la psych du pratiquant dans sesvaleursmorales, spirituelles et est incontestable,m me si cette transformation n est pas toujours bien accept e pardes pouses qui sentent s chapper, s manciper, un conjoint aupa-ravant bien cadr.

5 Ni par certains patrons qui s tonnent parfois del approche nouvelle que manifestent leurs collaborateurs sur dessujets courants, des pratiques habituelles dans les entreprises, maisquelquefois assez loign s de la bonne moralit , du fair-playou toutsimplement de la bonne ne faut pas le cacher. ce niveau, on peut dire que l initiation ma onnique est uner alit assez facile d celer. Elle forme ce qu on pourrait appelerl homme de d sir pour reprendre la terminologie de Louis-Claude de Saint-Martin. Je ne connais personne m affirmait r cemment mon Parrain(qui n est pas pour autant ni un saint ni un grand homme mais unsolide Ma on tr s exp riment ) sur qui la Ma onnerie n a pasprovoqu une transformation de la personnalit . Mais, m me si elle est fondamentale et d une importance ind -niable dans le parcours spirituel, nous sommes, on doit le relever,9Pr sentationen pr sence d une initiation de premier niveau, d un acc s relative-ment quasi-totalit des syst mes initiatiques , initiations tribales ouinitiations compagnonniques, pour ne citer que les plus r pandues,vont dans ce sens.

6 Avec des champs d action plus ou moins tendus,certes, mais avec les m mes proc d s. Associ es une formation pro-fessionnelle forte, elles donnaient, elles donnent encore leursadeptes, une certaine sup riorit par rapport au monde dit profane. D s le grade de Ma tre, on aborde une autre p dagogie unautre objectif. D aucuns pr tendront peut- tre que l objectif reste lem me et que ce grade, tout comme les suivants, ne sont que des clai-rages particuliers, des mises en valeur de certains aspects d une m merecherche. C est un peu facile, et c est sans doute pourquoi le vieuxMa on s essouffle force de regarder le m me flacon dans tous lessens, sans savoir si ce qu il contient vaut la peine d tre d gust ..Le grade de Ma tre est n de l action concert e des membres dela Royal Society, acquis aux th ories de Francis Bacon exprim es autravers de La Nouvelle Atlantidequi investirent les Loges anglaises la naissance du XVIIIesi cle, provoquant une refondation dusyst me en m me temps qu une remise en forme administrative s v re avec la cr ation de la Grande Loge d noachique, la Ma onnerie devint avec unbut, ambitieux sans tre pour autant tr s lev spirituellement,s approcher au plus pr s de La V rit , la mani re des liens deBensalem, travaillant avec passion dans la Maison de Salomon.

7 10 la recherche de la parole perdueGGrraaddeess hhaabbiittuueelllleemmeenntt pprraattiiqquu ss eenn FFrraanncceeCeci constitue l ensemble des hauts grades habituellement pratiqu s en France. D au-ters existent cependant dans certaines villes, notamment Paris : la SRIA (Societasrosicruciana in Anglia), les Criptic Degrees, etc. Chaque syst me est ind pendant. Iln existe aucune quivalence ni passerelle, pour un grade donn , d un syst me unautre.* Et le compl ment : nautonier de l Arche Royale (Arc mariner).** Les grades not s ici sont ceux r ellement praiqu s. Les autres sont transmis parcommunication . mulation York &Fran aisRectifi R AASd d cosseApprentiApprentiApprentiApprenti CompagnonCompagnonCompagnonCompagnonMa treMa treMa treMa treMa tre cossais de Saint-Andr V n rable ma tre install Ma tre de Marque*V n rable ma treinstall de laMarqueMa on de l ArcheRoyale3ePrincipal2ePrincipal1erPrin cipal1erordre : lu secret2eordre :Grand lu cossais3eordre :Chevalier d orient4eordre :Souverain princeRose-Croix5eordre :(cercle d tudes) cuyer noviceChevalierbienfaisant de laCit Sainte4eMa tre secret9e lu des neuf12eGrand ma trearchitecte14eGrand lu dela vo te sacr e18eChevalierRose-Croix30eChevalierKados h31eGrand princedu royal secret33eSouverain g n ral**11Pr sentationLLee ggrreeffffoonn mmyyssttiiqquueeEn r alit , avant l acquisition du grade de Ma tre, la Ma onneriene comportait qu un seul grade.

8 On tait initi apprenti et, apr s sonapprentissage, on tait re u Compagnon ou Ma tre (appellationn ayant rien voir avec celle de Ma tre de Loge), vraisemblablementau cours d une c r monie dont on ne conna t pratiquement rien,mais dont on sait quand m me qu elle comportait la transmissiond un mot et probablement un rel vement du candidat. Ce rel ve-ment, issu des coutumes op ratives (on en retrouve des traces dansles c r monies compagnonniques) semble li la n cessit de semettre plusieurs pour mettre debout une statue quand elle estachev e. Rappelons que la majorit des statues, statues colonnes enparticulier, taient taill es couch es ; on ne les relevait que pour la mise en place du grade de Ma tre, on a coup l enseigne-ment du corpus ma onnique pour placer un grade de Compa-gnon1, qui autrement n avait plus sa place.

9 La formule adopt e pourle troisi me grade (d veloppement d un psychodrame) a provoqu lamise en place d un mot de ma tre mais aussi d une mystique li e la fois ce mot et au d veloppement de la Kabbale chr pourrait dire qu on a institu l un second niveau d tout ? La coupure effectu e ne se positionne pas exactement de la m me fa on d un rite l autre et certains l ments qui figurent au grade de compagnon dans un rite se retrouventau 1ergrade dans un et la recherche de la parole perdueLe mot de Ma tre a donn lieu de multiples tudes, toutes plussavantes les unes que les autres centr es sur les diff rentes variantesde ce mot, dans leur tat actuel, qui n est qu une collection de motscorrompus, non signalait, il y a un certain temps d j , que ce mot taitune question .. La question, formul e en h breu de cuisine2 c est : qu estle fils qu on peut vocaliser ma haben.

10 Ma = quoi (il aurait t pr f rable de dire Mi = qui).Ha= le ;Ben= r ponse, tant l ancien mot : J le P re3(qui auraitd tre YHVH, plus correcte).Mais le h h breu se prononce un peu de la gorge ; c est unegutturale douce. Et dans l univers ma onnique, par corruption, leh s est transform en K . D o : Makaben d o , par corrup-tion, Makben puis Makbenah, puis ceci se con oit fort bien. on doit dire galementque de nombreux kabbalistes chr tiens4insistaient sur le fait que2. Les r f rences au juda sme sont fort abondantes en Ma onnerie, malheureusement ellessont souvent fautives, parce que corrompues par de mauvaises transmissions, ou tablies pardes Ma ons insuffisamment form s l h et l arch ologie. (voir Le Tuileur de entre autres).3. Jehovah, il faut le noter n tant qu une appellation incorrecte invent e partir d une lecturefantaisiste des voyelles du nom divin YHWH.


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