Inflammation Intra-Discale - vertebre.com

1 Inflammation Intra-Discale crit par Dr Karl Vincent DC, enseignant IFEC Les lombalgies d'origine discale repr sentent la moiti de l'ensemble deslombalgies. Parmi elles, il existe une forme peu connue et de diagnosticdifficile, correspondant une Inflammation est important de reconna tre ce type de souffrance, car il repr sente environ 1/4 des lombalgies , les patients se pr sentent avec des douleurs lombaires basses, recrudescence nocturne (douleurs auxchangements de position dans le lit) et matinale, n cessitant un d verrouillage progressif. A l'oppos , ces douleurs sontpeu pr sentes le reste de la journ est int ressant de constater que les traitements conservateurs classiques n'ont pas de r sultat significatif.

2 Lesanti-inflammatoires non-st ro diens soulagent les patients de mani re intermittente, les douleurs reprenant apr s l'arr tdu traitement. Les antalgiques sont sans 'examen clinique est peu r v lateur, et se caract rise principalement par une douleur en fin d'extension dont la causecorrespond, le plus probablement, une Inflammation de la partie post rieure du distingue deux types de tableau clinique (tableau 1) :1 - une forme aigu , qui atteint principalement les femmes. Il n'existe pas de circonstance d'apparition pr cise. Lesmanipulations vert brales sont sans effet avec blocage de fin de course, et les examens radiologiques n'apportentaucune particularit.

3 Un traitement par Cortancyl (AIS) sur 15 jours en moyenne se r v le - une forme chronique, plus s v re, qui touche les hommes et les femmes dans une m me proportion. L aussi,aucune circonstance d'apparition n'est retrouv e. S'associe la douleur en extension une limitation de la flexion. Ilexiste dans cette forme des irradiations douloureuses de type sciatalgique, uni ou bilat ral. L'imagerie m dicale(radios et IRM) montre ici, le plus souvent, une discopathie, rapidement traitement de cette atteinte s v re est avant tout m dical, et consiste en des infiltrations suivies d'un traitementanti-inflammatoire sur deux reconnaissance de ces pathologies est importante en Chiropratique.

4 Elles sont de diagnostic difficile et doivent trediff renci es des arthropathies inflammatoires dont la principale est la spondylarthrite diagnostic doit tre voqu en cas de non r ponse aux traitements manipulatifs. Celui-ci repose surtout sur lapr sence de douleurs nocturnes accentu es par l'extension. Dans les formes chroniques l'imagerie est n'existe, dans les cas cit s pr c demment, aucun signe radiologique d'atteinte inflammatoire sacro-iliaque et les testssanguins (HLA B27 entre autre) permettent, si n cessaire, de faire la b l e a u 1 FORME AIGUEFORME CHRONIQUESexeFemmesHommes et femmesCirconstance d'apparitionSansIdemDouleurDe type inflammatoire, nocturne etmatinaleIdemIrradiation douloureuseAucuneSciatalgie uni ou bilat raleMobilit Douleur en fin d'extensionIdem et limitation de la flexionManipulationBlocage en fin de courseIdemAINSS oulagement temporaireIdemImagerieNon significativeDiscopathie volutiveTraitementAIS pendant 15 joursInfiltrations et AINS pendant 2 moisR f rences.

5 Inflammation discale , aspects biochimiques et prespectives th rapeutiques, Grange L, Gaudin P, Trocme C, Morel F,Juvin R, , revue de M decine vert brale n 10, juin a t il des signes cliniques de discopathie inflammatoire ? Analyse de quatre crit res cliniques avec test au Cortancylchez 97 patients. JY Maigne, M Ballard Paris le mal de dos, JY Maigne, Masson, 2001.