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Annexe 1. Déroulement séminaire - cfsi.asso.fr

CR S minaire Lom 21 au 24/01/2012 Annexe 1 Annexe 1. D roulement du s minaire 1. Objectifs - pr senter le programme Promotion de l agriculture familiale en Afrique de l ouest et ses enjeux, afin que chaque participant se sente partie prenante d un travail global ; - permettre aux participants de se conna tre et d changer entre eux, voire de cr er des ponts entre leurs activit s ; - apporter du contenu, r fl chir et changer autour des hypoth ses de capitalisation. 2. Participants 37 personnes ont particip ce s minaire, dont 31 repr sentants des organisations porteuses ou partenaires de projets soutenus dans le cadre du programme en 2010 et 2011. Seules les organisations dont les projets portent sur la th matique Nourrir les villes par la production familiale locale ont t invit es participer. Cf. Annexe 2. Liste des participants au s minaire de Lom , 21 au 24 janvier 2012.

CR Séminaire Lomé 21 au 24/01/2012 – Annexe 3 urbains d’Afrique de l’ouest méfiants vis-à-vis des produits locaux et habitués aux produits

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1 CR S minaire Lom 21 au 24/01/2012 Annexe 1 Annexe 1. D roulement du s minaire 1. Objectifs - pr senter le programme Promotion de l agriculture familiale en Afrique de l ouest et ses enjeux, afin que chaque participant se sente partie prenante d un travail global ; - permettre aux participants de se conna tre et d changer entre eux, voire de cr er des ponts entre leurs activit s ; - apporter du contenu, r fl chir et changer autour des hypoth ses de capitalisation. 2. Participants 37 personnes ont particip ce s minaire, dont 31 repr sentants des organisations porteuses ou partenaires de projets soutenus dans le cadre du programme en 2010 et 2011. Seules les organisations dont les projets portent sur la th matique Nourrir les villes par la production familiale locale ont t invit es participer. Cf. Annexe 2. Liste des participants au s minaire de Lom , 21 au 24 janvier 2012.

2 3. Programme Le programme du s minaire a t construit de mani re laisser le maximum de place aux changes entre les participants sur les diff rentes hypoth ses de capitalisation (Cf. Annexe 3. Cadre de questionnement et hypoth ses de capitalisation). Les temps de pr sentation plus formels ont ainsi t r duits au maximum, et l essentiel du programme a t am nag autour de demi-journ es consacr es chacune une hypoth se diff rente. Il s agissait, partir d une pr sentation de projet et de travaux en groupes, de permettre aux participants d apporter du contenu sur l hypoth se et d changer afin de d gager des l ments de consensus, mais aussi de pointer les l ments posant probl me. Samedi 21 janvier Horaires Th matiques Objectifs 8h45 9h Accueil des participants 9h 9h30 Pr sentation des participants Permettre aux participants de se conna tre. 9h30 10h15 Pr sentation du programme Permettre aux participants de connaitre la Fondation de France, le CFSI et le programme Promotion de l agriculture familiale en Afrique de l ouest .

3 10h15 10h45 Pause 10h45 11h30 Pr sentation des projets Permettre aux participants de connaitre les projets repr sent s lors de ce s minaire. 11h30 12h30 Pr sentation de S bastien Bainville : Dans quelle mesure l agriculture familiale peut-elle nourrir les villes ? Permettre aux participants de mieux comprendre en quoi l agriculture familiale est la plus m me de r pondre l enjeu de l enjeu de l alimentation des villes. 12h30 14h D jeuner 14h 18h Echanges autour de l hypoth se 4 de la capitalisation March s de niche, march de masse D gager les l ments de consensus mais aussi ceux posant question, afin d orienter la suite du travail de capitalisation. CR S minaire Lom 21 au 24/01/2012 Annexe 1 Dimanche 22 janvier Horaires Th matiques Objectifs 9h 9h15 Synth se des travaux de la veille Garder en t te les l ments d j abord s pour alimenter la suite des discussions. 9h15 12h30 Echanges autour de l hypoth se 2 de la capitalisation Transformation, conditionnement D gager les l ments de consensus mais aussi ceux posant question, afin d orienter la suite du travail de capitalisation.

4 12h30 14h D jeuner 14h 17h50 Echanges autour de l hypoth se 3 de la capitalisation D marches qualit D gager les l ments de consensus mais aussi ceux posant question, afin d orienter la suite du travail de capitalisation. 17h50 18h Pr sentation du fonctionnement d une ESOP (ETD) Pr parer la visite de terrain du lundi 23 janvier. Lundi 23 janvier Horaires Th matiques Objectifs 8h30 17h30 Visite de l ESOP Soja Nyo, Nots . Permettre aux participants de voir concr tement le fonctionnement d une structure associant entreprise et organisation de producteurs, en vue du travail sur l hypoth se 5 de la capitalisation (cf. mardi 24 janvier). Mardi 24 janvier Horaires Th matiques Objectifs 9h 9h15 Synth se des travaux du dimanche 22 janvier Garder en t te les l ments d j abord s pour alimenter la suite des discussions. 9h15 12h30 Echanges autour de l hypoth se 5 de la capitalisation Concertation entre acteurs ; alliances OP/entreprises priv es D gager les l ments de consensus mais aussi ceux posant question, afin d orienter la suite du travail de capitalisation.

5 12h30 14h D jeuner 14h 16h Echanges autour de l hypoth se 1 de la capitalisation Gestion des stocks, m thodes de conservation D gager les l ments de consensus mais aussi ceux posant question, afin d orienter la suite du travail de capitalisation. 16h30 17h15 Conclusion du s minaire 17h15 18h valuation Avoir un retour des participants sur l organisation et le d roulement du s minaire. CR S minaire Lom 21 au 24/01/2012 Annexe 2 Annexe 2. Liste des participants au s minaire de Lom , 21 au 24 janvier 2012 Organisation Pays Nom, pr nom Fonction ETD Togo ABITOR Komi Directeur ex cutif GERME B nin ADIMOU Jean-Baptiste Coordinateur ETD Togo AGBENIAO Magloire ECHOPPE Togo Togo AGBETO Patrick Comptable OADEL Togo AMETOENYENOU Tata Coordinateur des programmes AVSF Togo ASSIH Essonana Responsable de projet UAR-P Togo AYEBOU Gb gnowou Coordinateur Montpellier Supagro France BAINVILLE S bastien Enseignant chercheur ESSOR Cap Vert BALITEAU Simon Repr sentant au Cap-Vert GRET S n gal BASTARD Guillaume Repr

6 Sentant pays MGE Guin e CAMARA Kerfalla Directeur ex cutif CFSI France CAVALIER Jean-Baptiste Responsable de programme ARDEAR Rh ne Alpes France CLAUDE Beno t Membre de l'association HORTITECHS D veloppement B nin DEGUENON Edgar Maxime S gninou Coordinateur AVDR Mali DIABATE Oumar Pr sident Inter-r seaux D veloppement Rural (IR) S n gal DIAGNE Daouda Membre du CA d'IR - Membre du comit d'orientation et de suivi du programme ICD Mali DIALLO Malick Chef de projet CR S minaire Lom 21 au 24/01/2012 Annexe 2 Organisation Pays Nom, pr nom Fonction UGPAT B nin EGUIADJE Pascal Secr taire UGPM S n gal FALL Ndiakhate Secr taire g n ral GRET France FRANCOIS Martine Membre comit s lection URPROFOS S n gal GUEYE Cheikh Coordinateur ARDEAR Rh ne Alpes France GUYOT Marc Membre de l'association APROSSA Burkina Faso KI Philippe de Kassan Coordinateur INADES C te d'Ivoire KONE BALIMA Kadidja Directrice GRDR France LE COQ Yvan R f rent th matique s curit alimentaire et agriculture familiale Fondation de France (IEDES)

7 France LE NA LOU Anne Membre du comit des solidarit s internationales CDS Burkina Faso MILLOGO Eug ne GRET Burkina Faso NFON-DIBIE Azara Coordinatrice du projet "Beurre de karit " CPF Burkina Faso OUANGRAOUA Flavienne Poko Charg e de suivi- valuation et genre ARDEAR Rh ne Alpes France PIVETEAU St phanie Animatrice Fondation de France (CIRAD) France ROUILLE D'ORFEUIL Henri Membre du comit des solidarit s internationales RHK Mali SARR Ibrahim Directeur des services ENDA GRAF SAHEL S n gal SECK Papa Coordinateur de projet ONG CHIGATA C te d'Ivoire SEKONGO Soungari Directeur Fondation de France France SPITZ Martin Responsable Solidarit s Internales et urgences CR S minaire Lom 21 au 24/01/2012 Annexe 2 Organisation Pays Nom, pr nom Fonction CFSI France TAISNE Anne-Fran oise D l gu e g n rale adjointe CDS Burkina Faso TROARE Joseph JADE Burkina Faso ZONGO Gondougo Adama Coordinateur de programmes CR S minaire Lom 21 au 24/01/2012 Annexe 3 Annexe 3.

8 Cadre de questionnement commun et hypoth ses de capitalisation Extrait du document cadre de capitalisation. 1. Cadre de questionnement commun La th matique Nourrir les villes par la production familiale locale a t retenue en insistant sur la dimension conomique de cette th matique : comment l agriculture familiale locale peut-elle conqu rir les march s urbains ? A travers cette question, il s agit non seulement de savoir comment l agriculture familiale peut nourrir les villes (les produits locaux ont leur place sur les march s urbains, ils peuvent tre comp titifs par rapport aux produits import s, les volumes et la qualit des produits sont ), mais aussi comment la population rurale peut vivre dignement d une activit agricole familiale. On aborde donc les conditions de production, les questions de transformation, stockage, conservation, qualit et commercialisation mais dans un cadre plus global, en insistant sur l approche fili re (produit ou territoire).

9 Le cadre de questionnement se structure autour de deux axes de r flexions : Comment les agricultures familiales, tout en permettant aux paysans de vivre dignement de leur activit , peuvent-elles : - r pondre la demande croissante des march s urbains (en termes de volume, mais aussi en termes de qualit et de r ponse aux attentes des consommateurs) ? (Axe 1) - tre comp titive par rapport aux importations ? (Axe 2) Chacun de ces axes est constitu de plusieurs hypoth ses qui reprennent et prolongent les interrogations exprim es notamment lors du premier s minaire de capitalisation organis Dakar en f vrier 2011. 2. Hypoth ses de capitalisation Ces hypoth ses de d part seront confirmer (vrai), infirmer (faux) et/ou nuancer ( quelles conditions sont-elles vraies ou fausses) au cours du processus. Elles alimentent l une ou l autre des 2 sous-th matiques, parfois les deux en m me temps.

10 1) La gestion des stocks, les m thodes de conservation des produits limitent, voire suppriment, la p riode de soudure : par l coulement des productions tout au long de l ann e, elles favorisent une meilleure s curit alimentaire. Par ailleurs, le stockage contribue stabiliser les prix dans les campagnes comme en ville. La disponibilit des denr es en p riode de soudure limite les fortes hausses des prix aux consommateurs. Les syst mes de vente group e et de cr dit-stockage (type warrantage) permettent d viter que les producteurs ne bradent leurs productions au moment de la r colte en apportant une r ponse aux contraintes de tr sorerie. Enfin, la gestion des stocks et les m thodes de conservation limitent la vuln rabilit des producteurs face aux al as (climatiques, conomiques, etc.). 2) L am lioration de la transformation et du conditionnement des productions offre de nouveaux d bouch s, de nouvelles garanties et de meilleures r mun rations aux producteurs et/ou aux transformateurs.


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