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Exemples de problématiques

M thodologieExemple de probl matiquesLes prescriptions d achat mises par les internautes sur les sitesd opinions de consommateurs jouissent-elles d une cr dibilit suffisante pour d stabiliser les journaux consum ristes ? H1 : Les sites d opinions de consommateurs sont suffisamment ind pendants desmarques et des entreprises commerciales pour assurer une r elle cr dibilit etfiabilit leur contenu. H2 : Les prescriptions crites par des consommateurs amateurs sont de qualit suffisante pour orienter des d cisions d achat. H3 : La dynamique communautaire des sites d opinions de consommateursgarantit une certaine cr dibilit aux prescriptions diffus es. H4 : Les cyberconsommateurs accordent davantage leur confiance auxprescriptions mises sur les sites d opinions plut t qu aux discours experst desjournalistes. H5H5 ; Les sites d opinions de consommateurs affectent les journaux consum ristesqui les per oivent comme une thodologieExemple de probl matiquesLes avis des consommateurs dispens s sur l internet sont-ilsen train de transformer les rapports entre consommateurs etentreprises ?

Exemple de problématiques Les prescriptions d’achat émises par les internautes sur les sites d’opinions de consommateurs jouissent-elles d’une crédibilité ... Exemples de problématiques.ppt Author: JLM Created Date: 10/9/2009 5:34:43 PM ...

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1 M thodologieExemple de probl matiquesLes prescriptions d achat mises par les internautes sur les sitesd opinions de consommateurs jouissent-elles d une cr dibilit suffisante pour d stabiliser les journaux consum ristes ? H1 : Les sites d opinions de consommateurs sont suffisamment ind pendants desmarques et des entreprises commerciales pour assurer une r elle cr dibilit etfiabilit leur contenu. H2 : Les prescriptions crites par des consommateurs amateurs sont de qualit suffisante pour orienter des d cisions d achat. H3 : La dynamique communautaire des sites d opinions de consommateursgarantit une certaine cr dibilit aux prescriptions diffus es. H4 : Les cyberconsommateurs accordent davantage leur confiance auxprescriptions mises sur les sites d opinions plut t qu aux discours experst desjournalistes. H5H5 ; Les sites d opinions de consommateurs affectent les journaux consum ristesqui les per oivent comme une thodologieExemple de probl matiquesLes avis des consommateurs dispens s sur l internet sont-ilsen train de transformer les rapports entre consommateurs etentreprises ?

2 H1. Il existe, c t de la communication d'entreprise, un ensemble coh rent etidentifiable qui correspond l ensemble des communication sur une entreprisemais ne provient pas d Les avis des consommateurs visibles sur les sites internet de distributeursou de consommateurs constituent une forme de communication exog nesp Les consommateurs utilisent de plus en plus ces avis pour choisir Les fabricants et les distributeurs n exploitent pas ces Les avis des consommateurs d passent le cadre du mouvementconsum riste et pr figurent de nouveaux rapports entre entreprises thodologieExemple de probl matiquesLa pratique et la reconnaissance du coaching syst mique passent-elles par une segmentation de ses qualit s en diff renciant lediscours en fonction des publics et de leur culture ou par unepr sentation globale au risque de brouiller le message ?

3 H1 : Le coaching suscite de plus en plus d int r t, notamment chezles dirigeants de PME. SH1A : Le coaching est de plus en plus pr sent dansl entreprise. SH1B : Les atouts des coachs passent par leurprofessionnalisation H2 : Une meilleure lisibilit de l offre de de coaching par rapport la demande permettrait une meilleure appr hension de la pratiquepar les PME SH2A : Les multiples facettes du coaching engendrent desconfusions. SHEB : L am lioration de la lisibilit est thodologieExemple de probl matiquesLa communication sur le patrimoine culturelest-elle un vecteur d image efficace et fiableau service du d veloppement attractif de laville d Angers ? H1 : La politique d image est-elle au c ur de lacommunication sur le patrimoine culturel ? H2 : La communication sur le patrimoine culturel,porteuse d image, est-elle au service d unpositionnement identitaire dynamique de la villed Angers ?

4 M thodologieExemple de probl matiquesLe v tement est-il cr ateur decomportements sociaux ? H1 : Le v tement est un moyen d introduction m taphorique devaleurs nouvelles SH1A : Les nouvelles tribus sociales sont porteuse de messages SH1B : Les cr ateurs de mode ont un engagement id ologique H2 : L adoption d une parure vestimentaire modifie lecomportement H3 : Il existe un manipulationnisme en mati re de v tements SH3A : La presse a un pouvoir de focalisation SH3B : les bureaux de style ont une influence sur la mode SH3C : les tendances se gouvernentM thodologieExemple de probl matiquesLes r seaux d affaires, en s inscrivant dansles m thodes de la communication BtoB,permettent-ils de r aliser efficacement lesobjectifs souhait s par leurs membres ? H1 : Les r seaux d affaires professionnels combinent-ils les outilsclassiques du BtoB ?

5 H2 : Peut-on ne d duire que les r seaux d affaires sont unenouvelle forme du BtoB ? H3 : Cette nouvelle action de communication permet-elled atteindre les objectifs commerciaux et financiers attendus ?M thodologieExemple de probl matiquesLa mise en place d une identit et d une culture Gemy est-elle un moyen suffisantd atteindre les objectifs conomiques et demotiver l ensemble du personnel H1. La culture d entreprise favorise l int gration deschangements H2. La simple int gration de la communication interne nesuffit pas pour int grer les acteurs H3. L accompagnement personnel des collaborateurs lorsde l introduction de changement dans l entreprise devientune n cessit M thodologieExemple de probl matiquesLe positionnement sant d un rayon de Fraisest-il une solution marketing adapt e aux attentesdes consommateurs ?H1.

6 Les produits sp cifiquement destin s am liorer l tatde sant repr sentent un segment porteur pour le march des produits Les produits sant r pondent aux attentes actuelles dela consommation des ann es C est en entretenant une ambiguit avec le mondem dical que ces marques tentent de convaincre Ces produits entrent dans la tendance actuelle vouloirg rer soi m me son tat de sant .M thodologieExemple de probl matiquesLa communication destin e l exportation des vinsfran ais peut-elle se satisfaire de la diff renciationbas e sur les terroirs ou doit-elle s inspirer de celledes vins trangers et se fonder sur des territorialit splus vastes afin de s adapter au march internationalconcurrentiel ?H1. Les consommateurs (fran ais et trangers) ont-ils unevision pr cise de cette offre diversifi e ?H2. La qualit des vins trangers semble avoir suivi uneam lioration dans le cadre de la construction d un savoir faireparticulier chaque Les structures viticoles de communication ont-elles lesatouts suffisants pour remplir cet objectif de promotion(compte tenu de la loi Evin).

7 M thodologieExemple de probl matiquesLes r seaux d affaires, en tant que nouvelle actionde communication B2B employ e par lesprofessionnels permettent-ils de r aliser lesobjectifs d affaires souhait s par leurs membres ?H1. Les r seaux d affaires professionnels combinent-ilsdes outils classiques de B2B ?H2. Peut-on en d duire que les r seaux d affaires sont unenouvelle action de B2B ?H3. Cette nouvelle action de communication permet-elled atteindre les objectifs souhait s par ces membres,permet-elle de r aliser des affaires ?M thodologieExemple de probl matiquesLes t l -crochets sont-ils encore r v lateursd auteurs-compositeurs-interpr tes ?H1. Derri re les candidats issus des t l -crochets, il y ades auteurs-compositeurs-interpr tes qui, gr ce ausucc s de leurs titres crits pour ces candidats, peuventcontinuer leur carri re de chanteurH2.

8 Les t l -crochets actuels ont involontairement t l l ment moteur de la m diatisation de La nouvellechanson fran aise , compos e uniquement d auteurs-compositeurs-interpr tesM thodologieExemple de probl matiquesL utilisation du sport par l entreprise, s inscrivantdans une d marche de team building, permet-elled exporter ses valeurs vers la culture d entrepriseet l esprit d quipe ?H1. En travaillant sur la vision collective, le teambuilding permet de renforcer l enveloppe culturellepartag e par l quipeH2. L usage du sport favorise la conscience del L utilisation du sport est une base de travail,elle ne garantit pas elle seule une action de teambuilding thodologieExemple de probl matiquesLes s ries t l vis es peuvent-elles treconsid r es comme des moyensimplicites d initiation l intelligence motionnelle ?H1. Les s ries tv, par le biais des personnages, seservent des rudiments de l' Les individus/t l spectateurs rep rent lesstrat gies motionnellesemploy es par les personnages de s ries Les individus sont conscients de l'usage qu'ilsfont de leurs thodologieExemple de probl matiquesLe dispositif de production, incluant le casting etla mise en sc ne de Star Acad my, repose t-ilessentiellement sur l identification des jeunes auxprotagonistes ?

9 H1. L audimat d missions t l vis es se fonde sur leph nom ne d Avec la construction de profil-type, l missionaugmente l efficacit d une identification aux protagonistesemploy es par les personnages de s ries Le dispositif de production mis en place favorisel identification des jeunes aux thodologieExemple de probl matiquesLes strat gie cr atives d velopp es dans le cadre des affichesde films varient-elles en fonction du contexte culturel, savoirceux de deux pays forte culture cin matographique comme laFrance et les Etats Unis ?H1. L affiche de cin ma tant un genre parfaitement identifiable r gie par desnormes de composition, il n existera donc pas de diff rences significatives dans lecontenu typographique recens et sa g ographie au sein des affiches am ricaines etfran aises. (entre les attributs typographiques recens s et leur agencement dans l espacedes affiches).

10 H2. La sophistication du visuel utilis pour repr senter le film sera diff rent d un pays l autre. Les affiches de films am ricains misent sur des visuels chocs et sophistiqu s alorsque les affiches fran aises tendront vers plus de simplicit .H3. Les cr ations am ricaines permettent travers des codes pr cis, une identificationclaire du genre cin matographique du film, codification beaucoup moins nette en Le rapport et le type de communication que l affiche tablit avec le spectateur diff red un pays l thodologieExemple de probl matiquesLes strat gie cr atives d velopp es dans le cadre des affiches de filmsvarient-elles en fonction du contexte culturel, savoir ceux de deuxpays forte culture cin matographique comme la France et les EtatsUnis ?H1. L affiche de cin ma tant un genre parfaitement identifiable r gie par des normes decomposition, il n existera donc pas de diff rences significatives dans le contenu typographique recens et sa g ographie au sein des affiches am ricaines et fran aises.


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