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rentabiLitÉ de L'ateLier CeLLuLes ACTU’ÉLEVAGE

Le magazine d information d Levage ConseiL Loire anjouN 9 - MARS 2014 Les g nIsses engagent L'avenIr du troupeauLe dossierP5 INFO viande P. 12 - 13rentabiLit de L'ateLier INFO CaPRine P. 1 4 CeLLuLes INFO LaiT P. 10 - 11Co t de produCtion ACTU LEVAGEDu c t De chez NOus ||| LeVAGe cONseIL LOIRe ANJOuP 2Du c t de chez nousnos rendez-vous de l' levage : 634 leveurs pr sentsLes Rendez-Vous de l' levage correspondent nos anciennes assembl es de section et assembl es de producteurs. C'est un moment d' changes techniques appr ci par les participants tant par la qualit des interventions que par la convivialit de la Rendez-Vous de l' levage se sont d roul s en d cembre 2013 pour la viande et les caprins, en janvier 2014 pour le lait.

Le magazine d’information d’ÉLevage ConseiL Loire anjou N°9 - MARS 2014 Les génIsses engagent L'avenIr du troupeau Le dossier P5 INFO viande P. 12 - …

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1 Le magazine d information d Levage ConseiL Loire anjouN 9 - MARS 2014 Les g nIsses engagent L'avenIr du troupeauLe dossierP5 INFO viande P. 12 - 13rentabiLit de L'ateLier INFO CaPRine P. 1 4 CeLLuLes INFO LaiT P. 10 - 11Co t de produCtion ACTU LEVAGEDu c t De chez NOus ||| LeVAGe cONseIL LOIRe ANJOuP 2Du c t de chez nousnos rendez-vous de l' levage : 634 leveurs pr sentsLes Rendez-Vous de l' levage correspondent nos anciennes assembl es de section et assembl es de producteurs. C'est un moment d' changes techniques appr ci par les participants tant par la qualit des interventions que par la convivialit de la Rendez-Vous de l' levage se sont d roul s en d cembre 2013 pour la viande et les caprins, en janvier 2014 pour le lait.

2 634 leveurs, toutes productions confondues, ont r pondu pr sents notre rendez-vous de L Levage caprInLAITCAPRINSBOVINSBIOVHPLe Rendez-Vous Caprin s'est tenu TRANS SUR ERDRE le 12 d cembre 2013. Guillaume RAITIERE, Pr sident de la commission caprine, a ouvert son exploitation. 18 leveurs y ont particip .Les th matiques abord es concernaient les innovations technologiques : une antenne sur le couloir de la salle de traite (pour lire les boucles lectroniques et simplifier l'utilisation des lactocorders) et le logiciel CAPLAIT Web en lien avec le bo tier Agrident (pour faciliter le tri des animaux).La r forme de la PAC :Gilles LE MAIGNAN (Chambre R gionale des Pays de la Loire) a pr sent les grands axes des changements de la r forme.

3 En conclusion, les leveurs doivent faire le calcul de l'impact sur leur exploitation. En relai, nos conseillers viande utilisent l'outil de calcul ad quat et, surtout, apportent des solutions d'adaptation et d' rendez-vous de L Levage vIandeLAITCAPRINSBOVINSBIOVHPLes Rendez-Vous Viande ont rassembl 152 leveurs sur trois rencontres les 3, 4 et 5 d cembre 2013. Les th matiques du matin ont concern la PAC et la mortalit des duire la mortalit des veaux :Nos v t rinaires conseil, Christine RICHARD et Alban CHARRETTE, sont intervenus sur " comment ma triser la mortablit des veaux ". Le sujet a t repris concr tement sur l' levage visit l'apr s-midi. LeVAGe cONseIL LOIRe anjou ||| Du c t De chez NOus P 3Le message retenirNotre d marche a pour objectif de faire r fl chir les leveurs sur leur int r t ou non produire plus et dans quelles conditions (revenu, investis-sement, travail.)

4 Les rendez-vous de L Levage LaItLAITCAPRINSBOVINSBIOVHPLes Rendez-Vous Lait se sont d roul s du 14 au 30 janvier 2014. Ils ont rassembl 464 leveurs. Le Pr sident Jean-Paul HOUIS a pr sent nos principales r alisations en 2013 et les projets pour 2014. Ces assembl es ont aussi t l'occasion de nommer de nouveaux membres la commission lait : Herv CADRO d'Ass rac (44), Anne-Claire MALLET de M sanger (44), Francine MENIER de Vieil Baug (49), C dric TAUTON de Vieillevigne (44) et Ga tan TETEDOIE de Barbechat (44).Le th me technique a concern les pr occupations des leveurs sur l'adaptation et le pilotage de leurs levages dans un contexte en mouvement : la PAC et la fin des quotas, la d marche CAPACILAIT, l'impact de la g n visites de l'apr s-midi ont permis de pr senter la d marche CAPACILAIT sur des cas concrets en journ es ne seraient pas les m mes sans les visites d' levages.

5 Nous remercions sinc rement tous les leveurs qui ont l'amabilit de nous recevoir pour nos rencontres annuelles :- en caprins : GAEC DE LA CULIERE- en viande : EARL DE LA BLARDIERE, Nicolas CAHAREL et EARL GIRARDEAU- en lait : GAEC DU CORMIER, GAEC DE LA TRESSOULIERE, EARL GODINEAU-BOUTIN, EARL DE LA HUPPE, GAEC DE LA BELLERIE, GAEC DE LA CORNILLAIS, EARL DE LA SOURCE et EARL DES nous ont ouvert Les portes de Leur expLoItatIonLa pr sentation de la d marche a conduit de nombreux adh rents engager une r flexion avec nos conseillers. Il va y avoir des opportunit s d'augmenter les volumes de production et les leveurs s'interrogent. Suite nos Rendez-Vous Lait, 48 d'entre eux se sont inscrits dans des groupes ; une dizaine a demand une intervention individuelle.

6 Les autres vont en rediscuter avec leur conseiller r f TETEDOIEE mmanuel et Bernard GODINEAUP hilippe ROUXELB runo GIRARDEAULA cOLLecte De DONN es ||| LeVAGe cONseIL LOIRe ANJOuP 4deux millions de flacons analys s en 2013En 2013, sur la zone d' levage Conseil Loire anjou , ce sont plus de 3 000 levages bovins et caprins, officiels ou non officiels, qui ont t contr l s. La fr quence des contr les varie de 8 12 fois par an. La coLLecte de donn es Une forte logistique assure la collecte tous les deux jours : 30 mini-tourn es locales et 2 navettes d partementales. Les flacons du matin et de la veille arrivent 15 h 00 au laboratoire qui les analyse jusqu' 20 h 00. Si tous les flacons ne sont pas analys s le jour m me, le reliquat est trait le lendemain d s 6 h les donn es de saisie et d'analyses sont transf r es l'ARSOE qui assure le " mariage " entre les poids de lait et les taux.

7 Il est alors indispensable que le nombre de poids de lait saisi soit gal au nombre d' organisation permet alors un retour des r sultats aux leveurs dans les 48 72 heures suivant le contr 2013, pr s de 2 millions de flacons ont t analys s. Dans 99 % des cas, l'analyse a t faite le jour de l'arriv e de la navette au laboratoire ou le lendemain. Tous nos chantillons de lait sont analys s par le laboratoire Analis SAINT BERTHEVIN (53) accr dit COFRAC. Les feuilles de pes e utilisent le m me circuit. Elles sont d pos es dans des lieux de saisie sur le trajet de la navette, en grande partie CHATEAUBRIANT (44) et SEGRE (49). Tout est saisi le jour m janvier, levage Conseil Loire anjou a t audit dans le cadre de la formation des futurs auditeurs du Syst me de Management de la Qualit (SMQ) du contr le de performances viande.

8 Il s'agit de la d marche similaire au SMQ lait. Le bilan de cet audit a permis de faire un bon tat des lieux de nos pratiques et nous devrions pouvoir nous d clarer conforme au SMQ au printemps Qualit sMQLAITCAPRINSBOVINSBIOVHPN ombre de flacons analys s par mois en 2013 Marc BertInResponsable de la collecte de donn LeVAGe cONseIL LOIRe anjou ||| Le DOssIeRP5assurer une Bonne croIssance de 0 6 MoIsDe 0 6 mois, les tissus musculaires et osseux se d veloppent fortement alors que le tissu adipeux cro t peu. Il faut donc maintenir une croissance lev e pour obtenir un d veloppement adulte optimal. Un retard de croissance sur cette p riode sera tr s difficile dossIerLes g nisses engagent l'avenir du troupeauassurer une Bonne croIssance en FIn de gestatIonLa premi re gestation d bute alors que la g nisse n'a pas encore atteint sa maturit.

9 La conduite alimentaire ce moment pr cis est donc importante, surtout sur les trois derniers mois. La note d' tat au v lage doit se situer entre 3 et 3,5. Des g nisses trop maigres ou trop grasses peuvent avoir des troubles sanitaires autour du v lage, avec risque d'infertilit .La croissance se poursuit ensuite au cours de la premi re lactation : 60 80 kg en v lage pr coce, 30 40 kg en v lage une Bonne coMpL MentatIon MIn raLeD s que la g nisse ne re oit plus de lait, un apport d'aliment min ral est pr voir soit au travers d'un concentr 5 g de Phosphore et 10 g de Calcium, soit de 50 100 g d'un aliment min ral dans le cas d'un concentr les g nisses laiti res, il faut viser 210 kg ou 135 cm de tour de poitrine 6 mois, et les peser ou les mesurer au moins deux fois par an.

10 A partir de ces l ments, on peut construire des rations adapt es aux objectifs et aux types de fourrages DOssIeR ||| LeVAGe cONseIL LOIRe anjou P 6La croissance des g nisses laiti res peut se mesurer gr ce deux techniques : la pes e ou la barym trie (mesure du tour de poitrine).comment mesurer le d veloppement des g nisses laiti res ?La pes e des g nIssesLa pes e permet de conna tre le poids de chaque g nisse. Les rep res, qui d pendent de l' ge au premier v lage, d finissent l'objectif de poids qu'elle doit avoir au moment de cette pes connaissance des gains de poids permet d'ajuster les rations selon l' ge des animaux et l'objectif d' ge au v connaissance du poids selon l' ge permet de fixer l'objectif de gain de poids atteindre.


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