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GUERIR LE CERVEAU NATURELLEMENT - neurofit.ch

1 GUERIR LE CERVEAUNATURELLEMENT- Comprendre et prendre en charge l hyperactivit , le d ficit d attention, les troubles ducomportement, les difficult s scolaires, les troubles du d veloppement et l autisme -PARTIE , METABOLISME ET NEUROTOXICITEDr. Yannick PAULIINTRODUCTIONDans la premi re partie de cet article, nousavons examin les facteurs neurologiques quisont l origine de troubles de l apprentissage,du comportement et du d notre qu te, nous avons d couvert queces troubles trouvaient une origine communedans l hypo-fonctionnalit ou le retard ded veloppement de certaines zones du CERVEAU ,dysfonctionnements que nous avons appel l sion neurologique et h misph ricit c r avons galement d couvert que lescauses de l h misph ricit c r brale et desl sions neurologiques taient dues un stylede vie s dentaire.

4 substances allergènes affectent la qualité de notre digestion et de notre absorption, en provoquant des oedèmes et des inflammations de la muqueuse intestinale.

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  Digestion, Absorption, Et des, Digestion et

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1 1 GUERIR LE CERVEAUNATURELLEMENT- Comprendre et prendre en charge l hyperactivit , le d ficit d attention, les troubles ducomportement, les difficult s scolaires, les troubles du d veloppement et l autisme -PARTIE , METABOLISME ET NEUROTOXICITEDr. Yannick PAULIINTRODUCTIONDans la premi re partie de cet article, nousavons examin les facteurs neurologiques quisont l origine de troubles de l apprentissage,du comportement et du d notre qu te, nous avons d couvert queces troubles trouvaient une origine communedans l hypo-fonctionnalit ou le retard ded veloppement de certaines zones du CERVEAU ,dysfonctionnements que nous avons appel l sion neurologique et h misph ricit c r avons galement d couvert que lescauses de l h misph ricit c r brale et desl sions neurologiques taient dues un stylede vie s dentaire.

2 Des dysfonctions dusquelette axial et de sa musculature posturale, des traumatismes divers ainsi qu certainsfacteurs avions galement mentionn de mani retr s br ve que ces dysfonctions neurologiquespouvaient aussi tre la cons quence ded ficiences nutritionnelles, de troublesm taboliques et de facteurs pendamment de la cause, le syst menerveux est n anmoins impliqu dans tous lescas. C est lui qui traduit la cause sous-jacenteen expression symptomatique du nous semble donc fondamental decomprendre qu il est bien moins important dedonner un nom l expression symptomatique(par exemple hyperactivit ou autisme )que d en d couvrir la cause sont ces diff rents facteurs causatifs quenous nous proposons d explorer dans cettedeuxi me partie de notre un premier temps, nous examinerons lesdiff rentes causes que nous avons class es endeux cat gories.

3 Les ant c dents et lesfacteurs d ant c dents sont des facteurs de risquequi commencent la conception, pendant laphase n onatale, voire la petite enfance, et quipr disposent l individu des facteurs d clencheurs sont desprobl mes physiques ou m taboliques quis ajoutent une physiologie d j affaiblie (c est- -dire aux ant c dents) pour affecter la fonctiondu syst me nerveux et d clencher lessympt mes des divers est donc la combinaison de la g n tique, desant c dents, des facteurs d clencheurs, desl sions neurologiques et de l h misph ricit c r brale qui d termine quels sympt mes vontappara exemple, deux enfants avec la m mel sion neurologique peuvent avoir dessympt mes compl tement diff rents en fonctiondes ant c dents et des facteurs d clencheurs,ou de l h misph ricit qui les un deuxi me temps.

4 Nous explorons lesmoyens diagnostiques notre disposition pour valuer les ant c dents et les facteursd clencheurs, ainsi que les moyensth rapeutiques nous permettant de lesam liorer, de les corriger, voire m me, danscertains cas, de les gu ANT C DENTSLes ant c dents peuvent tre g n tiques ouacquis (facteurs environnementaux). Il fautcependant pr ciser que certains facteursenvironnementaux peuvent d buter laconception (ou voire m me avant), et il estdonc parfois extr mement difficile de lesdiff rencier de la g n tique, au point d treparfois g n tiquesIl existe certains facteurs g n tiques dans lestroubles qui nous int ressent.

5 Par exemple,environ 40% des enfants ayant des difficult sd apprentissage ont un membre de leur famillequi en souffre galement. Parmi les g nes desusceptibilit , mentionnons bri vement ceuxqui encodent les r cepteurs de la dopamine, etqui peuvent donner lieu une insensibilit desr cepteurs dopamine pour ceneurotransmetteur et/ou une augmentation durecaptage de la dopamine (voir article 1).Les neurotoxines environnementalesIl est bien connu que certaines substancestoxiques peuvent passer de la m re au f tus,au d triment de ce dernier. Une exposition dela m re certaines toxines pendant lagrossesse ou une accumulation de ces toxinesdans les tissus de la m re avant la grossessepeuvent donc endommager le syst me nerveuxen d veloppement de l enfant.

6 Parmi lestoxines les plus fr quentes, mentionnons lesm taux lourds, les solvants, les pesticides, letabac, l alcool, les m dicaments et les exemple, plusieurs facteurs neurotoxiquessont associ s au trouble par d ficit d attentionet hyperactivit (TDAH). Le fait de fumer, boirede l alcool ou consommer des drogues pendantla grossesse augmente le risque de TDAH. Ilest aussi estim que 25% des troubles ducomportement peuvent tre attribu l utilisation de tabac pendant la autre facteur acquis est une intoxicationchronique de faibles quantit s de , un enfant sur cinq remplit lescrit res d finissant une intoxication au autres m taux lourds comme le mercure(amalgame dentaire, certains vaccins), lecadmium et l aluminium sont aussi en une tude, 100% des enfants autistes tudi s ont t test s positifs une intoxicationaux m taux en acides gras essentielsLes acides gras essentiels (AGE)

7 Sont desgraisses qui ne peuvent pas tre produites parle corps et doivent donc tre obtenues dansl alimentation. Certains d riv s des AGE,comme le DHA, jouent un r le crucial dans led veloppement c r bral du f tus. Plusieurs tudes ont mis en relation des d ficiences enom ga 6 et en om ga 3 (les deux principauxAGE) - ainsi que des d s quilibres dans leursproportions consomm es (id alement, pour lecerveau, nous devrions consommer autantd om ga 3 que d om ga 6) - avec le TDAH etles troubles de l plus des effets qu une d ficience en DHApeut avoir sur le d veloppement du CERVEAU ,une insuffisance en DHA augmente lasensibilit du CERVEAU de tudes ont galement montr que lesenfants nourris la bouteille avaient deux foisplus de risque de d velopper un TDAH que lesenfants nourris au sein (d une absence deDHA dans le lait artificiel cette poque).

8 3 Les d ficiences en AGE augmentent galementle risque d intol rance alimentaire, laquelle estun facteur d clencheur dont nous reparleronsplus acides gras trans - des graissestransform es par la cuisson et l hydrog nationdes huiles (ajout d hydrog ne pour rendrel huile solide temp rature ambiante), que l ontrouve en abondance dans la mayonnaise, lesmargarines, les p tisseries, les frites et autresproduits frits sont eux-m me toxiques pournotre syst me nerveux et provoquentl quivalent de d ficiences en , min raux et acides amin sLes acides gras essentiels ne sont pas lesseules substances qui sont d ficientes.

9 Denombreuses tudes ont montr que desnutriments comme le magn sium, le zinc, le fer,la vitamine B1 et la vitamine B6, notamment,sont d ficients chez les enfants souffrant deTDAH et d autisme et autres d la premi re partie, nous avons explor ler le des neurotransmetteurs, comme ladopamine, dans la fonction c r brale. Lesneurotransmetteurs sont des substancesform es partir d acides amin s. Les acidesamin s proviennent de la digestion compl tedes prot ines. Un apport quotidien suffisant enacides amin s par une consommationad quate de prot ines ainsi que leurdigestion sont donc fondamentaux dans laformation de neurotransmetteurs.

10 Une tude apar exemple d montr que les enfants souffrantde d ficits d attention taient d ficients enacides amin s tels que la ph nylalanine, latyrosine, le tryptophane, l histidine etl sucre joue galement un r le important. Unealimentation riche en hydrates de carboneraffin s a t associ e de mauvaisesperformances cognitives chez les enfants ont r ellement une v ritablehypersensibilit aux produits sucr FACTEURS DECLENCHEURSA llergies, intol rance alimentaire et tudes ont montr qu il existait un lienentre le TDAH et les maladies atopiques( allergiques), comme l asthme, l ecz ma, etles allergies ainsi que l intol rance tude a m me montr qu il se produisaitdes changements significatifs dansl lectroenc phalogramme (une mesure desondes c r brales)