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EUROPE L’ICH, clé de voûte de l ... - …

De l Ordre national des pharmaciensLe journalAvec l Ordre national des pharmaciens, l information de r f rence pour la professionACTUALIT SACTUALIT SNovembre 2013 N 30 DITO / { DOSSIER } RENCONTREEN PRATIQUER etrouvez toutes les volutions r glementaires PAGE 11 Une question ? L Ordre vous r pond PAGE 14 SANT En ligne : la base de donn es publique des m dicaments de la DGS PAGE 3 ORDRE Isabelle Adenot part la rencontre des jeunes et futurs pharmaciens PAGE 5 EUROPE L ICH, cl de vo te de l harmonisation r glementaire des m dicaments dans le monde PAGE 6 Patrick Bouet, nouveau pr sident du Conseil national de l Ordre des m decins (CNOM) PAGE 10 QUESTIONS & R PONSESUTOPIE OU PRAGMATISME ?La magie de la pens e ne saurait exon rer du r alisme de la pratique.

de lOrdre national des pharmaciens Le journal Avec lOrdre national des pharmaciens, l’information de référence pour la profession ACTUALITÉS

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1 De l Ordre national des pharmaciensLe journalAvec l Ordre national des pharmaciens, l information de r f rence pour la professionACTUALIT SACTUALIT SNovembre 2013 N 30 DITO / { DOSSIER } RENCONTREEN PRATIQUER etrouvez toutes les volutions r glementaires PAGE 11 Une question ? L Ordre vous r pond PAGE 14 SANT En ligne : la base de donn es publique des m dicaments de la DGS PAGE 3 ORDRE Isabelle Adenot part la rencontre des jeunes et futurs pharmaciens PAGE 5 EUROPE L ICH, cl de vo te de l harmonisation r glementaire des m dicaments dans le monde PAGE 6 Patrick Bouet, nouveau pr sident du Conseil national de l Ordre des m decins (CNOM) PAGE 10 QUESTIONS & R PONSESUTOPIE OU PRAGMATISME ?La magie de la pens e ne saurait exon rer du r alisme de la pratique.

2 Le projet de dispensation l unit a surpris tous les pharmaciens, y compris les repr sentants de la profession. Apprendre par les m dias, sans concertation pr alable, le devenir de sa profession est, le mot est faible, d sagr able. Cette d claration minist rielle unilat rale que l arr t sur les bonnes pratiques de pr paration de doses administrer pour une dispensation unitaire, notamment en Ehpad, est attendu depuis plus d une dizaine d ann es, c est un nouveau mode de dispensation qui est maintenant propos dans le PLFSS. titre exp rimental et pour une p riode de quatre ans, la d livrance dans des offi cines de pharmacie des m dicaments usage humain appartenant la classe des antibiotiques se fait l unit , lorsque leur forme pharmaceutique le permet.

3 Si les parlementaires approuvent le projet d exp rimentation, c est par d cret que les pharmaciens sauront comment ils seront d sign s . C est aussi par d cret que les n cessaires conditions de mise en uvre seront d termin es. L intendance suivra, selon la c l bre expression du g n ral de dans certains pays, et non des moindres, les pharmaciens dispensent l unit . Mais ils sont organis s pour cela. Certes le bon usage des antibiotiques est particuli rement essentiel, mais les conditionnements de ces m dicaments ont t revus pour tre au plus proche des dur es de traitement recommand es. Certes tous les m dicaments dispens s ne sont pas utilis s, mais, on le sait tous, plus par d faut d observance que pour toute autre raison. Votre Ordre a pour mission de contribuer promouvoir la sant publique et la qualit des soins, notamment la s curit des actes professionnels.

4 Ce titre il interroge : Quid de l information des patients ? Quid de la tra abilit ? Quid de la facturation ? Quid de la juste reconnaissance du temps pass ? Quid des moyens de preuves que les pharmaciens pourront opposer pour garantir que le m dicament dispens est le bon ? Quid de l inscription dans le DP ? Quid du co t global ?Cette proposition d exp rimentation faite urbi et orbi, sans s tre assur au pr alable des pr mices de r ponses ces questions ni de l appui du terrain, suscite l incompr hension des professionnels tant le r el est complexe. Dans quelques jours, nous saurons si elle devient r alit . Si tel est le cas, l valuation permettra au moins de trancher la question !Isabelle Adenot, pr sident du CNOPM obilisant le savoir-faire et l expertise des pharmaciens, les pr parations magistrales et officinales constituent un aspect embl matique du m tier.

5 Pour les r aliser dans les r gles de l art, une connaissance de la r glementation et de ses volutions r centes est indispensable. Le point sur vos questions les plus fr quentes. lire page 7PR PARATIONS L OFFICINE : R PONSES AUX QUESTIONS QUE VOUS POSEZ R GULI REMENT L ORDRE 2 Le journalACTUALIT S#30 Novembre 2013 Ordre national des pharmaciens { RETENIR }SANT En savoir plus > Les dossiers > Semaine de la s curit des patients 3e dition > Actualit s 2013 > 25-29 novembre : Semaine de la s curit des patients22 ONHH3semainede la s curit des patientsdu 25 au 29 novembre EBDUJPO #VSFBV RVBMJU FU T DVSJU EFT QBUJFOUT %(04 t $S BUJPO 3 'MFVSZ %*$0. t $PNQPTJUJPO " $IBVWFBV %(04 t EJUJPO %*$0. t %J VTJPO 4 t 4 FQUFNCSF ensemble engageons-nous pour des soins plus s rscommuniquerbien utilisersortirPour votre exercice pharmaceutiqueDu 25 au 29 novembre 2013 se tiendra la 3e Semaine de la s curit des patients.))

6 Une campagne de sensibilisation dans laquelle les pharmaciens ont un r le important th mes f d rateurs Organis e par la Direction g n rale de l offre de soins (DGOS), cette nouvelle dition s inscrit dans le programme national pour la s curit des patients lanc en f vrier dernier. Elle t moigne de l impli-cation forte de l ensemble des professionnels de sant en faveur d une meilleure sensibilisation des patients comme coacteurs de leur s curit . Trois th mes seront l honneur : bien utiliser les m dicaments ; favoriser la communication et apprendre de ses erreurs ; bien pr parer la sortie du patient hospitalis .Chacun de ces th mes fera l objet d animations et d initiatives, partout en France. Campagnes d in-formation, actions de terrain, v nements locaux : autant d interventions pour sensibiliser les publics au r le pr pond rant des pharmaciens dans la s curisation de l offre de s 365 jours par an !

7 Le bon usage du m dicament et la s curit des patients sont des priorit s permanentes pour les pharmaciens : de nombreuses initiatives, tous m tiers confondus, accompagnent la mobilisation au jour le jour des pharmaciens pour la qualit et la continuit du suivi m dicamenteux. La mise disposition d outils visant renforcer la s curit de la dispensation, comme le Dossier Pharmaceutique (DP) ou encore le d ploiement d un plan d action sp cifique pour renforcer la qualit de l exercice l officine , s inscrit dans la d marche de l Ordre. Le dialogue quotidien entre soignants et soign s est au c ur de l exercice pharmaceutique ; il participe une relation de confiance et une offre de soins s curis e , rappelle Isabelle Adenot, pr sident du Conseil national de l Ordre des pharmaciens (CNOP).

8 Le programme de la manifestation d couvrir en ligne Pour couvrir l int gralit de cette semaine, la DGOS a fortement encourag les professionnels s im-pliquer et a notamment organis un concours pour la r alisation de vid os sur le th me Ensemble engageons-nous pour des soins plus s rs . Parmi les participants, la pharmacie usage int rieur (PUI) du centre hospitalier de Lun ville a r alis un court-m trage sur la contribution du DP la d marche de conciliation des traitements m dicamenteux. Une op ration de communication qui s inscrit dans les nombreuses actions de l organisme tout au long de l ann e pour de meilleurs changes entre ville et h pital. Autre initiative : celle d une pharmacie situ e San-dillon, dans le Loiret, qui, en partenariat avec l UFR de pharmacie de l universit de Tours et l OM DIT Centre, a mis en ligne un film sur le th me du suivi des patients apr s une sortie d h pital.

9 La totalit des vid os r alis es dans le cadre de ce concours ainsi que le programme complet de la semaine sont disponibles sur le site du minist re de la Sant .Apr s le vif succ s de l dition 2012, qui a vu la mobilisation de plus de 3 000 structures de sant , gageons que cette 3e Semaine de la s curit des patients saura de nouveau r unir professionnels et grand public autour de pr occupations SEMAINE DE LA S CURIT DES PATIENTS ENSEMBLE ENGAGEONS-NOUS POUR DES SOINS PLUS SURS Des outils votre disposition Pour accompagner l v nement, des outils sont galement mis votre disposition sur : une affiche incitant les patients communiquer avec les professionnels de sant ; et deux d pliants, respectivement destination des professionnels et des patients, sur le th me du bon usage des m dicaments.

10 Ondans tron : l ANSM met jour ses recommandationsL Agence nationale de s curit du m dicament et des produits de sant (ANSM) a publi une mise jour de l information sur la posologie de l ondans tron pour administration intraveineuse. Une actualisation qui concerne le Zophren et g n riques, et qui s adresse particuli rement aux oncologues, aux pharmaciens hospitaliers et aux pharmaciens d savoir plus : , rubrique S informer > Ondans tron (Zophren et g n riques) et allongement dose-d pendant de l intervalle QT : mise jour de l information concernant la posologie de la forme pour administration intraveineuse (IV) - (2/10) Nouveaux anticoagulants oraux : l ANSM lance un appel la vigilance En septembre dernier, l ANSM a alert les professionnels de sant sur les risques h morragiques, parfois graves, li s aux nouveaux anticoagulants oraux (apixaban, dabigatran et rivaroxaban).


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