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LES BONNESPRATIQUESDESOINSEN TABLISSEMENTSD H BERGEMENT pour PERSONNES G ES D PENDANTES Quelques recommandationsDirection G n rale de la Sant Direction G n rale de l Action SocialeSoci t Fran aise de G riatrie et G rontologieOCTOBRE 20072 LES BONNESPRATIQUESDESOINSEN TABLISSEMENTSD H BERGEMENT pour PERSONNES G ES D PENDANTES 3Gr ce l accroissement de notre esp rance de vie, il est d sormais possible de vieillir tout en restant est une chance, souvent une gr ce. Pourtant, de nombreuses personnes g es, vivant seules ou en famille,souffrent de maladies chroniques multiples et doivent faire face aux contraintes de la d pendance. Il faut alorstout mettre en uvre pour permettre ces personnes de poursuivre leur existence dans les meilleuresconditions est l objectif poursuivi par les tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes (EHPAD).Les personnels y g rent des situations complexes et rel vent au quotidien, le d fi de concilier qualit des soinset pr servation d une vie sociale.

LES BONNES PRATIQUES DE SOINS EN ÉTABLISSEMENTS D’HÉBERGEMENT POUR PERSONNES ÂGÉES DÉPENDANTES Quelques recommandations Direction Générale de la Santé

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1 LES BONNESPRATIQUESDESOINSEN TABLISSEMENTSD H BERGEMENT pour PERSONNES G ES D PENDANTES Quelques recommandationsDirection G n rale de la Sant Direction G n rale de l Action SocialeSoci t Fran aise de G riatrie et G rontologieOCTOBRE 20072 LES BONNESPRATIQUESDESOINSEN TABLISSEMENTSD H BERGEMENT pour PERSONNES G ES D PENDANTES 3Gr ce l accroissement de notre esp rance de vie, il est d sormais possible de vieillir tout en restant est une chance, souvent une gr ce. Pourtant, de nombreuses personnes g es, vivant seules ou en famille,souffrent de maladies chroniques multiples et doivent faire face aux contraintes de la d pendance. Il faut alorstout mettre en uvre pour permettre ces personnes de poursuivre leur existence dans les meilleuresconditions est l objectif poursuivi par les tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes (EHPAD).Les personnels y g rent des situations complexes et rel vent au quotidien, le d fi de concilier qualit des soinset pr servation d une vie sociale.

2 Leur d vouement, leur pr sence attentive aupr s des personnes h berg es,mais aussi et surtout leur connaissance et leur ma trise des BONNES PRATIQUES , constituent le meilleur gage desucc s pour cette mission conteste, la formation des personnels constitue ici un d terminant essentiel de la qualit du service. Il n est de progr s possible dans la dispensation des SOINS en EHPAD qu la condition que tous les acteurs del institution puissent b n ficier, dans leur pratique, des derni res connaissances valid es en g riatrie et eng rontologie. Cependant, les connaissances requises ne se r duisent pas des comp tences isol es, des savoirsfragment s ou purement techniques. Savoir, savoir-faire et savoir- tre sont toujours consubstantiellement li clairer la d cision, il convient de surcro t de s ouvrir la r flexion pluridisciplinaire. Difficile etpassionnante mission qui suppose une constante disponibilit , le sens du dialogue et du travail en quipecomme qualit s premi res.

3 Ainsi, parce que les d fis relever sont immenses, parce que les imp ratifssanitaires et thiques exigent de travailler dans un esprit constant d ouverture et de coop ration, les personnelsqui vouent leur nergie l accompagnement en fin de vie , doivent tre solidement arm s pour effectuer leuradmirable travail du mieux qu ils le donc que ce guide pourra leur tre utile dans leur pratique quotidienne et permettre chacun demieux appr cier le sens de son action ! Car il faut bien reconna tre qu ici pr occupations techniques et souci thique se trouvent indissolublement li RED L GU LA S CURIT SOCIALE,AUX PERSONNES G S ETAUX PERSONNES HANDICAP ESET LA FAMILLEVal rie LETARDSecr taire d Etat charg de la Solidarit Roselyne BACHELOT-NARQUINM inistre de la Sant , de la Jeunesseet des SportsXavier BERTRANDM inistre du Travail,des Relations Sociales et de la Solidarit Pr face4En 2005, 21% des fran ais avaient plus de 60 ans alors qu ils n taient que 17% en 1960 et qu ils seront 31% en 2030.

4 Chaque ann e, l esp rance de vie s accro t d un trimestre. Elle d passe d sormais 80 ans. De m me, l esp rance de vie en bonne sant ou sansincapacit continue s am liorer de jour en jour tous les ges de la vie avec des impactspositifs sur l anmoins, il y a encore des craintes face ce vieillissement mais, pourtant,l augmentation de la long vit s accompagne d une am lioration des fonctions commel ont montr des tudes r est une chance pour chacun d entre nous et un enrichissement pour toute la soci t .Mais la long vit est aussi un d fi collectif pour notre pays. C est un enjeu majeur pournotre syst me de sant et plus largement pour l ensemble de la solidarit France se place aujourd hui dans le peloton de t te des pays faible mortalit aux ges lev s : l augmentation du nombre de centenaires en France, de 200 en 1950 16 000aujourd hui et 160 000 pr vus en 2050, illustre de mani re la plus spectaculaire levieillissement de la si les donn es pid miologiques montrent que la majorit des personnes vieillissentdans de BONNES conditions de sant et d autonomie, la survenue de maladies chroniquesinvalidantes peut entra ner une d pendance.

5 Ainsi, on sait que 75% des personnes de plusde 65 ans sont porteuses d une maladie chronique comme la maladie d tablissements d h bergement accueillent actuellement des personnes de plus en plus g es, polypathologiques et donc d pendantes. Les r sidents y cumulent en moyenne 7 maladies diagnostiqu es. Par cons quent, il est n cessaire de disposer au sein de cesstructures de professionnels de plus en plus comp tents dans le soin du grand ge et lemaintien de l autonomie. Le Plan solidarit grand ge, la r forme des tablissementsd h bergement pour personnes g es d pendantes et la mobilisation des acteursprofessionnels ont permis d am liorer consid rablement la qualit de la prise en charge despersonnes g es au sein des t Fran aise de G riatrie et G rontologieLe m decin coordonnateur, les m decins traitants et tous les professionnels sont de plus enplus confront s la complexit et l intrication des pathologies des r sidents.

6 La formation,le partenariat avec les structures sanitaires, la coop ration entre tous les acteurs sontdevenus indispensables pour faire face cette complexit .La qualit des SOINS est avec la qualit du projet de vie le facteur essentiel de garantie pourles r sidents d une bonne qualit de est pour aider les professionnels travaillant dans les tablissements pour personnes g esd pendantes (EHPAD) que la Direction g n rale de la sant et la Direction g n rale del action sociale ont labor avec la Soci t fran aise de g riatrie et g rontologie cettenouvelle version de recommandations de BONNES PRATIQUES de SOINS . Cette version abordedavantage de th mes que la pr c dente version et traite de sujets concernant les nouvellesmissions confi es au m decin server au mieux l autonomie et la citoyennet des personnes g es en tablissementd h bergement est un d fi pour tous les professionnels concern s.

7 Ce d fi ne peut trerelev qu avec une qualit des SOINS directeur g n ral de la sant Le directeur g n ral de l action socialeDidier HOUSSINJean-Jacques TREGOAT6nt contribu la r alisationde ce documentOCoordinationPr Fran ois PUISIEUXG riatre, CHRU de Lille, Pr sident du comit de Jean-Philippe FLOUZATD irection G n rale de l Action Sociale (DGAS).M. Thierry GRESSIERColl ge des Soignants, Soci t Fran aise de G riatrie et G rontologie (SFGG).Dr Beno t LAVALLARTD irection G n rale de la Sant (DGS).Dr Alain LIONURML Alsace, membre du Coll ge Professionnel des G riatres Fran ais(CPGF).Mme Sylvie MROZECHC adre infirmier, Genevi ve RUAULTD l gu e G n rale de la Soci t Fran aise de G riatrie et G rontologie (SFGG).Dr Michel SALOMG riatre, Emmanuel ALIXM embre de la Soci t Fran aise de G riatrie et G rontologie(SFGG).Dr Jean-Pierre AQUINOG riatre, Clinique de la Porte Verte, Versailles, Vice-Pr sident de la Soci t Fran aise de G riatrie et G rontologie (SFGG).

8 Pr Alain FRANCOPr sident du Coll ge Professionnel des G riatres Fran ais(CPGF).Dr Louis LEVYColl ge des Enseignants de M decine G n rale, Unaformec (MG Form).COMIT DE LECTURE COMIT DE PILOTAGE 7 Soci t Fran aise de G riatrie et G rontologiePr Gilles BEAUCAIREI nfectiologue, CHRU de BENOITP sychiatre, CMRR, CHU de Marc BERTHELG riatre, CHU de Fran ois BLANCHARDG riatre, CHU de Isabelle BOURDEL-MARCHASSONG riatre, Centre R gional de G riatrie Henri Choussat, H pital Xavier Arnozan, Bernard CASSOUG riatre, H pital Sainte-Perrine, David CAUSSED l gu G n ral Adjoint, Responsable du P le OrganisationSanitaire et M dico-Sociale, F d ration Hospitali re de France, CHASSAGNEG riatre, CHU de Annette COLONNIERD irection G n rale de la Sant (DGS).Marie-Alix ERTZSCHEIDI nfirmi re hygi niste, CHU H tel Dieu Monique FERRYG riatre, Centre De Pr vention pour R ussir son Vieillissement(CDPRV) Patrick FOURNIERG riatre, H pital R gional de B atrice GAFFETG riatre, CH de Armelle GENTRICG riatre, CHU de Gr gory GERBAUDA udoproth siste, DE, Catherine GIRESG riatre, CHRU de gis GONTHIERG riatre, CHU de Olivier HANONC ardiologue, G riatre, H pital Broca, Marie-Pierre HERVYG riatre, H pital Kremlin-Bic tre.

9 Secr taire G n rale de la Soci t Fran aise de G riatrie et G rontologie (SFGG).DrBeno t LAVALLARTD irection G n rale de la Sant (DGS).Pr Florence LEBERTG ronto-psychiatre, CMRR, Lille - V ronique LEFEBVRE des NOETTESP sychiatre, CH Emile Roux AP-HP, Limeil Sylvie LEGRAING riatre, Groupe Hospitalier Bichat Claude Bernard, Benoist LEJEUNEB iologiste, CHU Morvan Philippe LEROUXG riatre, Centre de G riatrie, Marie-France MAUGOURDG riatre, H pital G. Cl menceau, V ronique MORIZEUnit Mobile d Accompagnement, H pital Corentin Celton, Fati NOURHASHEMIG riatre, CHU Purpan, Pierre PARNEIXHygi niste, CHU Pellegrin Anne de Pierrre PFITZENMEYERG riatre, CHU de Fran ois PUISIEUXG riatre, CHRU de Muriel RAINFRAYG riatre, CHU Xavier Arnozan, sidente de la Soci t Fran aise de G riatrie et G rontologie(SFGG).Pr Anne-Sophie RIGAUDG riatre, H pital Broca, Philippe ROBERTG ronto-psychiatre, CMRR, CHU de Genevi ve RUAULTD l gu e G n rale de la Soci t Fran aise de G riatrie et G rontologie (SFGG).

10 Dr Bernard WARYG riatre, CHR DACTION DES FICHES Alimentation- G n ralit - 11 Alimentation du r sident- R gimes sp - 13 Apathie- Un syndrome fr - 17 Audition- Aides - - 25 Canicule - Pr venir ses - 27 Chutes- Pr - 29 Chutes- Prise en charge du r sident - 31 Confusion du sujet g ..32 - 33 Contention physique- Une prescription m - 35 Continuit des SOINS - Mod le de coop - 37D ambulation - Prise en - 39D cision- Les difficult - 41D mence- Rep rage et d marche - 43D pression- Rep rage et prise en charge non m - 45D shydratation- Pr vention et - 47 Douleur- Un sympt me sous-estim ..48 - - 53 valuation g riatrique standardis e- Une approche - 55 Fausses routes - Troubles de la d - 57 Gale- Conduite - 61 Hygi ne bucco-dentaire - Partie int grante de l hygi ne - 63 HGFEDCBA ommaire8 SPagesIncontinence f cale - Strat gie diagnostique et th - 65 Incontinence urinaire- Strat gie diagnostique et th - 69 Insuffisance cardiaque- Diagnostic et prise en - 73 Libert d aller et venir (LAVMR) - Libert et s curit.


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