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Etat de l’art en Imagerie médicale - sfrnet.org

Association Fran aise des Ing nieurs Biom dicaux Etat de l art en Imagerie m dicale GROUPE D EXPERTS AFIB 2014 Coordination POMMIER Marc H pitaux Universitaires Henri MONDOR (APHP) NATAN Jennifer Editorial CH de MONTAUBAN DEFRENNE St phanie Editorial HU Paris SUD (APHP) POMMIER Marc Editorial HU Henri MONDOR (APHP) VERALDO Cyrille Scanner CMN du Parc Dijon DELODE Jo l Scanner CH Aix en Provence Pertuis, LE FLOC H Carine IRM et Mammographie CHRU de MONTPELLIER BORDET Gilles IRM et Mammographie CHU d AMIENS DESLANDES Mika l Echographie CHU de NANTES MIENS Pauline Echographie CHU NANCY GRIVART Philippe Radiologie num rique Clinique PASTEUR CHAVE Laurence Radiologie num rique CH Orange CAVASIN Yannick R seaux et consoles DAPSA ORLEANS SERRE Lise R seaux et consoles HU Henri MONDOR (APHP) SOMMAIRE EDITORIAL : REFLECT ON THE PAST, PREPARE FOR THE FUTURE.

Association Française des Ingénieurs Biomédicaux Etat de l’art en Imagerie médicale GROUPE D’EXPERTS AFIB 2014 Coordination POMMIER Marc

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1 Association Fran aise des Ing nieurs Biom dicaux Etat de l art en Imagerie m dicale GROUPE D EXPERTS AFIB 2014 Coordination POMMIER Marc H pitaux Universitaires Henri MONDOR (APHP) NATAN Jennifer Editorial CH de MONTAUBAN DEFRENNE St phanie Editorial HU Paris SUD (APHP) POMMIER Marc Editorial HU Henri MONDOR (APHP) VERALDO Cyrille Scanner CMN du Parc Dijon DELODE Jo l Scanner CH Aix en Provence Pertuis, LE FLOC H Carine IRM et Mammographie CHRU de MONTPELLIER BORDET Gilles IRM et Mammographie CHU d AMIENS DESLANDES Mika l Echographie CHU de NANTES MIENS Pauline Echographie CHU NANCY GRIVART Philippe Radiologie num rique Clinique PASTEUR CHAVE Laurence Radiologie num rique CH Orange CAVASIN Yannick R seaux et consoles DAPSA ORLEANS SERRE Lise R seaux et consoles HU Henri MONDOR (APHP) SOMMAIRE EDITORIAL : REFLECT ON THE PAST, PREPARE FOR THE FUTURE.

2 3 Jennifer Natan, Marc Pommier, St phanie Defrenne IRM : L IRM POUR TOUS .. 11 MAMMOGRAPHIE .. 27 Carine LE FLOC H, Gilles BORDET SCANNER : L' Imagerie SPECTRALE COMPROMET-ELLE TOUTE OUVERTURE CONCURRENTIELLE ? .. 36 Imagerie MOLECULAIRE : UNE TENDANCE QUI SE CONFIRME ? .. 51 Cyrille VERALDO, Jo l DELODE L ECHOGRAPHIE : A L HEURE DE L INTERVENTIONNEL .. 64 DESLANDES Mikael, MIENS Pauline LA RADIOLOGIE NUMERIQUE : QUELQUES INNOVATIONS ET SURTOUT DES 77 Laurence Chave, Philippe Grivart RESEAUX ET CONSOLES : L ROUTE VERS LE NEUTRAL .. 101 Lise SERRE, Yannick CAVASIN RSNA 2014 pages : 3/118 EDITORIAL Reflect on the Past, Prepare for the Future *Jennifer Natan, **Marc Pommier, ** St phanie Defrenne *CH Montauban, **HU Henri Mondor, ** HU Paris SUD (APHP) Le RSNA c l brait son centenaire cette ann e, une occasion pour revenir sur le chemin parcouru.

3 Fond en 1915, seulement 20 ans apr s la d couverte de la radiographie par Wilhem R entgen, l histoire du RSNA et de la radiologie sont troitement li s. Cent ans d immenses progr s ont vu la radiographie et la radioscopie gagner en pr cision et en dose, et apparaitre l chographie, la tomodensitom trie, l Imagerie par r sonance magn tique et la m decine nucl aire. Ces nouvelles modalit s ont permis de d cupler notre capacit diagnostiquer, mais galement traiter gr ce au guidage des actes th rapeutiques par l Imagerie ou le traitement par radioth rapie, curieth rapie, l'ablation percutan e ou d'autres techniques interventionnelles.

4 Beaucoup de radio-traceurs ont t d velopp s en m decine nucl aire permettant une compr hension des pathologies au niveau cellulaire. Il est difficile d'imaginer ce que les 100 prochaines ann es apporteront, mais elles devront permettre aux radiologues et scientifiques de continuer leurs recherches en collaboration forte avec les industriels pour d velopper les outils de demain indispensables la compr hension des param tres cliniques ou pathologies et conforter la part croissante de l Imagerie dans une prise en charge efficiente du patient. Cependant, les moyens indispensables la recherche et au d veloppement de l innovation sont confront s un climat conomique tendu o la baisse du co t du syst me de sant appara t comme incontournable.

5 RSNA 2014 pages : 4/118 Vers de nouvelles voies : la g nomique et la m decine connect e Dans un contexte conomique morose entra nant un potentiel de croissance dans le segment des quipements d Imagerie limit , nombre d industriels ont annonc leur volont d ouvrir leur portefeuille vers de nouvelles voies : la g nomique et la m decine connect Les regards se tournent vers le d veloppement des nouvelles technologies de s quen age ADN qui offre des opportunit s in dites de recherche et de soins en particulier dans le domaine de l oncologie, faisant de la g nomique un enjeu prioritaire.

6 La comp tence IT d velopp e par les soci t s d Imagerie peut leur permettre de se positionner sur des syst mes de gestion et d utilisation de ces nouvelles datas bases g n r es. La seconde grande tendance consiste adresser les besoins du patient non plus uniquement lors de sa prise en charge curative, mais galement en amont et en aval. En amont, l apparition aujourd hui d un grand nombre d quipements grand public dits connect s int ressent de pr s les industriels. Parfois pour la commercialisation de ces quipements, mais plus fr quemment pour la r cup ration des donn es g n r es. Leur compilation et leur analyse permettraient la d finition de profils statistiques de nature am liorer de mani re pr dictive la sant de la population.

7 En aval, l volution de la prise en charge vers moins d hospitalisation conventionnelle laisse pr sager une explosion des moyens mettre en uvre pour faciliter l hospitalisation domicile. Les industriels s int ressent galement aux solutions techniques qui permettront la surveillance du patient distance par des quipements connect s. Evolution des mod les conomiques Dans un contexte g n ral de r duction budg taire, de nombreuses initiatives de structuration de la fonction achat voient le jour sous l impulsion forte du Minist re de la Sant au travers de son programme PHARE Performance Hospitali re pour les Achats Responsables.

8 Un gain de 910 millions d euros est attendu l horizon des 3 ans. Nous assistons d une part une massification des consultations d achats favoris e par l acc s de tous les tablissements des march s group s via des centrales d achat comme UNIHA et le Resah-IDF, d autre part une volution des mod les d acquisition. Ces derniers visent inclure l ensemble des co ts tout au long de la vie du produit et s assurer de disposer d une technologie jour. L offre industrielle s adapte cette nouvelle donne par la proposition de mod les conomiques plus vari s. Parmi les alternatives fortement avanc es lors de ce congr s, un mod le propos par un industriel vise la r cup ration de l ensemble d un parc d chographes au co t de revient l instant t de sa maintenance avec mise disposition d chographes neufs.

9 RSNA 2014 pages : 5/118 D autres soci t s d veloppent quant elles des solutions de sous-traitance d un plateau technique complet sous forme de projet global cl en main , o m me les ressources humaines peuvent tre mises disposition de l tablissement. Ces solutions alternatives s accompagnent d une pression certaine un allongement des march s qui seraient attribu s pour faciliter l absorption de l amortissement des quipements vis s. Future organisation de l Imagerie dans les territoires loi sant Nouvelle loi sant territoire La Ministre des Affaires Sociales, de la Sant et des Droits des femmes l avait annonc dans son discours de pr sentation du 19 juin 2014, le projet de loi relatif la sant dotera l h pital d une responsabilit nouvelle vis- -vis de son territoire.

10 Pr sent comme l outil permettant d atteindre cet objectif, le Groupement Hospitalier de Territoire (GHT) constitue l une des propositions phares du futur projet de loi. Le GHT se pose en h ritier de la Communaut Hospitali re de Territoire (CHT) dont la suppression serait programm e. Il a pour objet de permettre la mise en uvre d une strat gie commune. La mutualisation de fonctions et activit s interviendrait toujours par le biais de d l gations ou de transferts de comp tences entre tablissements. La convention constitutive du GHT doit seulement d finir la strat gie m dicale unique. L adh sion un GHT constituerait une obligation pour les tablissements publics de sant.