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PISCINES PUBLIQUES - Association des Ingénieurs ...

PISCINES PUBLIQUESGUIDE TECHNIQUELe groupe de travail tait compos de :JEAN-CLAUDE CRANGA, COMMUNAUT D AGGLOM RATION DE MONTPELLIER VIVIAN DUQUESNE, ATTF, VILLE DE CALAISCORINNE DURAND, EDF, RECHERCHE ET D VELOPPEMENTMARTINE ECHEVIN, ANIMATRICE DU GROUPE NERGIE AITF - ATTFROLAND GENIER, EDF, MARKETINGDIDIER HAIE, ATTF, VILLE DE NANTES MICHEL IRIGOIN, AITF, VILLE DE MONTPELLIERMICHEL LE GOHEBEL, VILLE DE NANTES PHILIPPE TESSIER , AITF, SIGEIFHUBERT TOURNEUR, AITF, PALAIS DES SPORTS DE MEGEVEVINCENT TORRI, EDF, EXPERT TECHNIQUEOnt galement particip LES PARTENAIRES suivants :ATCE, 17000 LA ROCHELLE, MRROBERT COURTEL DIATECHNIE, 60200 COMPI GNE, MRMICHEL LE CHAPELIERSPORT LOISIRS CONCEPT, 75019 PARIS, MRJEAN MONLEONVERT MARINE, 76230 BOIS GUILLAUME, MRJEAN-PASCAL GLAIZER emerciementsLa demande en mati re de PISCINES est en pleine volution depuisquelques ann es.

par le maître d’ouvrage 2. Le contenu du programme • Dimensionnement • Implantation • Organisation et schéma de fonctionnement • Architecture • Confort des utilisateurs et maîtrise des fluides • Coût global : investissement et fonctionnement 3. Choix et arbitrage • Equilibre entre dimensionnement d’un bassin

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  Dimensionnement

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1 PISCINES PUBLIQUESGUIDE TECHNIQUELe groupe de travail tait compos de :JEAN-CLAUDE CRANGA, COMMUNAUT D AGGLOM RATION DE MONTPELLIER VIVIAN DUQUESNE, ATTF, VILLE DE CALAISCORINNE DURAND, EDF, RECHERCHE ET D VELOPPEMENTMARTINE ECHEVIN, ANIMATRICE DU GROUPE NERGIE AITF - ATTFROLAND GENIER, EDF, MARKETINGDIDIER HAIE, ATTF, VILLE DE NANTES MICHEL IRIGOIN, AITF, VILLE DE MONTPELLIERMICHEL LE GOHEBEL, VILLE DE NANTES PHILIPPE TESSIER , AITF, SIGEIFHUBERT TOURNEUR, AITF, PALAIS DES SPORTS DE MEGEVEVINCENT TORRI, EDF, EXPERT TECHNIQUEOnt galement particip LES PARTENAIRES suivants :ATCE, 17000 LA ROCHELLE, MRROBERT COURTEL DIATECHNIE, 60200 COMPI GNE, MRMICHEL LE CHAPELIERSPORT LOISIRS CONCEPT, 75019 PARIS, MRJEAN MONLEONVERT MARINE, 76230 BOIS GUILLAUME, MRJEAN-PASCAL GLAIZER emerciementsLa demande en mati re de PISCINES est en pleine volution depuisquelques ann es.

2 Outre sa fonction sportive sp cifique, la piscine estdevenue un espace de loisirs et de d tente, un lieu notions majeures doivent tre prises en compte dans la conceptiondes nouvelles g n rations de PISCINES comme dans la r novation d quipements existants. S y adjoint en outre le triple souci de respect de l environnement, de qualit durable et de ma trise de l qu une piscine est souvent l quipement qui p se le plusdans le budget nergie de la collectivit .Pour synth tiser ces diff rents objectifs, ce guide propose des pistesr pondant chacune des questions pos importe en effet d laborer les programmes tr s en amont, de suivreattentivement leur laboration et enfin d observer la m me rigueurquant la maintenance et l exploitation des lieux, ceci afin d assurer la pleine r ussite d une piscine de qualit appr ci e du groupe de travailPiscine de Breitstroff-la-Grande.

3 Architecte : Jean-Michel RUOLSS ommaireGUIDE TECHNIQUE PISCINES PUBLIQUESp6p6p7p7p8p8p5 CHAPITRE IL tude pr alable de faisabilit et le pr -programmeL tude de faisabilit : tape pr alable d valuation des besoins, des investissements, de la future exploitation, pour d diagnostic de faisabilit : analyse marketing,orientations de l sc narios : v ritable outil d aide la d valuation budg taire : co ts d investissement et de synth se, le pr -programme et la d cision de cas particulier de la r novation de piscineCHAPITRE IILa conception et la programme : caract ristiques de la piscine souhait epar le ma tre d contenu du programme dimensionnement Implantation Organisation et sch ma de fonctionnement Architecture Confort des utilisateurs et ma trise des fluides Co t global : investissement et et arbitrage Equilibre entre dimensionnement d un bassinludique et ampleur des animations Concevoir des circulations et des annexes enveillant aux conditions d hygi ne Dimensionner et implanter juste Attention aux lots invisibles.

4 Notamment techniques Appr cier la performance des quipementsp10p10p13p9p16p17p15p19p30p30p 31p32p32p32p33p33p33p34p29p36p36p38p39p4 0p35 CHAPITRE IIILe choix du mode de le mode de gestion le plus t t possible pour int grer l exploitationd s la conception du ma tre d ouvrage d arbitrer entre les demandes du gestionnaire et celles du ma tre d uvreCHAPITRE IVLa Ma trise d uvre et les tudes de r r le de la ma trise d d eau et traitement d air sont indissociables pour assurer la qualit de l air d une solutions techniques Traitement de l eau Traitement de l r glementation : l et projet : les performances points de vigilanceCHAPITRE VLa mise en ception des travaux et r alisation des ressources plannings d finition des activit s budget pr organisation tableau de bord de gestionCHAPITRE diff rents types de diff rents types de des bassins sportifs destin s accueillir des comp et ouvrages de r f r glementairesp20p21p22p25p26p27 Les phases cl s DE VOTRE PROJET TUDE DE FAISABILIT PROPOSITION DE SC NARIOSTECHNICO- CONOMIQUESD CISION DE FAIRECHOIX D UN SC NARIOCHOIX DU MODE DE GESTION TUDE DE PROGRAMMATIONARR T DU PROGRAMME ETDE L ENVELOPPE FINANCI REPR VISIONNELLECONSULTATION MA TRISE D UVRE TUDES DE CONCEPTIONCONSULTATION DES ENTREPRISESCHANTIERR CEPTIONMISE EN EXPLOITATION9mois8mois2ansIntervention de la collectivit Indicateur du chapitreIntervention du programmisteIntervention du ma

5 Tre d uvrePrise de d cisionIIIIIIIVVINB : Les dur es indiqu es ne sont que des ordres de grandeur. La consultation ma trise d uvre et la consultation des entreprises rel vent du code des march s publics. Si le mode de gestion retenu est la gestion d l gu e, la proc dure relative la loi Sapin doit tre appliqu e ; elle a une dur e de l ordre de 9 IL TUDE PR ALABLE DE FAISABILIT ET LE PR -PROGRAMMEp6p6p7p7p8p8L TUDE DE FAISABILIT : TAPE PR ALABLE D VALUATION DES BESOINS, DES INVESTISSEMENTS, DE LA FUTURE EXPLOITATION, POUR D CIDER1. LE DIAGNOSTIC DE FAISABILIT : ANALYSE MARKETING, ORIENTATIONS DE L QUIPEMENT2. LES SC NARIOS : V RITABLE OUTIL D AIDE LA D CISION3. L VALUATION BUDG TAIRE : CO TS D INVESTISSEMENT ET DE FONCTIONNEMENT4. EN SYNTH SE, LE PR -PROGRAMME ET LA D CISION DE CAS PARTICULIER DE LA R NOVATION DE PISCINEL tude de faisabilit , situ e th oriquement au moins 3 voire 4 ans avant l ouverture de l tablissement,aboutit une proposition correspondant au meilleur compromis entre : les besoins satisfaire (quelles cibles, sur quel territoire, quelle fr quentation pr visible), les objectifs voulant tre atteints par la collectivit , et les possibilit s d investissement affect es l op est sur cette proposition que la collectivit pourra ensuite lancer son projet tape doit donc balayer l ensemble des aspects fonctionnels, techniques et conomiques du projet dans le but de guider le ma tre d ouvrage dans ses d concertation constante et soutenue avec les acteurs locaux s inscrit dans cette d marche.

6 Elle permet de mobiliser la r flexion et le d bat d mocratique autour du projet et assure une fonctionde communication sur les enjeux locaux. L quipe municipale responsable du projet piscine doit laborer un cahier des charges pour choisirle bureau d tudes sp cialis , auquel elle confiera la r alisation de cette tude. 6L tude de faisabilit : TAPE PR ALABLE D VALUATION DES BESOINS, DES INVESTISSEMENTS,DE LA FUTURE EXPLOITATION, POUR D CIDERElle aboutit la d terminationdes caract ristiques g n rales du futur quipement en termes de : vocation : type d utilisation,conditions d exploitation, .. contenu : principaux espaces et fonctions, enveloppe pr visionnelle : surfaces et co ts (investissement etexploitation).Diagnostiquer l offre existante, c est : r aliser une tude socio-d mographiquede la zone d influence de l quipement :structure d ges de la population, cat gories socioprofessionnelles, , inventorier et caract riser les quipements aquatiques existantsimplant s sur la zone de rayonnementenvisag e du futur quipement, inventorier et caract riser les projets locaux connus, en mati re d quipements sportifs ou aquatiques,dans le but de fournir une analyseen termes de concurrence et / ou de compl mentarit entre les quipements existants oufuturs et l quipement objet de la pr sente tude,puis d affi-ner la zone d influence potentielle de ce nouvel tude de la demande, de son c t ,consiste mettre en vidence lesbesoins et attentes de la populationenvironnante, dans laquelle ondistingue des familles d utilisateurs.

7 Les scolaires, les sportifs et les associatifs, le grand public, qui peut tre, son tour, d coup en plusieurs groupes de personnes : la fr quentation grand public est proportionnelle la qualit de l ouvrage, son implantation et la diversit des quipements, activit set prestations offertes. Il est doncimportant de caract riser au mieuxles besoins grand public , en fonctiondes principales contraintes constructivesd j entra n es par la r ponse aux demandes pr c dentes (scolaires,sportives, associatives).Le diagnostic de faisabilit examine par ailleurs les diff rents sites d implantation pressentis,pouraboutir une tude comparativetenant compte : des contraintes et potentialit s de chacun des sites, en fonction de l emprise au sol pr sum e de l ouvrage, des dessertes par des quipements de transport en commun (BUS, tramway.)

8 , de la nature du sol, des possibilit s de raccordement aux r seaux, .. Cette premi re phase consiste en un diagnostic de l offre existante dans la zone d influenced une part, et l tude des attentes des utilisateurspotentiels d autre DIAGNOSTIC DE FAISABILIT MARKETING, ORIENTATIONS DE L QUIPEMENTCes sc narios sont pr sent s l aided organigrammes, de sch mas et autres documents graphiques destin s montrer les diff rents choix d organisation fonctionnels et techniques du futur ouvrage, et rendre compte des donn es sommaires suivantes : dimensionnement , surface fonci re et emprise globale du b timent, principaux l ments fonctionnels et techniques, potentialit s et contraintes d utilisation, niveau de prestation (construction, quipement, performances) et incidence sur le co t d exploitation, options et variantes ventuelles, planning indicatif ( tudes / travaux), premi res estimations de co ts d investissement / rents sc narios sont ainsi d finisen fonction de diff rentes options de pr -programmes et de leur test de r ceptivit sur le(s) site(s) : cette d marche doit parvenir unv ritable outil d aide la d cision ,qui permet au ma tre d ouvrage dechoisir un sc nario dans les meilleuresconditions 7 Les propositions desc narios constituent la premi re approched ensemble du projet.

9 Les grands principes ou points forts du futur quipement sont alorsd sign SC NARIOS RITABLE OUTIL D AIDE LA D CISIONSur les bases du sc nario retenu, un dossier investissement / fonction-nement est labor : estimation des postes d investissement li s la construction de l' quipement : ma trise fonci re et am nagements ventuels du ou des sites d'implantation envisag s, tudes compl mentaires (sondages, relev s, lancement de ), raccordement r seaux VRD, co ts de construction et honoraires, assurances, etc, estimation des charges li es l'exploitation de l' quipement,en fonction : des plannings d'ouverture de l' tablissement et des attributionshoraires, des potentialit s d'utilisation mixtede l' tablissement autoris es par le sc nario (ouverture simultan eclub / public, par exemple), des types de charges d coulant de ces conditions d'utilisation (le personnel, les nergies, les produits et consommables, la maintenance.)

10 , de l analyse des comptes d exploitation d quipements voisins existants : d penses d nergie et de personnel, recettes PUBLIQUES , clubs et scolaires, estimation des recettes : droits et redevances d'entr e, autres recettes li es aux quipements d'accompagne-ment, ..Cette troisi me partie de l' tude peutaussi int grer une analyse des diff rentsmodes et proc dures li s : au lancement de la phaseconcours :plusieurs solutions sontenvisageables (proc dure classique de concours et de financement direct,proc dures de droit priv dans le cadre d'une , etc.), au futur mode de gestion etd'exploitation de l' quipement :la charge d'exploitation peut tre per ue de diff rentes mani res en fonction du mode d'exploitation choisi (r gie directe, d l gation de service public, ..) La difficult , lorsque la ma trise d ouvrage lance un projet de complexe nautique,c est de ma triser d s que possible le co t global.


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