Première cause de cancers et de maladies graves : …

1 Premi re cause de cancers et de maladies graves : Les dents d vitalis es, tr s probablement. On parle beaucoup aujourd hui de nourriture bio pour la sant . Bio signifie vivant en grec, c est donc le contraire de mort ou d vitalis . Sachez qu avec le d vitalis , vous pourriez bien perdre aussi la sant en vous faisant soigner les dents. D vitaliser les dents est une pratique si courante chez les dentistes que la plupart des fran ais ont aujourd hui des dents d vitalis es. La quantit de d vitalisations dentaires, aussi appel es traitements endodontiques, a subi une augmentation ph nom nale ces derni res d cennies dans le monde occidental (*). Parall lement, les maladies graves ont aussi augment de fa on tr s importante. Paradoxalement, des m decins l tranger font extraire les dents d vitalis es de leurs patients avec des r sultats th rapeutiques tonnants.

2 Pourtant en France, cela n int resse quasiment personne alors qu aujourd hui on y d pense des sommes faramineuses pour soigner, dans des traitements souvent tr s discutables en plus, cause des effets secondaires occasionn s. La dent d vitalis e est une dent dont le dentiste a t nerfs et vaisseaux sanguins qui se trouvent l int rieur de la dent en les rempla ant par une p te antiseptique. Gr ce cette technique, on vite souvent d extraire des dents qui auraient d l tre. C est videmment le grand int r t de cette pratique apparue au d but du vingti me si cle. Forte de ce succ s qui supprime son image d arracheur de dents , la profession dentaire ne s est jamais vraiment int ress e aux ventuelles cons quences toxiques de la pr sence en bouche de dents d vitalis es et la d vitalisation des dents est devenue une pratique courante dans tous les cabinets dentaires.

3 En France, presque tout le monde a donc en bouche au moins une dent d vitalis e. Pourtant la dent d vitalis e est un organe mort comme son nom l indique et normalement notre m decine n accepte jamais de conserver d organes morts car ils empoisonnent tout l organisme. Pour la dent d vitalis e, nous avons fait une exception. Mais y aurait-il des cons quences f cheuses sur l organisme, qu on aurait oubli es de voir ? De multiples publications scientifiques au niveau international traitent de ce sujet pol mique inclus dans un domaine plus large appel l infection focale dentaire (*). On y explique que les foyers infectieux dentaires peuvent provoquer toutes les maladies possibles et inimaginables. Le grand probl me est que la dent d vitalis e peut aussi tre consid r e comme un foyer infectieux m me lorsqu elle semble ne pas poser de probl me pour le dentiste.

4 Le professeur Boyd Haley, un scientifique am ricain renomm , a observ que les crit res normalement utilis s par les dentistes (l absence de douleur ou de signes infectieux l examen radiologique notamment), pour affirmer qu une dent d vitalis e n est pas toxique, ne sont pas valables (*). Des m decins ont constat que les dents d vitalis es sont tr s souvent la cause d terminante d un grand nombre de maladies chroniques et graves , puisque les enlever constitue aussi selon eux, la mesure essentielle pour retrouver la sant . En France, la dent d vitalis e constitue tr s probablement une cause importante de cancers . Aussi incroyable que cela puisse paraitre, ce pourrait m me tre la premi re cause , bien plus que l alimentation, les pesticides, la pollution, l amiante, le tabac, l alcool, l h r dit et les traumatismes psychologiques.

5 Voici des l ments qui confortent cette opinion : Le cancer est tr s rare dans les soci t s traditionnelles (*) dont certaines sont pourtant soumises des niveaux de pollution peu pr s quivalents aux n tres. Mais les populations y sont vraiment trop pauvres pour avoir des dents d vitalis es. A l tranger, notamment aux Etats-Unis, en Allemagne et en Suisse allemande, comme certains m decins francophones l ont observ (*), il existe des dentistes qui proposent aux personnes malades l limination des dents d vitalis es. C est aussi ce que fait une clinique suisse allemande qui a trait des milliers de personnes malades (*) et qui se situe dans le canton o les personnes sont les moins malades de toute la Suisse (*). Un minent canc rologue allemand, feu le Dr. Joseph Issels, qui fut aussi responsable du programme de lutte contre le cancer du gouvernement f d ral allemand, insistait pour faire syst matiquement enlever toutes les dents d vitalis es de ses patients (*).

6 C est aussi ce que conseille une scientifique canadienne le Dr. Hulda Clark, professeur de biologie en universit et auteur de nombreux best-sellers aux Etats-Unis. (*). On sait aussi que les fran ais consomment bien plus de m dicaments et ont plus de cancers que les autres europ ens. Etonnement, ils poss dent aussi deux trois fois plus de dents d vitalis es que les autres europ ens comme une enqu te nous l a appris. En France, quelques rares m decins et dentistes ont fait de l limination des dents d vitalis es, le crit re essentiel de r ussite de leurs traitements m dicaux. En milieu hospitalier Paris, un chef de service de stomatologie a m me crit un ouvrage (*) qui justifiait l extraction de toute dent d vitalis e quelque soit la pathologie g n rale, car il consid rait leur st rilit illusoire (*). Un m decin de Grasse a fait de m me pendant une quarantaine d ann es (*).

7 Un dentiste de Cannes a aussi aliment notre site internet, notamment de plusieurs heures de vid os d am liorations de sant surprenantes apr s extractions de dents d vitalis es (*). Il a t interdit d exercer par l Ordre des dentistes. Les d penses de sant sont aujourd hui devenues gigantesques. La dent d vitalis e nous semble en tre la principale cause , m me si paradoxalement elle est aussi la moins connue du grand public. Face l inaction des corporations m dico-dentaires, voire parfois leurs tentatives d occultation de ce sujet tr s contrariant pour certains, et face au scepticisme des m dias et des politiques noy s sous une pl thore d informations m dicales de moindre importance, il nous est donc apparu essentiel de soutenir cette information. Jean Pierre Garel, Dr. es Sciences, biologiste et Directeur Honoraire de Recherche au et Michel Raynaud, Dr.

8 Es Sciences, enseignant l Universit des Sciences de Toulon. Pour plus de renseignements contacter : Michel Raynaud, email : (*) : Pour des raisons de place, pour acc der aux r f rences cit es au niveau des (*), il suffit de se rendre sur l quivalent de ce texte, pr sent sur le site internet : et de cliquer sur les (*).