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Enseigner la course longue à l’école primaire.

Enseigner la course longue l' cole primaire. Pr ambule Les propositions de contenus d'enseignement s'inscrivent dans la continuit du travail engag dans le d partement de l'Is re sur l' laboration des contenus dans l'activit de course longue . (Cf Courir mieux et longtemps l' cole primaire coordonn par G. Janin.). Elles ont t mises en uvre lors des stages de formation continue des enseignants et lors d'une journ e de formation des conseillers p dagogiques du d partement. Elles pourront tre un support pour l' laboration des animations p dagogiques et pour la construction des unit s d'apprentissage.

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1 Enseigner la course longue l' cole primaire. Pr ambule Les propositions de contenus d'enseignement s'inscrivent dans la continuit du travail engag dans le d partement de l'Is re sur l' laboration des contenus dans l'activit de course longue . (Cf Courir mieux et longtemps l' cole primaire coordonn par G. Janin.). Elles ont t mises en uvre lors des stages de formation continue des enseignants et lors d'une journ e de formation des conseillers p dagogiques du d partement. Elles pourront tre un support pour l' laboration des animations p dagogiques et pour la construction des unit s d'apprentissage.

2 Ressources p dagogiques : (colloque AEEPS Intervention M. Pradet et intervention de Dupr - Janin). Enjeux 1- Sortir d'un cadre traditionnel La soci t voluant, les pratiques physiques voluant, la motivation et les repr sentations des l ves voluant, la mise en uvre d'une unit d'apprentissage dans une APSA dite traditionnelle doit conna tre une volution dans son traitement didactique et p dagogique. Des axes et formes de travail sp cifiques sont propos s afin de favoriser une activit physique authentique, porteuse de sens et g n ratrice de progr s.

3 2- Construire une autonomie en acte Les propositions et r flexions visent rendre l' l ve acteur de sa pratique. Pour passer d'une autonomie au niveau des apprentissages d clar e dans les programmes une autonomie en acte dans la vie scolaire, deux axes de travail peuvent tre men s simultan ment. - La premi re entr e va consister travailler sur le projet de l' l ve. Dans le cadre de la course longue , il va falloir amener l' l ve construire et identifier des allures de course , construire des rep res internes (d'essoufflement, de foul es, de dur e) en s'appuyant sur des rep res externes (parcours mat rialis , renseignement donn par un contr leur ).

4 D'autre part, il va falloir amener l' l ve prendre en charge progressivement sa sant en construisant au cours des s ances des habitudes de fonctionnement (tenue adapt e, hydratation, pr paration sp cifique du corps pour cette activit , r cup ration pendant et apr s l'effort, tirements sp ). L'EPS, discipline scolaire se doit par sa sp cificit de contribuer la lutte contre les conduites risque en d veloppant chez les jeunes un habitus de pratique physique positif et r gulier. Si les adolescents en sortant du syst me scolaire pratiquent r guli rement, de fa on raisonnable une activit physique jusqu' un ge avanc en sachant rep rer sur eux les indicateurs de sant , de difficult , de souffrance, de plaisir mais aussi, de savoir se g rer dans sa pratique en sachant s'arr ter, recommencer, ou continuer en fonction des clignotants qu'ils ont construits, on leur permettra de pratiquer toute leur vie durant d'une mani re raisonnable.

5 C'est l une pr occupation essentielle : comment d s le plus jeune ge favoriser cette construction et d finir et mettre en uvre les conditions d'acc s un style de vie actif, des habitudes de pratiques, de d pense et de gestion physique li s un bien tre, un habitus de sant positif ? Quelle est la meilleure direction suivre dans la pratique, l'habillement, la nourriture depuis le moment o ils naissent jusqu' leur adolescence, pour qu'ils vivent longtemps en bonne sant ? Thierry Tribalat IA IPR EPS, interroge notre discipline au regard de la sant.

6 Karine Lemasson CPD EPS 38 janvier 2009. 1. - La seconde entr e va consister travailler sur la construction des r les sociaux. Dans le cadre de la course longue , les enfants vont tre amen s construire le r le de contr leur : l' l ve dans un premier temps rel ve des r sultats puis dans un second temps sera amener . conseiller, renseigner le coureur. D marche propos e : Partir de la pratique, pour faire merger les l ments constitutifs de la comp tence l ve et pour amener des outils permettant la mise en uvre d'une unit d'apprentissage.

7 L'organisation sous forme de phases de course et de phases d' changes permet de faire merger des pistes de r flexion. Les l ments abord s sont promouvoir soit dans le cadre des rencontres (le courseton), soit sur la pr paration en amont de la rencontre, pendant le cycle. Les apports seront r f r s une pratique de course de dur e situ e au cycle 2 et 3. Le travail propos s'appuie sur des distances et temps de course adapt s aux l ves. Objectifs : Les situations propos es ont pour objectif de permettre chaque l ve de s'inscrire dans une d marche de progr s.

8 Ceci n cessite une mise en uvre pratique qui propose aux l ves une activit de course longue authentique qui vise une double finalit : courir avec plaisir et courir avec int r t. Quatre n cessit s : - Quelque soit le niveau de l' l ve et ses qualit s physiques, il se construit un projet. - Proposer des situations vari es (mais pas trop pour viter l'effet du zapping) qui correspondent . un th me de travail identifi par l' l ve, comme tant un moyen de progresser. Les situations propos es ont du sens pour l' l ve.

9 - Renforcer chez le pratiquant le faire donnant la priorit la mise en situation et la motivation de l' l ve, lui permettant parall lement de construire les 1 res r gles de fonctionnement. Dans la 2 me tape seulement, l' l ve sera amen s'interroger sur comment il le fait. Il amorce alors une d marche exp rimentale partir d'hypoth ses mises. - Participer aux fonctions de jeune officiel et tre reconnu dans ces r les. Quelles orientations sont le plus g n ratrices de progr s ? Permettre une quantit de pratique effective et un volume de travail cons quent.

10 Privil gier un travail sp cifique au travail g n ral. C'est- -dire proposer une forme de travail de type fractionn qui pr voit un nombre de s ries et de r p titions allure soutenue offrant des temps de r cup ration sous formes diverses (active, semi active ou compl te), qui sollicite et d ve loppe les ressources des l ves et qui prend en compte les aspects motivationnels de la pratique. Ce travail consiste proposer ainsi aux l ves d'encha ner plusieurs courses (4 6) d'une dur e inf rieure 3 minutes intercal es de course de r cup ration d'1min 1min 30 allure d' chauffement.


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