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Code du Concept Sohier - kinesitherapie-analytique …

DE LA PHYSIQUE A LA BIOLOGIE, LE CODE DE LA BIOLOGIE MOLECULAIRE MECANOGENE. DES CELLULES DU TISSU CONJONCTIF. Sohier Raymond. **. * Il s'agit ici de rechercher une notion essentielle par ailleurs non reprise dans la litt rature: le Code de la stimulation physique, le Code de l' nergie physique qui engendre les v nements cellulaires biologiques des cinq types de cellules du tissu conjonctif, ceux de notre charpente ost o-articulaire, les fibroblastes, les chondrocytes, les ost oclastes, les ost oblastes et, pour la rondeur de nos fessiers, les adipocytes. Il reste les cellules des muscles lisses. C'est partir de l'analyse de vingt id es-forces et de leurs intercorr lations que nous irons la recherche de la s quence des forces, de la suite ordonn e de forces que le g n tique a inscrite pour d terminer les activit s biologiques m canog nes ad quates, la dynamique du vivant des tissus de nos articulations et de notre colonne vert brale.

DE LA PHYSIQUE A LA BIOLOGIE, LE CODE DE LA BIOLOGIE MOLECULAIRE MECANOGENE DES CELLULES DU TISSU CONJONCTIF. Sohier Raymond. ***** * Il s'agit ici de rechercher une notion essentielle par ailleurs non reprise

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1 DE LA PHYSIQUE A LA BIOLOGIE, LE CODE DE LA BIOLOGIE MOLECULAIRE MECANOGENE. DES CELLULES DU TISSU CONJONCTIF. Sohier Raymond. **. * Il s'agit ici de rechercher une notion essentielle par ailleurs non reprise dans la litt rature: le Code de la stimulation physique, le Code de l' nergie physique qui engendre les v nements cellulaires biologiques des cinq types de cellules du tissu conjonctif, ceux de notre charpente ost o-articulaire, les fibroblastes, les chondrocytes, les ost oclastes, les ost oblastes et, pour la rondeur de nos fessiers, les adipocytes. Il reste les cellules des muscles lisses. C'est partir de l'analyse de vingt id es-forces et de leurs intercorr lations que nous irons la recherche de la s quence des forces, de la suite ordonn e de forces que le g n tique a inscrite pour d terminer les activit s biologiques m canog nes ad quates, la dynamique du vivant des tissus de nos articulations et de notre colonne vert brale.

2 **. 1 re id e. ** A Jean Boudot, un Grand Monsieur de la kin sith rapie fran aise. En 1993 il crivait : "la kin sith rapie d passe les sciences exactes pour embrasser globalement l'homme vers sa BIOLOGIE". ll cr a la revue de Kin sith rapie Scientifique. Au docteur Max Ruelle, notre minent rhumatologue. En 1946 il me disait: "l' tiopathog nie des coxarthroses et de bien d'autres affections articulaires est le plus souvent m canique". **. 2 me id e. ** Cette id e nouvelle bouleverse totalement la kin sith rapie classique. Ne plus orienter le traitement partir des cons quences invalidantes des affections m canog nes des articulations et du rachis mais poss der la potentialit th rapeutique d'en supprimer les causes.

3 Un nouveau monde s'ouvrait pour la kin sith rapie, ce fut la Kin sith rapie Analytique. * Cette nouvelle notion est l'origine de mes travaux. Nous tions en 1946. Treize livres de Kin sith rapie Analytique depuis ont t . commis pour s'ouvrir sur cette autre vision de la biom canique humaine, celle qui conduit vers la biologie mol culaire des cellules du tissu conjonctif. Sous une pens e pist mologique elle s'offre l'art de faire jaillir de l'esprit ce qui ne venait pas l'id e en allant de l'induction la d duction. Quelle est la loi qui va de la physique la biologie pour les cellules du tissu conjonctif aurait dit Socrate en se posant la xi me question. La question: quel est le Code de la stimulation biog ne des cellules du tissu conjonctif ?

4 Il tait quelque part parmi les types de l sions des centaines de patients soign s dans mon service au La Louvi re Belgique. On y soignait de tr s nombreux cas d'affections m canog nes diverses. Le chemin de la d couverte fut celui de la pens e factorielle en appui sur une immense pratique journali re. **. 3 me id e. ** Au premier degr , une des causes des affections articulaires m canog nes r side dans la perturbation de l'impact articulaire l'interligne. L'aspect m canique. La perturbation de l'appui des surfaces en pr sence constitue en effet un important facteur pathom canique, nociceptif. Elle provient banallement soit d'un micro-traumatisme mais plus fondamentalement du fait que le centre instantan des articulations est forc ment excentr.

5 La l sion sera donc le reflet du type de pr dominance fonctionnelle. L'objectivation de la modification de l'impact articulaire s'effectue par nos examens des barri res motrices en convergence de l'articulation en l sion. Au stade d'un senti affin du th rapeute cet examen permet de juger de l' tat m canoceptif de l'articulation. * Notion importante, la r harmonisation biom canique analytique d'une articulation engendre dans l'instant la d contracture parfaite de sa musculature p ri-articulaire. Evaluer l' tat de tension musculaire avant et apr s la technique r harmonisatrice constitue une excellente information pour d finir son degr de r ussite. La normalisation de la r nitence musculaire par nos techniques de repositionnement justifient que nous ne pratiquions que rarement des tensions musculaires devenues inutiles.

6 Les exercices en contraction compl te- tirement complet sont ce sujet plus efficaces si n cessaires. * L'impact modifi justifie que la Kin sith rapie Analytique comporte une premi re phase r harmonisatrice de th rapie manuelle. On repositionne les pi ces du moteur avant de le faire fonctionner. * En 1946, j'ai class les tats pathom caniques de l'interligne sous quatre composantes: le coincement du contenu de l'interligne, les dyscongruences des surfaces articulaires, la d coaptation et la constance d'appui. La constance d'appui, fut-elle gravitationnelle, supprime la stimulation r p titive et cyclique inscrite au g n tique pour une stimulation physique biog ne. C'est en r f rence ces quatre composantes pathom caniques que les techniques analytiques correctrices ont t construites.

7 Elles ne sont jamais manipulatrices puisque r alis es en position courte. **. 4 me id e. ** Pour cerner la pathologie m canique des articulations et du rachis, il fallait aller plus avant dans l'analyse et comprendre qu'une loi de symbiose unit l' nergie physique et la biologie mol culaire du tissu conjonctif. * La biologie du tissu conjonctif comporte en effet deux aspects essentiels que ne pr sentent pas les autres cellules du corps humain: un renouvellement cellulaire continu de parfaite recopie qui est engendr par l' nergie physique que les fonctions motrices et porteuses produisent. Tout est l . C'est la "qualit biologique" de la stimulation physique des forces en transit dans les structures qui constitue donc l'essentiel.

8 Il s'agit des forces qui transitent par le cytosquelette. C'est d'elles que d pendent les r ponses biologiques des cinq types de cellules du tissu conjonctif, celles de notre charpente ost o-articulaire. * De cette notion fondamentale est n le Concept Sohier : pour soigner il faut agir, par la qualit biologique des forces biog nes, au niveau de l'hom ostasie des cellules qui constituent nos articulations. Il fallait aller la recherche des donn es qui g rent les rapports entre les forces physiques stimulatrices et le comportement biologique des tissus. Sous quelles conditions les cellules du tissu conjonctif r alisent-elles les v nements cellulaires inscrits leur ontog n se ou r alisent-elles les activit s m taboliques anarchiques qui engendrent les affections m canog nes, les remaniements structuraux, les ost ophytes, les dysmorphies, les cavernes pseudo-kystiques g odiques, les ost ochondroses, la modification du degr de r nitence musculaire, les d s quilibres vaso-moteurs, arthrocptifs, des transports axo-plasmiques Nous tions en 1952 et seulement d butait l'immense voyage d'analyse des intercorr lations qui unissent les multiples donn es de la biom canique humaine.

9 * En r sum , au premier degr , on pense des affections articulaires et rachidiennes d'origine m canique. Il faut penser la biologie mol culaire m canog ne du tissu conjonctif perturb e par une nergie physique aux composantes inad quates. Il faut penser des forces dont la s quence ne correspond pas celle inscrite l'ontog n se des cinq types de cellules du tissu conjonctif, le Code. * Ainsi vint l'id e de synth se: comment la s lection naturelle utilise-t-elle les lois physiques de notre environnement terreste pour engendrer les lois qui g rent la biologie mol culaire m canog ne des cellules du tissu conjonctif ? Il tait donc essentiel de d couvrir les composantes du Code qui constituent la stimulation physique ad quate, celle inductrice des v nements biologiques des tissus de nos articulations et de notre colonne vert brale.

10 C'est le sujet de cet article. **. 5 me id e. ** La question devient donc bien: comment la s lection naturelle utilise-t-elle les lois physiques de notre environnement terrestre pour assurer celles d'une biologie mol culaire m canog ne du tissu conjonctif. Cette notion conduit au Concept Sohier , pour soigner les affections m canog nes il faut, par la r harmonisation biom canique, puis par celle des cha nes articulaires et musculaires restituer aux articulations la cin matique qui assure leurs tissus leur hom ostasie, le potentiel qu'on les organismes vivants d'assurer dans le temps le maintient de leur quilibre physiologique. * Nous sommes loin d'une r f rence al atoire au rendement fonctionnel ou d'une r f rence aux actions antalgiques de telle technique pour juger de l'efficacit.


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