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S dation - Situations sp cifiques et complexes - Col ge

Soci t fran aise d accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) RECOMMANDATIONS DE BONNE PRATIQUE S dation pour d tresse en phase terminale et dans des Situations sp cifiques et complexes : recommandations dans les Situations sp cifiques et complexes RECOMMANDATIONS S dation pour d tresse en phase terminale et dans des Situations sp cifiques et complexes : recommandations pour d tresse dans des Situations sp cifiques et complexes Soci t fran aise d accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) 2 Sommaire Abr viations.

Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) RECOMMANDATIONS DE BONNE PRATIQUE Sédation pour détresse en phase terminale

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1 Soci t fran aise d accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) RECOMMANDATIONS DE BONNE PRATIQUE S dation pour d tresse en phase terminale et dans des Situations sp cifiques et complexes : recommandations dans les Situations sp cifiques et complexes RECOMMANDATIONS S dation pour d tresse en phase terminale et dans des Situations sp cifiques et complexes : recommandations pour d tresse dans des Situations sp cifiques et complexes Soci t fran aise d accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) 2 Sommaire Abr viations.

2 3 Introduction ..4 M thode de travail ..5 Analyse de la litt 1 S dation faisant suite une d cision de limitation ou d arr t d un traitement susceptible de maintenir en vie ..7 Place de la s dation dans certaines Situations neurologiques aigu s : exemple de la place de la s dation en phase aigu et subaigu en neuror animation 7 Place de la s dation lors de l arr t de la nutrition et de l hydratation artificielles chez une personne en tat v g tatif chronique ou tat tr s pauci-relationnel (11) 9 Place de la s dation dans certaines pathologies chroniques : exemple de la scl rose lat rale amyotrophique 10 2 S dation et d tresse motionnelle, psychologique, existentielle jug e r fractaire.

3 10 Situations de souffrance dominante existentielle r fractaire chez une personne atteinte de maladie grave lentement volutive 11 Situations de souffrance dominante psychologique, se mat rialisant par une demande de suicide assist , d euthanasie ou de sommeil induit 13 Recommandations ..16 R f rences bibliographiques ..18 S dation pour d tresse en phase terminale et dans des Situations sp cifiques et complexes : recommandations pour d tresse dans des Situations sp cifiques et complexes Soci t fran aise d accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) 3 Abr viations EMSP quipe mobile de soins palliatifs EPR tat pauci-relationnel EVC tat v g tatif chronique LATA limitation ou arr t de traitement actif USP unit de soins palliatifs S dation pour d tresse en phase terminale et dans des Situations sp cifiques et complexes .

4 Recommandations pour d tresse dans des Situations sp cifiques et complexes Soci t fran aise d accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) 4 Introduction En 2008, dans le contexte de la mission d valuation de la loi n 2005-370 du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et la fin de vie, la Soci t fran aise d accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) a d cid d actualiser et d largir le travail qui avait abouti en 2005 la publication de recommandations concernant la s dation pour d tresse en phase terminale . La d finition de la s dation retenue par les experts r unis par la SFAP est rappel e dans l encadr 1.

5 La s dation peut tre appliqu e de fa on intermittente ou continue. Sont exclus dans la suite de ce texte d autres champs d application possibles de la s dation : l anxiolyse, l analg sie, l'utilisation comme somnif re. La plupart des auteurs r serve la mise en uvre d une s dation profonde maintenue jusqu au d c s aux patients dont la mort est attendue dans un bref d lai, g n ralement de quelques heures quelques jours(1). Une s dation intermittente ou temporaire peut tre propos e en amont de la phase terminale face un sympt me difficile traiter, pour laisser le temps ce sympt me de perdre son caract re r fractaire, soit gr ce au succ s d un traitement sp cifique (2), soit par sa meilleure tol rance par le patient apr s une p riode de s dation (3).

6 En dehors de ces Situations , la question de la place de la s dation peut se poser dans deux types de Situations extr mes : dans la suite d une d cision de limiter ou arr ter un traitement susceptible de maintenir en vie une personne ; lors d une souffrance jug e r fractaire. Sont qualifi es d extr mes les Situations qui nous renvoient nos limites et notre impuissance. L extr me est subjectif et requiert la plus grande vigilance de la part des soignants, un devoir de non-abandon, une thique de responsabilit toujours singuli re.

7 Mais jusqu o partager une exp rience ? Est-elle transmissible ? La situation extr me est tragique au sens o elle semble domin e par un aspect inexorable avec mise en conflit de valeurs et de devoirs incompatibles entre eux tels, par exemple, le devoir de soigner et celui de respecter la parole du patient (4). Les indications et les modalit s de mise en uvres chez l adulte, et les indications de la s dation en g riatrie, en n onatologie, dans le cadre de l 'extr me pr maturit ou de malformations ou maladies n onatales pr sum es l tales font l objet d articles sp cifiques (5, 6, 7).

8 Encadr 1. D finition de la s dation . La s dation est la recherche, par des moyens m dicamenteux, d une diminution de la vigilance pouvant aller jusqu la perte de conscience. Son but est de diminuer ou de faire dispara tre la perception d'une situation v cue comme insupportable par le patient, alors que tous les moyens disponibles et adapt s cette situation ont pu lui tre propos s et/ou mis en uvre sans permettre d obtenir le soulagement escompt . La s dation est une diminution de la vigilance pouvant aller jusqu la perte de conscience qui peut tre appliqu e de fa on intermittente, transitoire ou continue.

9 Cet document pr sente les pr conisations en ce qui concerne la s dation dans certaines Situations qualifi es de sp cifiques et complexes . S dation pour d tresse en phase terminale et dans des Situations sp cifiques et complexes : recommandations pour d tresse dans des Situations sp cifiques et complexes Soci t fran aise d accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) 5 M thode de travail La m thode choisie est le consensus formalis (CF) selon le guide de la Haute Autorit de Sant (HAS). Le choix de cette m thode est li la pauvret de la litt rature m dicale sur le sujet, d une part, et la dimension singuli re et complexe des Situations , source de controverse ou d une h t rog n it des pratiques, voire de d rives, d autre part.

10 Le promoteur du CF est la Soci t fran aise d accompagnement et de soins palliatifs. Le groupe de pilotage (GP), coordonn par le V. Blanchet et R. Aubry, a comport trente-neuf personnes. Ce groupe a d limit les th mes, synth tis et analys de mani re critique les donn es bibliographiques disponibles. Il a r dig l argumentaire bibliographique et une premi re s rie de propositions de recommandations. La recherche bibliographique a t effectu e sur la base Medline en utilisant les mots cl s : mercy killing , terminal sedation , palliative sedation , midazolam , propofol pour la litt rature internationale et avec le Centre de documentation et de recherche national Fran ois-Xavier Bagnoult (CDRN FXB) pour les articles francophones.


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