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1 SOCIAL COLE PRIV E BTS ET PR PACONCOURSL cole ,Votre choix de formation s est port sur le secteur du SOCIAL . Ce secteur dynamique, en volution permanente, b n ficie de nombreux d bouch s. Afin de vous aider dans la construction de votre projet professionnel, nos tablissements s appuient sur : la comp tence de nos professeurs (doctorants dans leur mati re, professionnels ou membres de jury d examen ou de concours) et leur passion pour l enseignement. un cadre propice au travail avec une localisation et accessibilit optimale de nos instituts en centre-ville, proche des l exp rience de la gestion humaine d un public resterez cependant, le principal acteur de votre r ussite en vous appropriant les m thodes de travail enseign es par vos professeurs. L aspect psychologique est un facteur de r ussite non n gligeable, l quipe p dagogique et moi-m me nous ferons un plaisir de compl ter les informations de ce catalogue en vous rencontrant lors de journ es portes ouvertes.

2 Nous nous engageons mettre en uvre les moyens n cessaires afin d optimiser votre r lecture !L titia B che, Directrice p dagogique,Co-fondatrice AdonisUne cole d clar e au RectoratL cole Adonis est d clar e sous le n d activit : 73 31 05425 31 aupr s du pr fet et d livr e par la dipl mes d tatL obtention de vos examens de BTS donne acc s au m me dipl me d tat que si vous tiez inscrits dans une cole programmes officielsNos formations sont soumises un contr le p dagogique qui respecte les r f rentiels de l ducation professeurs certifi sDocteurs en Physique et biologie, Ing nieurs, Cadres de Sant , Di t ticiens, CESF, Assistantes de r ussiteParmi les meilleurs sur le plan national. 10 693 l ves nous ont fait confiance15 ans d exp rienceDes ouvrages de cours inclus dans nos formations !Des classes en petits groupes (10-25 l ves maximum)Des entra nements r guliersDes tablissements accessiblesSOMMAIREC ampus ADONIS.

3 4 Nos coles en France ..8 BTS ESF ..12 BTS SP3S ..14 Bachelor Ressources humaines ..16Pr pa Travailleurs Sociaux ..18Pr pa Auxiliaire de pu riculture ..20 CAP Petite enfance ..21 Options ATSEM et Auxiliaire de pu riculture ..23 Nous rencontrer ..24 Proc dure d inscription ..25 Tarifs et informations ..2644 Vous tes les acteurs de votre r ussite !Nos contenus de cours sont labor s par notre comit d formateurs, majoritairement, membres de jurys, cadres infirmiers ou doctorants dans leur mati re ont fait l objet d un recrute-ment rigoureux quant leur exp rience des concours et des examens. Ils ne paraphrasent pas le contenu des programmes et des documents remis mais compl tent les donn es, les argumentent et les analysent avec vous, toujours en phase avec les exigences du concours. Ils vous proposent une m thode de travail selon les mati res, des conseils pour g rer votre temps au moment des preuves (strat gie dans le choix et la priorit des exercices propos s), des astuces pour optimiser des points (pr sentation de vos ).

4 UNE QUIPE P DAGOGIQUE DE QUALIT Et bien d G rard VinrichProfesseur Universitaire, agr g de Math matiques et auteur d ouvrages sur la DONAIRET riple cursus universitaire chirurgie-biologie-arts plastiquesJean-Yves ClavierTitulaire d un DEA de Droit Public et Membre de jury d examen du BTS262. Les f culents26 | a. Risotto tomates-champignons1. 3U SDUHU OH ERXLOORQ IDLUH FKDX HU O HDX OHV DURPDWHV HW OHV SLFHV2. /DYHU SOXFKHU HW PLQFHU OHV O JXPHV )DLUH FKDX HU OD PDWL UH JUDVVH )DLUH UHYHQLU OHV RLJQRQVPr parer un bouillon3. Ajouter le riz et le faire dextriniser quelques minutes feu vifIl doit devenir translucide27 Techniques culinaires274. Ajouter le vin blanc 6. Ajouter le concentr de tomate et assaisonner7. Ajouter les champignons8. Laisser cuire une vingtaine de minutesLe risotto ne doit pas tre m lang pendant la cuisson.(Q Q GH FXLVVRQ DMRXWHU OH IURPDJH M langer d licatement du bout de la Maintenir temp rature si n cessaire et servir5.

5 Ajouter le bouillon/H OLTXLGH GRLW UHSU VHQWHU IRLV OH volume de riz9 Vous trouverez ci-dessous la r partition exacte des recettes6 L aide et l action socialeL aide sociale repose sur la participation de l tat, des collectivit s territoriales, des organismes de S curit sociale et des organismes de mutualit agricole. Ce sont des prestations qui peuvent tre attribu es en nature (services, actions sociales ou ducatives) ou en esp ces (un seul verse-ment ou des versements p riodiques).Depuis les premi res lois de d centralisation (1982-1983), les comp tences de l tat en la mati re ont t transf r es vers les collectivit s territoriales, en faisant de v ritables actrices de l action sociale. Le d partement est ainsi devenu un chef de file de l aide sociale, r le qui a encore t renforc par la loi du 13 ao t 2004 relative aux libert s et responsabilit s aides sociales l gales, obligatoires, sont directement li es aux transferts de comp tences de l tat.

6 Quant aux aides sociales facultatives (ou extra-l gales), elles sont propres chaque d par-tement qui les finance en fonction de son financement de l action sociale, lui, se partage entre le secteur priv et le secteur public, que ce soit au niveau de l tat ou au niveau pouvoir ex cutif, par le biais des minist res en charge de l action sociale (Minist re des Affaires sociales, de la Sant et des droits des femmes par exemple) finance les grandes politiques d action sociale de lutte contre l collectivit s locales, elles, assurent financi rement leurs diff rentes initiatives. cela s ajoutent des institutions priv es, partenaires de l action sociale, qui peuvent b n ficier de subventions lorsqu elles interviennent dans un cadre r glementaire, en tant qu institutions sociales ou m entendu, il ne faut pas oublier la solidarit nationale qui se manifeste notamment par le biais de dons destin s des associations caritatives (secours alimentaire, dons de v ).

7 3. LES PROBL MES DE FINANCEMENT DES POLITIQUES SOCIALESQ uels que soient les domaines, les d penses concernant la protection Sociale d pendent des contextes d mographique et socio conomique. Face aux probl matiques rencontr es par la soci t actuelle (crise, ch mage, pr carit , vieillissement de la ), elles sont donc en continuelle augmentation (hausse du volume des allocations ch mage, des pensions de ).Parall lement a, la crise financi re g n ralis e a des effets directs sur les modes de finan-cement de la Protection Sociale. Avec la crise, le ch mage augmente, donc la masse salariale diminue. La cons quence directe de ce ph nom ne est la baisse des cotisations sociales et donc des recettes des r gimes de base. Ce d s quilibre budg taire entra ne un d ficit chronique de la S curit Sociale qui pousse les gouvernements essayer de trouver des solutions (ma trise des d penses de sant , r duction des co ts inh rents la Protection Sociale), parmi lesquelles le projet de financement principal probl me rencontr par l aide sociale l gale, c est qu elle ne re oit pas de l tat toutes les contributions de compensation qui lui permettrait de financer de nouvelles comp tences.

8 Si l Allocation Personnalis e d Autonomie (APA) est relativement compens e par le transfert de ressources, ce n est pas le cas du RSA, ce qui oblige les d partements augmenter les taux de la fiscalit locale8. L aide sociale facultative, elle, d pend enti rement des financements, et donc de la sant budg -taire des diff rentes collectivit s conclusion, si le syst me de protection, d aide et d action sociale est multiple dans son offre de prestations et services, cette multiplicit ne suffit pas assurer sa p rennit . Son organisation est en effet complexe, que ce soit au niveau de ses organismes prestataires ou de son C est ce qu on appelle aussi les imp ts locaux : taxe d habitation, contribution conomique 16 Les arts appliqu s sont un domaine des arts qui tudie la relation entre la forme, la couleur des objets ou des l ments architecturaux, les propri t s physiques et chimiques des mat riaux les composant, et la fonction qu ils peuvent designer s interroge sur le mat riau adapt la fonction que l on veut attribuer l objet ou au vo-lume, et essaie en permanence de trouver celui qui r pond le mieux son esth tique de l objet ou de l espace construit a galement un rapport avec ses propri t s formelles.

9 Le c t affectif li son aspect intervient galement dans l usage que va en faire l utilisateur. En effet, l imaginaire collectif li certains objets peut conditionner le type de couleur choisi, afin de ne pas engendrer un rejet de l utilisateur, ou une mauvaise objet compos de plusieurs parties sera r guli rement revisit pour accro tre sa simplicit d utili-sation, question montage, d montage, rangement. La structure modulaire d un objet peut aussi per-mettre sa transformation en un autre objet avec une fonction diff ) Am lioration de la fonction en diminuant le nombre de manipulations : un exemple, le presse-citron de Philippe classique : 2 manipulations. Presse citron Starck : 1 seule manipulation est n cessaire. Les objets de design peuvent donc prendre des formes tr s vari es pour une m me fonction. Exemple : la chaise peut tre fabriqu e avec diff rents mat riaux, tels que le bois, le plastique, le m tal, la pierre, le b ton.

10 Elle sert s asseoir, mais n a pas pour autant 4 pieds (elle peut en avoir un seul, ou deux). Tokujin Yoshioka. S rie invisible light 2011 Fauteuil pivotant oeuf ic ne des ann es 70, du c l bre designer Finlan-dais Eero Aarniochaise empilable charles eames 1945 USArocking-chair-koehler172. La naissance et les grandes poques du la fin du XIXe si cle, l homme commence s int resser au rapport entre l objet et le corps. L ergo-nomie prend de l importance. Le poids de l objet, sa forme doivent s adapter l usage que l on en fait. L architecte Art Nouveau Hector Guimard s int resse l utilisation des objets de la maison. La poign e de porte qu il cr e illustre cet int r t. Ses n cessit s d utilisation en dictent la forme et le style. Hector Guimard a con u sa poign e en prenant un morceau d argile dans sa main et la pressant l g rement : la forme de la poign e pouse celle de la main l chelle 1.