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CENTRE NATIONAL DE LA FONCTION PUBLIQUE …

CENTRE NATIONAL DE LA FONCTION PUBLIQUE territoriale CATEGORIE B TEST D ORIENTATION DATE : Dur e : 3h00 NOM : _____ PRENOM : _____ COLLECTIVITE : _____ FORMATION DEMANDEE Pr paration concours Pr paration examen : Chef de service de Police Municipale Assistant de conservation du patrimoine Animateur R dacteur Technicien Educateur des APS Un concours ou un examen de cat gorie B exige un champ de connaissances largi et une 2 m thodologie de l' crit rigoureuse. Ce test a pour but d' valuer les acquis et comp tences indispensables pour engager une pr paration dans de bonnes conditions.

centre national de la fonction publique territoriale categorie b test d’orientation date : durée : 3h00 nom : _____

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1 CENTRE NATIONAL DE LA FONCTION PUBLIQUE territoriale CATEGORIE B TEST D ORIENTATION DATE : Dur e : 3h00 NOM : _____ PRENOM : _____ COLLECTIVITE : _____ FORMATION DEMANDEE Pr paration concours Pr paration examen : Chef de service de Police Municipale Assistant de conservation du patrimoine Animateur R dacteur Technicien Educateur des APS Un concours ou un examen de cat gorie B exige un champ de connaissances largi et une 2 m thodologie de l' crit rigoureuse. Ce test a pour but d' valuer les acquis et comp tences indispensables pour engager une pr paration dans de bonnes conditions.

2 Comp tences valu es pour chaque s quence S quence 1 analyse, structuration des propos et d veloppement de l information : analyser des informations issues d un texte, les expliquer en d veloppant des r ponses structur es, ma triser les proc d s permettant de mettre en place des relations logiques entre les id es. S quence 2 synth se et d veloppement : effectuer des regroupements d id es partir d un corpus de documents afin d apporter une r ponse structur e une commande pr cise. S quence 3 culture g n rale et territoriale , expression du projet professionnel : formuler avec pr cision et r alisme un projet professionnel, t moigner d une bonne connaissance des d bats contemporains sur la soci t et des probl matiques li es l action PUBLIQUE locale.

3 La ma trise des codes de l crit sera valu e tout au long du test. Un maximum de 2 points sera retranch du total obtenu si la copie du candidat comporte plus de 10 fautes. Le candidat devra apporter des r ponses enti rement r dig es et structur es. Un candidat qui n aborderait pas tous les exercices serait fortement p nalis . Pour int grer la pr paration demand e, un candidat devra obtenir une note finale sup rieure ou gale 10/20. NOMBRE DE PAGES : 18 3 SEQUENCE 1 : ANALYSE, STRUCTURATION DES PROPOS ET DEVELOPPEMENT DE L INFORMATION (16 points) Lire le texte suivant La pr carit nerg tique tait, jeudi 28 mars 2013 Paris, au programme du d bat NATIONAL sur la transition nerg tique lanc par le gouvernement. Les associations ont fait part de leur inqui tude devant un ph nom ne qui touche quatre cinq millions de foyers et est en constante augmentation.

4 Elles ont aussi d plor l absence d indicateurs publics permettant d engager des politiques adapt es. Et regrett un pilotage d ficient. En ouvrant, jeudi 28 mars 2013 Paris, la s ance du conseil NATIONAL du d bat NATIONAL sur la transition nerg tique (DNTE) consacr e la pr carit nerg tique, la vice-pr sidente d ATD Quart Monde, Claire H don, donne le ton en relatant des histoires de familles contraintes de se priver de chauffage ou de soins. Et comme le r sumera la ministre de l Ecologie, du D veloppement durable et de l Energie, Delphine Batho, dans sa conclusion : Des millions de personnes ayant des difficult s payer leur facture d nergie dans un pays comme la France, ce n est pas normal. Un cruel manque de statistiques Mais combien sont-ils pr cis ment, ces pr caires nerg tiques ?

5 Quatre cinq millions de m nages, voil l estimation que l on peut faire aujourd hui de la situation , r pond Franck Dimitropoulos, animateur du R seau des acteurs de la pauvret et de la pr carit nerg tique dans le logement (RAPPEL). En regrettant de ne disposer que de statistiques tr s imparfaites, datant de l Enqu te nationale logement (ENL) men e par l INSEE en 2006 . C est ancien et ant rieur la hausse des prix de l nergie , souligne-t-il. Sur le point d tre lanc e, la nouvelle ENL livrera ses r sultats en 2014, avec trois ans de retard sur le calendrier Une pr carit qui ne cesse de s tendre Charg de mission la Fondation Abb Pierre, Bertrand Lapostolet d plore lui aussi le d ficit de statistiques publiques, car on a besoin d indicateurs pour mener des politiques adapt es.

6 Comme sur le logement, un domaine au c ur de la probl matique de la pr carit nerg tique. L enqu te de l Union nationale des centres communaux d action sociale (UNCCAS), rendue PUBLIQUE le 27 mars 2013, t moigne d un ph nom ne qui ne cesse de s tendre. Les associations caritatives, comme le Secours catholique, fournissent aussi leurs donn es. Mais, faute d enqu tes d taill es, il est impossible aujourd hui de dresser une carte de la pr carit nerg tique. 4 Pas de typologie pr cise Par exemple, touche-t-elle plus la r gion Nord-Pas de Calais que Provence-Alpes-C te d Azur? A priori, oui , estime Franck Dimitropoulos, mais sans pouvoir illustrer cette impression par des chiffres. Le repr sentant du Secours catholique, Fran ois Boulot, affirme de son c t que, dans le Nord-Pas de Calais, les demandes d aide sont plus importantes.

7 De m me, il n existe pas de typologie pr cise des personnes qui subissent cette pr carit . Ce manque devrait toutefois commencer tre combl avec le lancement, d but avril 2013, par le minist re de l Ecologie, d une enqu te nationale. Vive le guichet unique ! Les intervenants ont aussi insist sur l organisation des politiques de lutte contre la pr carit nerg tique, voquant un manque de coordination entre les niveaux nationaux et locaux et une gouvernance peu claire. En mati re de r novation thermique des logements, il faudrait un guichet unique pour les op rateurs, plaide Franck Dimitropoulos. Il serait pilot par les minist res de l Ecologie, du Logement, des Affaires sociales et de la Sant . Un plan NATIONAL d action ne peut fonctionner que s il est d clin localement , poursuit-il.

8 En sugg rant un maillage du pays avec 300 territoires. Donner sa vraie place au pilotage local Concernant l accueil du public, Bertrand Lapostolet d fend aussi le guichet unique. Mais la question ne se d cline pas de la m me mani re Grenoble, dans le Gers ou Paris, soutient-il. Il faut donner sa vraie place au pilotage local, trouver le bon niveau territorial, s inspirer des mod les qui marchent, utiliser au maximum les sch mas existants et ne pas chercher r inventer la poudre l o a fonctionne bien .. O. Schneid | Dossiers d'actualit | France | Publi le 29/03/2013 | Mis jour le 25/06/2013, 5 Exercice 1 : donnez un titre ce texte de 12 mots maximum refl tant la probl matique pos e. (2 points) ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------- R pondre aux 3 questions suivantes en reformulant les informations.

9 Le simple recopiage ou la paraphrase seront p nalis s. Exercice 2 : quels sont les manques av r s combler en mati re d identification des personnes concern es? (3 points).

10 ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ---------------------------------------- ----------------------------6.


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