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Maquette numérique - BIM

MAQUETTENUM RIQUEB TIMENTBIM-IFCMAQUETTENUM RIQUEB TIMENTBIM-IFCMAQUETTENUM RIQUEB TIMENTBIM-IFCMAQUETTENUM RIQUEB TIMENTBIM-IFCMAQUETTENUM RIQUEB TIMENTBIM-IFCMAQUETTENUM RIQUEB TIMENTMAQUETTENUM RIQUEB TIMENTL ESSENTIELL ESSENTIEL2 SOMMAIRE3D CRYPTAGEIFC : le langage commun des logiciels du b timent .. p. 5 La Maquette num rique : construire ensemble .. p. 11Le projet eXpert : changeons de pratiques ! .. p. 12 LES ENJEUXGain de temps, gain de productivit .. p. 16La qualit avant tout .. p. 17 Changement de pratiques .. p. 19La ma trise d ouvrage : premier maillon.

7 tion, devenue aujourd’hui BuildingSmart International, as-socie tous les professionnels du secteur de la construction, y compris les éditeurs de logiciels spécialisés.

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1 MAQUETTENUM RIQUEB TIMENTBIM-IFCMAQUETTENUM RIQUEB TIMENTBIM-IFCMAQUETTENUM RIQUEB TIMENTBIM-IFCMAQUETTENUM RIQUEB TIMENTBIM-IFCMAQUETTENUM RIQUEB TIMENTBIM-IFCMAQUETTENUM RIQUEB TIMENTMAQUETTENUM RIQUEB TIMENTL ESSENTIELL ESSENTIEL2 SOMMAIRE3D CRYPTAGEIFC : le langage commun des logiciels du b timent .. p. 5 La Maquette num rique : construire ensemble .. p. 11Le projet eXpert : changeons de pratiques ! .. p. 12 LES ENJEUXGain de temps, gain de productivit .. p. 16La qualit avant tout .. p. 17 Changement de pratiques .. p. 19La ma trise d ouvrage : premier maillon.

2 P. 20Le d veloppement durable .. p. 22DU CONCRETLe coll ge de Vigny : quand les architectes se pr tent au jeu de la Maquette num rique ! .. p. 26 Les industriels : d mat rialisation et IFC .. p. 27 Relev de l existant et description des b timents tels qu ils sont construits .. p. 28Le conseil r gional de Bourgogne : pionnier des IFC et de la Maquette la num rique .. p. 30 Glossaire : parlez-vous BIM et IFC ? .. p. 334 DECRYPTAGEO bjetsMod lisationNormeMaquetteSynth se5 IFC : LE LANGAGE COMMUN DES LOGICIELS DU B TIMENTD fi nitionC est aux tats-Unis, en 1995, que commence l r fl exion est engag e par une douzaine d entreprises de la fi li re du b timent pour am liorer la communication entre logiciels.

3 Plusieurs ann es seront n cessaires pour d fi nir un moyen de faciliter les changes entre applications utilis es par les professionnels de la construction (archi-tectes, bureaux d tude, ma tres d ouvrage, ). Ce sera un langage commun: les IFC (Industry Foundation Classes) d crivent les objets dont on a besoin pour concevoir un b timent, tout au long de son cycle de vie (conception, construction, exploitation), et selon diff rents points de vue (architecture, structure, thermique, ). Ils repr sentent galement un for-mat de fi chier d fi ni dans la norme internationale mise en uvre des IFC se fait dans le cadre d un r f -rentiel unique et partag entre tous les acteurs : la maquet-te num rique (BIM) de l ouvrage en cours d tude puis de construction et enfi n d exploitation.

4 Gr ce aux IFC, toutes les applications de construction (logiciels de CAO architecte et ing nieur, logiciels de calculs de structure, de simulation thermique et acoustique, etc.) peuvent communiquer en-tre elles et exploiter une seule et m me base de donn es. Et du coup, ce ne sont pas les avantages qui manquent cette mod lisation de l ouvrage : centralisation et harmonisation des donn es ; enrichissement de sa description g om trique et s mantique ; assurance d une gestion rationnelle et coh rente de l en-semble des informations de l ouvrage b ti, de ses compo-communiquer Les IFC (Industry Foundation Classes) Concr tementLe but du r f rentiel g n ral d int rop rabi-lit (RGI) est de faciliter les changes lec-troniques entre les administrations et les usagers ainsi qu entre les administrations elles-m mes.

5 L appel public commentai-res, conduit par la DGE en 2006, a permis de reccueillir divers avis sur l int rop ra-bilit des syst mes d information dont un commentaire a mis en lumi re les travaux de l Alliance internationale pour l int rop -rabilit (IAI). Il a donc t tout naturel d in-troduire, dans la nouvelle version du volet technique du RGI, un paragraphe consacr au domaine construction et gestion im-mobili re . Cette partie incorpore la r gle d int rop rabilit recommandant l utilisa-tion des IFC. Nous, acteurs du secteur du b timent, n avions encore jamais trouv un langage commun pour faciliter nos changes.

6 Cer-tes, nous sommes pass s du plan papier au plan lectronique, mais tous les logiciels utilis s n taient jamais compatibles entre eux et nous perdions un temps fou pour r -cup rer les informations droite et gau-che. Aujourd hui les IFC vont changer notre fa on de travailler car nous allons pouvoir parler la m me langue et nous comprendre plus facilement. Pour les diteurs de logi-ciels, ce langage est un tremplin. Au CSTB, nous devons dor navant cr er et distribuer des composants logiciels pour faciliter les interfaces avec les IFC.

7 Plus g n ralement, le CSTB a pour r le de participer la nor-malisation des IFC et d accompagner des diteurs de logiciels dans cette Lebegue, chef adjoint charg de la recherche et du d veloppement au CSTB. 6sants, de ses caract ristiques techniques et conomiques, et possibilit de calculs techniques labor s. Finies donc les ressaisies pour passer d un logiciel m tier un autre : c est l interop rabilit . Ce langage commun ouvre de nouvelles perspectives en mati re de m thode de travail. En utilisant des logiciels compatibles IFC, les acteurs d un projet n ont plus traduire, souvent manuellement, des donn es d un format un autre.

8 La productivit s en trouve am lior e, les pertes et les alt rations de donn es sont, quant elles, fortement r duites. La plus-value du for-mat IFC se trouve surtout dans les phases o les changes techniques et conomiques sont intenses. Aujourd hui, on utilise principalement les formats de plans DXF et DWG , explique Thierry Parinaud, architecte. Ces formats sont bien connus ainsi que leurs in vitables probl mes de trans-fert des donn es, de retranscription, de comptabilit de version, de pertes de donn es, de noms de calques plus ou moins compr hensibles, de diffi cult s de r Les architectes, les ing nieurs, les conomistes, les pilotes de ont tous des profi ls sp cifi ques et chacun est galement particulier au sein de sa propre profession.

9 En cons quence, la collaboration interprofessionnelle n est pas simple et l interop rabilit reste encore un mot barbare . Si certains restent r ticents face ces nouvelles pratiques, c est essentiellement en raison du co t induit de l achat de ces logiciels objets 3D-IFC et de la formation l utilisation de ces outils, mais galement cause des profondes modifi ca-tions dans le process de travail. La formation des divers ac-teurs aux nouvelles technologies est donc fondamentale. Parce que les IFC se veulent un langage standard et neutre, il tait indispensable de cr er un cadre ind pendant et impartial cette d marche.

10 Aussi en octobre 1995 : l IAI ( international Alliance for Interoperability) a vu le jour. Cette organisa-Le mouvement international BuildingSmartBuildingSmart est la nouvelle d nomina-tion de l IAI, cr e pour promouvoir l uti-lisation des IFC et du BIM. BuildingSmart a aussi vocation conclure des alliances avec d autres organismes aux motivations analogues. Cette structure ne produit pas de logiciels mais des sp cifi cations pour le d veloppement des rassemble pr s de 500 mem-bres (administrations, entreprises priv es, industriels, diteurs, centres de recherche, ) et compte une vingtaine de pays r unis en communaut s linguistiques et culturelles.


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