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- FICHE BILAN SUR LE THEATRE 1/6 - Zone littéraire

Synth se tablie par D-A Carlier - FICHE BILAN SUR LE THEATRE 1/6 - FICHE BILAN SUR LE THEATRE 2/6 Le th tre est un genre litt raire particulier. Il est caract ris par une double communication (le th tre est la fois un texte lu, mais aussi un art repr sent sur sc ne et qui est vu par un spectateur) D finition : du grec th mai ( regarder ), le th tre est avant tout un spectacle dans lequel des acteurs donnent vie aux personnages et agissent devant un public. Un texte de th tre se pr sente en actes, d coup s en sc ne, compos es de dialogues et de didascalies qui apportent des informations en vue de la mise en sc ne. -La didascalieindication sc nique qui donne les informations n cessaires : pour le lecteur : elles permettent de conna tre le nom des personnages, les divisions en actes et en sc nes, les pr cisions spatio-temporelles, les gestes et toutes les indications de mise en sc ne donn es par l auteur.

Synthèse établie par D-A Carlier FICHE BILAN SUR LE THEATRE –5/6 - FICHE BILAN SUR LE THEATRE –- 6/6 1) Le théâtre de l’absurde Les règles:

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1 Synth se tablie par D-A Carlier - FICHE BILAN SUR LE THEATRE 1/6 - FICHE BILAN SUR LE THEATRE 2/6 Le th tre est un genre litt raire particulier. Il est caract ris par une double communication (le th tre est la fois un texte lu, mais aussi un art repr sent sur sc ne et qui est vu par un spectateur) D finition : du grec th mai ( regarder ), le th tre est avant tout un spectacle dans lequel des acteurs donnent vie aux personnages et agissent devant un public. Un texte de th tre se pr sente en actes, d coup s en sc ne, compos es de dialogues et de didascalies qui apportent des informations en vue de la mise en sc ne. -La didascalieindication sc nique qui donne les informations n cessaires : pour le lecteur : elles permettent de conna tre le nom des personnages, les divisions en actes et en sc nes, les pr cisions spatio-temporelles, les gestes et toutes les indications de mise en sc ne donn es par l auteur.

2 -La r pliquer ponse d un personnage un autre. : -La tiradec est une longue r plique qui a pour but de convaincre, de : persuader, d expliquer ou d avouer. -L apart un personnage prononce des propos, en pr sence d autres : personnages, que seul le public entend, ce qui provoque un effet comique. -Le monologueune longue tirade dite par un personnage qui s adresse : lui-m me, seul sur sc ne. Il permet au personnage de faire le point sur sa situation, sur la difficult qu il prouve pour communiquer ou pour exprimer des h sitations quant une d cision qu il doit prendre. -Le quiproquoincompr hension, malentendu qui survient dans un change : de paroles. Chaque personnage interpr te mal ce que dit l autre. -La stichomythier pliques courtes qui peuvent parfois tre violentes et : qui forment un change rapide, rythm.

3 -Le coup de th tre p rip tie inattendue qui constitue un : renversement de situation ; cela cr e un effet de surprise dans le public. - deus ex machina expression latine qui d signe un v nement dont : l intervention peu vraisemblable r sout comme par miracle les probl mes que rencontre le personnage. -Dramaturge :auteur de pi ces de th tre. : lorsque dans une pi ce, les personnages se -Th tre dans le th tre mettent jouer la com die, interpr ter un autre r le. 1) La sc ne d exposition La sc ne d exposition occupe le plus souvent la (ou les) premi res sc ne(s). Elle Elle a pour r le de donner toutes les informations n cessaires la compr hension de la situation : les lieux, l poque, les personnages, leur classe sociale, l intrigue.

4 2) Le n ud dramatique C est le moment o les obstacles apparaissent. Il permet d encha ner les p rip ties et les coups de th tre, ainsi que des retournements de situation. 3) L intrigue Elle regroupe toutes les p rip ties qui font progresser l action ou la ralentissent. 4) Le d nouement Il occupe la plupart du temps les derni res sc nes. Il permet de r soudre le n ud dramatique et marque la fin de l action. La mise en sc ne est constitu e de diff rents l ments : l interpr tation du texte, le jeu des com diens, les costumes, l exploitation de la sc ne, les lumi res, le d 1) L interpr tation du texte Le metteur en sc ne, comme tout lecteur, a sa propre vision de la pi ce (perception des personnages, de leur ). Sa compr hension de la pi ce conditionne la fa on dont il va construire sa mise en sc ne.

5 2) Le jeu des com diens A partir des indications donn es par l auteur dans les didascalies, le metteur en sc ne doit repr senter leur jeu. Le metteur en sc ne d cide du d placement des personnages sur sc ne, de leur gestuelle, des motions qu ils vont traduire (tristesse, motion, peur, ). 3) Les costumes : Ils ont une importance primordiale au m me titre que le d cor. Ils ont pour fonction d informer le spectateur sur : l poque, le milieu social, le caract re des personnages. 4) Le d cor & les lumi res : De m me que les costumes, le d cor et le jeu des lumi res jouent un r le important pour situer l action de l histoire de la pi ce d un point de vue historique et social. A) Le th tre antique Dans l Antiquit , le th tre s apparente un rite religieux en hommage Dionysos, dieu de l ivresse.

6 Il a aussi une dimension politique : en Gr ce, les I. Le langage th tral II. La structure d une pi ce de th tre III. La mise en sc ne IV. L volution du genre th tral Synth se tablie par D-A Carlier - FICHE BILAN SUR LE THEATRE 4/6 - FICHE BILAN SUR LE THEATRE 3/6 sc ne des personnages illustres confront es des forces qui les d passent. Elle est soumise des r gles strictes propres au classicisme et se r f rant la tradition d Aristote (cf V. A). La com die repr sente des personnages et des situations beaucoup plus communs. Sa fonction est de faire rire et de corriger les m urs. La tragicom die : La tragi-com die se situe entre la trag die et la com die, elle appara t d s le XVII s. Ex de tragi-com die : L Illusion comique de Corneille (1635).

7 D) Le th tre du XVIII s Au XVIII s, la com die s inscrit dans l lan contestataire du si cle. Gr ce au th tre, on critique les privil ges : Le Mariage de Figaro (1784) de Beaumarchais. On s interroge sur la relation ma tres et valets, comme dans L le des esclaves de Marivaux (1725). Les pi ces s orientent aussi vers l analyse psychologique des personnages et de leurs E) Le th tre du XIX s Le XIX s offre aussi une production th trale tr s riche, notamment avec le drame romantique. - Le drame romantique : premi re partie du XIX s. Le drame romantique s oppose la trag die classique. Le contexte historique complexe de cette p riode provoque un besoin de libert : on s affranchit des r gles classiques (r gle des trois unit s : temps (24h), lieu (un seul) ; on conserve l unit d action : une seule intrigue principale).

8 C est Hugo qui fixe la th orie du drame romantique dans la pr face de sa pi ce Cromwell (1827). Le drame romantique permet de jongler avec les registres, d adopter diff rents niveaux de Drames romantiques : Hernani de Hugo (1830), Lorenzaccio de Musset (1834). - Autres genres dramatiques de l poque : le vaudeville (com die l g re o quiproquos et rebondissements ponctuent la vie des personnages, souvent confront s l adult re. Ex : pi ces de Labiche) ; le th tre de boulevard (qui met en sc ne de fa on comique la vie bourgeoise). F) Le th tre du XX s Au XX s, les conventions et le langage th tral ne r pondent plus aux mod les traditionnels m me si quelques auteurs reprennent les mythes antiques. Le th tre du XX s est plus que jamais soucieux de d livrer un message et veut jouer un r le primordial dans la r flexion sur la nature humaine.

9 Repr sentations sont organis es par les magistrats. A Rome, elles sont orga- -nis es par les hommes politiques ; elles sont aussi financ es par de riches citoyens. Les th mes trait s sont emprunt s l actualit de fa on ce que le th tre soit aussi un outil p dagogique pour le peuple. En Gr ce, les pauvres per oivent m me une r mun ration s ils assistent au spectacle. Dramaturges antiques : Sophocle, Euripide (Grecs) ; Plaute, S n que le Jeune (Romains). B) Le th tre du Moyen- ge et du XVI s Le th tre du M-A est galement li au culte religieux. La repr sentation se faisait en latin, le plus souvent dans des glises et les religieux faisaient la plupart du temps office d acteurs. Les myst res sont des pi ces d inspiration religieuse, qui peuvent se poursuivre jusqu 4 jours.

10 Les textes sont compos s en vers que jouent parfois plus de deux cents acteurs. Les farces sont des pi ces profanes (non religieuses) qui apparaissent au XIII s. Ce sont des pi ces crites pour faire rire le public des villes. Elles mettent en sc ne des personnages de la vie quotidienne : bourgeois, marchands, maris cocus, femmes aux m urs l g res. Elles critiquent les m urs de l poque. Au XVI s, le th tre est marqu par les d buts de la trag die fran aise avec Jodelle. Le th tre commence s inspirer de la commedia dell arte, le th tre italien n Bergame au XVI s. Il s agit d un th tre o l improvisation prend une grande place (personnages : Arlequin, Polichinelle, ) C) Le th tre du XVII s Le XVII s est le si cle du th tre.


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