Les ondes scalaires, l'énergie qui nourrit et qui guérit

1 1 Les ondes scalaires, la lumi re qui nourrit et qui gu rit Par le Dr vet Herv Janecek Introduction Toutes les traditions nous rappellent que nous sommes constitu s de 4 l ments, qui sont les aliments que nous mangeons, symbolis s par l l ment terre, l eau que nous buvons, l air que nous respirons et la lumi re que nous absorbons, symbolis e par l l ment feu. Les 3 premiers l ments, terre, eau et air nous sont vitaux ch ance de quelques semaines quelques minutes, c est dire leur importance et la n cessit que nous ayons pleine conscience de leur qualit.

2 Pourtant le principal l ment parmi les 4, est encore la lumi re, un l ment que nous avons oubli , mais qui heureusement lui, ne nous oublie pas ! Il nous inonde et nous traverse chaque seconde notre vie, dans un courant abondant et incessant .. Il existe en fait plusieurs types de lumi re que nous pouvons ramener 2 grandes cat gories, l lectromagn tisme et les ondes dites scalaires. Depuis James Clerk Maxwell au XIX si cle et ses fameuses quations qui inspir rent les plus grands physiciens (Hertz, tesla , Einstein, Planck, etc.)

3 , on sait que la lumi re, l lectricit ou le magn tisme sont des ph nom nes de m me nature ! Mais malheureusement, les quations originales du g nial Maxwell furent tronqu es et seule la lumi re lectromagn tique fut mise en avant et tudi e, en particulier par Hertz. D s lors, on confondit la lumi re et l lectromagn tisme, c est- -dire les ondes du spectre solaire visible, les ondes radio, les micro- ondes , .. qui purent tre mises en vidence et mesur es. 2 Pourtant, d s la fin du XIX si cle un ing nieur physicien et exp rimentateur surdou , d nomm Nikola tesla , avait mis en vidence un autre type de rayonnement ; les math maticiens et physiciens de son temps, Steinmetz en Allemagne et Kelvin en Ecosse per urent tout de suite que l on avait faire un autre type de lumi re : ces ondes originales devaient se d placer en vortex alors que les ondes lectro-magn tiques voluaient selon une double sinuso de.

4 L se trouvait une premi re diff rence. Plus tard, reprenant minutieusement les travaux de tesla , un Professeur allemand de physique, le Pr Dr ing. Konstantin Meyl, d nomma ces ondes ondes scalaires . D finition des ondes scalaires Les ondes scalaires sont des ondes de nature lectrique et de type longitudinal ; ce qui veut dire que leur direction de propagation est orient e dans le m me sens que le champ lectrique cr ; par extension, la d nomination scalaire a t donn e toutes les ondes de diff rentes natures (m canique, mentale) mais de type toujours longitudinal, avec une progression dans l espace en vortex et non en sinuso de.

5 (Voir sch mas). Les diff rences entre les 2 types d ondes sont importantes : elles ne se comportent pas de la m me fa on dans l espace, elles n ont pas la m me vitesse pour un milieu donn , leur pouvoir de p n tration est radicalement diff rent, bref, il s agit de 2 types tr s diff rents de lumi re, dont les propri t s sont r sum es dans le tableau ci-dessous. Les ondes sonores qui sont de nature m canique ou encore les ondes mentales qui sont de nature lectrique ( ?), sont des ondes scalaires, car elles progressent en vortex ; les physiologistes russes qui ont longtemps tudi les ondes mises et re ues par le cerveau parlent de champs de torsion, un autre mot pour d signer une progression de ces ondes en vortex.

6 3 nom Onde scalaire Onde lectro-magn tique d couvreur Nikola tesla Heinrich Hertz nature Onde lectrique ou magn tique longitudinale Onde lectro-magn tique transversale progression En vortex En sinuso de vitesse Variable, <c ou >c Fixe = c d calage de phase Pr sent absent r ception En 1 point Tous azimuts mission Champ proche < /2 Champ lointain > /2 rendement Sur unitaire >1 <1 diminue avec [d]2 p n tration Tr s forte Faible, arr t e par une cage de Faraday exemple Neutrinos, 5% de l nergie solaire 60 milliards de particules par seconde et par cm2 Lumi re visible, 1% de l nergie solaire Principe de l metteur/r cepteur Le Professeur Meyl a expliqu et miniaturis les technologies d mission et de capture des ondes scalaires invent es autrefois par Nikola tesla .

7 Il a pu en proposer galement les bases physiques et math matiques en compl tant les quations de Maxwell pour y inclure aussi la r alit du rayonnement scalaire. Ces ondes scalaires sont mises par une antenne de forme adapt e (sph rique ou h lico dale) et elles sont re ues par une autre antenne identique la premi re - et reli e elle : les 2 antennes forment alors un couple metteur/r cepteur, comme un condensateur ouvert selon la description du Pr Meyl. (Voir figure ci-dessous).

8 4 D s que l accord de r sonance est r alis entre metteur et r cepteur, une transmission d nergie et d information se fait sans fil au travers de l air et un retour lectrique se r alise par un fil de terre : il y a alors plus d nergie en Watts re ue sur le r cepteur que d nergie initialement envoy e par l metteur ? Ceci vient du fait que des ondes scalaires (un bruit de fond permanent et diffus) du milieu ambiant viennent se greffer sur le premier vecteur scalaire et vont ainsi amplifier l mission de base !

9 C est ce que l on appelle l nergie libre ; cr er un vortex artificiel dans l espace attire ainsi des vortex naturels en une zone restreinte (le champ initial) ; finalement, donner un peu d nergie au d part en fait r cup rer de 1 ,5 3 voire 5 fois plus selon les endroits ! Il existe dans la nature de nombreux couples metteur/r cepteur selon ce mod le : l metteur met et le r cepteur re oit ainsi un message, enrichi de toutes les ondes scalaires de l environnement, harmoniques de la premi re onde mise : le soleil et la terre forment un tel couple, o la terre est r ceptrice ; l homme et tous les tres vivants sur la terre sont alors consid r s comme des r cepteurs secondaires, tertiaires, etc.

10 Se partageant l nergie mise par le soleil et plus g n ralement par le cosmos. A une autre chelle, le m decin et son patient forment aussi un couple metteur/r cepteur, avec change d nergie et d informations : le m decin est d un c t un r cepteur secondaire sachant capter l nergie du ciel et de la terre, et d un autre c t il est metteur en redirigeant (par ses mains et/ou par des aiguilles d acupuncture) l nergie capt e vers son patient, qui devient alors r cepteur tertiaire.