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Sommaire Exécutif - CAAAQ - Accueil

Sommaire Ex cutif L'Association des services en horticulture ornementale du Qu bec (ASHOQ) regroupe les professionnels qui entretiennent les v g taux d ornement (des pelouses, arbres et arbustes) en milieu r sidentiel, commercial et industriel. Ces v g taux sont produits et vendus par les secteurs de la production et de la commercialisation. Le travail des entreprises en entretien d espaces verts consiste entretenir et prot ger ces v g taux en milieu urbain, qui cr ent le patrimoine vert de nos villes et banlieues. Ils sont l extension de l agriculture rurale car comme horticulteurs, ils pratiquent l agriculture urbaine. Au cours des 15 derni res ann es, l ASHOQ a travaill avec l universit Laval, les municipalit s et diff rentes instances gouvernementales sur diff rents projets de recherche et de promotion de la lutte int gr e et des bonnes pratiques culturales respectueuses de l environnement.

3 le MAPAQ, le MELS et Emploi-Québec contribuent à la bonification et à l’élargissement du PSFA aux entreprises du secteur de l’horticulture ornementale et que le MAPAQ investisse dans le Fonds de

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1 Sommaire Ex cutif L'Association des services en horticulture ornementale du Qu bec (ASHOQ) regroupe les professionnels qui entretiennent les v g taux d ornement (des pelouses, arbres et arbustes) en milieu r sidentiel, commercial et industriel. Ces v g taux sont produits et vendus par les secteurs de la production et de la commercialisation. Le travail des entreprises en entretien d espaces verts consiste entretenir et prot ger ces v g taux en milieu urbain, qui cr ent le patrimoine vert de nos villes et banlieues. Ils sont l extension de l agriculture rurale car comme horticulteurs, ils pratiquent l agriculture urbaine. Au cours des 15 derni res ann es, l ASHOQ a travaill avec l universit Laval, les municipalit s et diff rentes instances gouvernementales sur diff rents projets de recherche et de promotion de la lutte int gr e et des bonnes pratiques culturales respectueuses de l environnement.

2 Ce secteur a connu une croissance fulgurante au cours des dix derni res ann es, et ce jusqu l entr e en vigueur du Code de gestion des pesticides en 2006. L ASHOQ craint pour la croissance future du secteur , s il n arrive pas servir ad quatement sa client le. En effet, les nouvelles r glementations provinciales et municipales implant es depuis les derni res ann es rendent plus difficile le travail des professionnels de l entretien. Les membres de l ASHOQ s inqui tent de leur capacit maintenir l int grit des am nagements paysagers de m me qu assurer la satisfaction de leur client le. L ASHOQ craint aussi que cette incapacit nuise ventuellement aux secteurs de la production et de la commercialisation. De plus, les services en entretien des espaces verts ont t l objet de critiques au cours des derni res ann es par des groupes de pression et des m dias.

3 Plusieurs groupes ont tent de renverser l importance de la notion d embellissement et la valeur conomique des am nagements paysagers, pour justifier la r duction des pesticides. L ASHOQ est pour la r duction des pesticides, telles que le d montrent ses nombreuses r alisations au cours des ann es, mais en respectant la conservation des am nagements paysagers. Les plantes sont essentielles la sant physique et mentale des humains, et la pr servation de l environnement en milieu urbain. Elles repr sentent notre patrimoine vert. Pr occup es par la situation, l ASHOQ et la FIHOQ, dont elle fait partie, souhaitent collaborer avec les diff rents intervenants du gouvernement provincial et des municipalit s afin de trouver des solutions concr tes court, moyen et long terme. Nos recommandations Nous souhaitons obtenir des instances gouvernementales la reconnaissance officielle de l industrie de l horticulture ornementale et souhaitons obtenir des appuis non quivoques pour rehausser sa cr dibilit et favoriser son d veloppement.

4 Lorsqu il y a des consultations effectu es par des instances gouvernementales (MDDEP, MAPAQ, etc.) qui peuvent avoir des r percussions sur notre secteur , nous demandons au gouvernement, et notamment au MAPAQ, de contacter directement la FIHOQ, de l informer du dossier en cours et de la consulter au nom des entreprises de services en horticulture et de notre industrie. Nous proposons que le MAPAQ reconnaisse les services d entretien en horticulture ornementale, qui font partie int grante de la cha ne des valeurs en horticulture ornementale, au m me titre qu il reconna t les services de restauration et d h tellerie en agriculture et agroalimentaire. Nous proposons que, par le biais de la FIHOQ, l ASHOQ puissent b n ficier de programmes de subvention lui permettant d effectuer du d veloppement, de la recherche, de l exp rimentation et de la promotion et que les programmes de cr dits d imp t la recherche et au d veloppement, des gouvernements provincial et f d ral, soient maintenus.

5 Nous proposons que le MAPAQ soutienne financi rement et techniquement l Association des services en horticulture ornementale dans l laboration de contenu de formation et la mise en place d une certification provinciale en entretien environnemental et dans la mise jour de normes visant l entretien des espaces verts dans une perspective durable. Une fois le nouveau programme de certification environnementale de m me que les normes mises en place, nous proposons au MAPAQ de soutenir financi rement l Association dans la promotion de cette certification et de ces normes aupr s de l ensemble des citoyens et des municipalit s du Qu bec. 2 Nous proposons au MAPAQ de d fendre et de soutenir via ses experts techniques, l agriculture urbaine aupr s du MDDEP et des autres minist res provinciaux concern s, puisque les v g taux plant s sont la prolongation de notre industrie et que cette agriculture urbaine n est repr sent e actuellement par aucun minist re.

6 Nous proposons au MAPAQ de d fendre l agriculture urbaine aupr s du gouvernement f d ral et de rendre admissible ce secteur , de m me que les autres secteurs de services et de la commercialisation de l horticulture ornementale dans le futur Cadre strat gique agricole. Nous proposons que le MAPAQ intervienne directement aupr s de Sant Canada afin que cette instance acc l re le processus d homologation des produits de remplacement aux produits interdits d utilisation sous l Annexe 1 du Code de gestion des pesticides du Qu bec, tels que de nouveaux pesticides faible impact ou encore l largissement du cadre d utilisation d autres produits existants pour inclure les pelouses. Il serait galement souhaitable que le MAPAQ soutienne financi rement la recherche et le d veloppement de tels produits de remplacements (Ex bioherbicides pour les mauvaises herbes feuilles larges, et insecticides pour le vers blanc) ou qu il incite le gouvernement f d ral investir dans cette recherche de produits alternatifs.

7 Nous proposons que le MAPAQ intervienne aupr s du MDDEP et qu il soutienne la FIHOQ et l ASHOQ dans leurs d marches aupr s des municipalit s afin qu il soit permis aux professionnels de l ASHOQ d appliquer selon des normes et une certification qui seront tablies de concert avec le MAPAQ, le MDDEP, l UMQ et l FMQ, la FIHOQ et le BNQ, certains produits pr sentement interdits d utilisation sous l Annexe 1 du Code de gestion des pesticides du Qu bec et pour lesquels il n existe pas encore de produits de remplacement efficaces faible impact. Nous demandons au MAPAQ de faire la liaison avec le monde municipal afin de les inciter inviter la FIHOQ et ses associations si ger aux tables de r flexions des groupes municipaux (UMQ, FQM, MRCs, groupes de bassins versants, groupes de protection des lacs) en vue de faire valoir leur point de vue et de contribuer trouver des solutions durables et viables pour tous.

8 Nous demandons au MAPAQ de soutenir techniquement et financi rement la FIHOQ et ses associations dans la recherche en mati re de gestion phytosanitaire et dans l laboration de guides de bonnes pratiques autant reli es l entretien des v g taux dans l am nagement paysager qu la rev g talisation des berges, le tout dans une perspective de d veloppement durable. Ces guides pourraient ainsi servir de mod le l ensemble des municipalit s du Qu bec. De plus, cela permettrait le rapprochement des secteurs des services avec les municipalit s. Nous recommandons au MAPAQ de mettre sur pied un programme d aide financi re pour soutenir des initiatives d avant-garde en mati re de pratiques environnementales. Parmi ces initiatives, on compte les consultations et r flexions collectives d industries face des probl matiques environnementales, l laboration de politiques agro-environnementales, la r daction de guides de bonnes pratiques ainsi que le d veloppement d outils et de nouvelles pratiques environnementales.

9 Les axes de d veloppement qui pourraient tre ligibles ce programme seraient : la r duction de pesticides, la r cup ration de l eau, la gestion des mati res r siduelles, les cr dits-carbone et bien d autres. Nous recommandons d ailleurs au gouvernement du Qu bec de remettre en place le programme des cr dits d imp t la veille qui permettait ainsi aux petites et moyennes entreprises d acc der des services de veille strat gique. En mati re d emploi, nous recommandons que la Commission invite les gouvernements provincial et f d ral moduler leurs programmes et leurs interventions aux nouvelles r alit s du march du travail g n rant des emplois de type atypique. Nous recommandons que soient offertes des conditions favorables la formation continue durant les p riodes de ch mage.

10 Nous recommandons que le gouvernement provincial soutienne financi rement les mesures de stabilisation des emplois et que ces mesures soient soutenues de fa on r currente. En mati re de formation et d ducation, nous sugg rons que le nouveau programme en Horticulture et Jardinerie soit implant dans les plus brefs d lais, avec les budgets requis son implantation, de mani re r pondre aux nouvelles r alit s du march du travail. De m me, nous recommandons que Ins r au dernier par. 3 le MAPAQ, le MELS et Emploi-Qu bec contribuent la bonification et l largissement du PSFA aux entreprises du secteur de l horticulture ornementale et que le MAPAQ investisse dans le Fonds de formation professionnelle en horticulture (FFPH) afin de d velopper des activit s de formation continue en horticulture ornementale permettant ainsi un acc s continu aux nouveaux savoirs.


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