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PRODUIREEN FRANCEBILAN 2017 DU MARCH de la musique ENREGISTR EEN marche VERS LA REPRISE DU MARCH de la musique ENREGISTR E Le march de la musique enregistr e a progress de + en 2017, pour la deuxi me ann e cons cutive (+ en 2016) et atteint 723 M . R sultat des efforts d ploy s par les producteurs et toute une fili re pour s adapter la nouvelle donne num rique, cette reprise est encourageante. Mais si la reprise se dessine, elle est encore fragile. Avec 583M , le chiffre d affaires physique et num rique commence tout juste recr er la valeur perdue et n atteint que 40% du march de 2002 ( ). Les producteurs de musique sont optimistes, mais consid rent ces indicateurs avec prudence : la dynamique de la production n est pas encore p renne, les nouveaux mod les conomiques ne sont pas encore (En millions d euros)CHIFFRE D AFFAIRES VENTES PHYSIQUES ET NUM RIQUES : +3,9%1,43 Mds 583 M 2017 : +3,9%March total298M 285M 118M 22M Droits voisinsSynchronisationNum riquePhysiqueMarch fran ais de la musique enregistr e 2017 Deuxi me ann e cons cutive de croissance depuis 15 ans2 Le streaming, moteur de cette croissance, poursuit sa progression : ses revenus

EN MARCHE VERS LA REPRISE DU MARCHÉ DE LA MUSIQUE ENREGISTRÉE Le marché de la musique enregistrée a progressé de + 3.9% en 2017, pour la deuxième année consécutive (+5.4% en 2016) et

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  Marche, De la musique, Musique

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1 PRODUIREEN FRANCEBILAN 2017 DU MARCH de la musique ENREGISTR EEN marche VERS LA REPRISE DU MARCH de la musique ENREGISTR E Le march de la musique enregistr e a progress de + en 2017, pour la deuxi me ann e cons cutive (+ en 2016) et atteint 723 M . R sultat des efforts d ploy s par les producteurs et toute une fili re pour s adapter la nouvelle donne num rique, cette reprise est encourageante. Mais si la reprise se dessine, elle est encore fragile. Avec 583M , le chiffre d affaires physique et num rique commence tout juste recr er la valeur perdue et n atteint que 40% du march de 2002 ( ). Les producteurs de musique sont optimistes, mais consid rent ces indicateurs avec prudence : la dynamique de la production n est pas encore p renne, les nouveaux mod les conomiques ne sont pas encore (En millions d euros)CHIFFRE D AFFAIRES VENTES PHYSIQUES ET NUM RIQUES : +3,9%1,43 Mds 583 M 2017 : +3,9%March total298M 285M 118M 22M Droits voisinsSynchronisationNum riquePhysiqueMarch fran ais de la musique enregistr e 2017 Deuxi me ann e cons cutive de croissance depuis 15 ans2 Le streaming, moteur de cette croissance, poursuit sa progression : ses revenus ont augment de 23% en 2017 (+37% en 2016) et avec 243M , repr sentent 42% des revenus du march total.

2 C est l abonnement qui g n re l essentiel de la valeur cr e : il repr sente, lui seul, 83% des revenus du streaming et 35% des revenus du march . Si la progression du nombre d abonn s se poursuit un rythme un peu moins soutenu, + 500 000 en 1 an, soit d abonn s, elle est compens e par une part plus importante des abonn s payants, hors bundle avec un op rateur t l phonique. La croissance du streaming s explique par l adh sion populaire autour de cet usage : de titres ont t cout s sur les services de streaming audio en 2017, c est 5 fois plus qu en 2013. Selon le barom tre SNEP/GFK MusicUsages 2017, 42% des fran ais d clarent couter leurs artistes sur les plateformes de streaming, et ce n est pas une pratique r serv e aux jeunes : un streamer sur 4 a plus de 50 ans. Pour ceux qui l ont adopt , c est m me devenu le principal moyen d coute de DES REVENUS DU STREAMINGx 2,789M 122M 140M 197M 243M 76M 103M 127M 167M 203M Le streaming continue d afficher une forte croissance : +23%La progression soutenue des indicateurs du streamingCA total streamingCA streaming audio payantNombre d abonn sNombre de streamsCA streaming2013201320142014201520152016201 620172017x 2,73 UNE SP CIFICIT FRAN AISE : UN MARCH PHYSIQUE ENCORE TR S IMPORTANT ET UN MARCH NUM RIQUE, RELAIS DE CROISSANCE En dix ans, le march fran ais de la musique enregistr e a profond ment volu.

3 Alors qu en 2007, le march reposait presque exclusivement sur les ventes de supports physiques ( ), il pr sente aujourd hui une quasi-parit entre les revenus issus du num rique (48,8%) et ceux du physique ( ). Le mod le de l achat cohabite d sormais avec le mod le de l acc s. L enjeu est double : accompagner la vitalit du r seau de distribution physique fran ais tout en poursuivant le d veloppement du march num rique. En effet, si les revenus g n r s par les supports physiques baissent de en 2017, ce fl chissement est moins fort depuis 2 ans. Les 3800 points de ventes qui commercialisent de la musique travers tout le territoire demeurent une chance pour le consommateur et une force pour la fili re musicale. Le vinyle s duit toujours plus de consommateurs, avec des volumes multipli s par 4 en 5 ans, mais ne repr sente que 12,2% du chiffre d affaires physique.

4 Coupl e la progression du nombre d abonn s en streaming, cette r silience des supports physiques illustre le retour du consentement payer sur le march de la musique enregistr e. M thodologie 2017 : des donn es plus exhaustives et consolid es sur la base du standard international de l IFPI (International Federation of the Phonographic Industry). Au panel traditionnel du SNEP est appliqu un taux de couverture, sur la base des donn es de volume GfK permettant d appr hender le march fran ais global de la musique enregistr e, en 2017 comme sur les ann es pr c dentes. Aux ventes physiques et num riques s ajoutent d sormais, en plus des droits, les revenus de la de la structure des ventesUne r partition des revenus boulevers e en 10 ans71,2%15,8%7,8%1,4%3,8%NUM RIQUE48,8%6%34,8%51,2%6,8%1,2%92,8%2,8%4 %0,1%0,3%MARCH 560 M MARCH 583 M MARCH 798 M Streaming payantStreaming financ par la pubT l phonie mobileT l chargementPhysique2017201220074LE MARCH de la musique ENREGISTR E 2017 : CHIFFRES CLES(Valeur gros nette de remises et retours)2017 : 583 millions d euros, en hausse de + part de march du num rique fr le le cap des 50% : 49% contre 44% en 2016 MILLIONS D EUROSANN E 2016 ANN E 2017 VOLUTIONM arch num rique248285+ MARCHE561583+ l chargementPhysique55,8%7,7%35,1%1,4%1,2% 2016201751,2%6%41,6% Les ventes physiques se sont stabilis es ( ) Les ventes num riques progressent de dont.

5 - T l chargement Internet : T l phonie mobile : Streaming : + Abonnements +21% Streaming financ par la publicit + DE LA PART DU NUM RIQUE DANS LE CHIFFRE D AFFAIRES de la musique ENREGISTR E201749%201644%201536%201429%201325%2012 25%5 Les revenus du streaming ont pratiquement tripl en 5 ans et repr sentent aujourd hui 243 millions d euros soit plus de 85% des revenus num riques et 42% de l ensemble du march . La croissance de pr s de 15% des revenus digitaux est permise par la dynamique des revenus du streaming, en hausse de 23%. Parmi les revenus du streaming, ce sont les abonnements qui tirent le march : +21% T l chargement Internet : des revenus num riques, en 2016. T l phonie mobile : des revenus num riques, en 2016. Streaming : des revenus num riques, en 2016.

6 Streaming financ par la publicit : des revenus du num rique (12% en 2016) Streaming par abonnement : des revenus du num rique ( en 2016) La structure des ventes num riques Le streaming par abonnement est le moteur de croissance du march Les abonnements payants g n rent 83% des revenus du streaming et repr sentent 35% des ventes globalesSTRUCTURE DES REVENUS DU STREAMINGS treaming par abonnementStreaming financ par la pubStreaming vid oT l chargement internetT l phonie mobileStreaming85%83%8%6%7%11%2016201712 ,3%17,4%2,5%3,2%85,2%79,4%20172016*Hors UGC Universal*6 LES ABONNEMENTS AUDIO REPR SENTENT AUJOURD HUI 83 % DES REVENUS DU STREAMING20132014201520162017 Streaming audio84%84%90%93%89%Dont abonnements64%66%79%85%83%Streaming vid o16%16%10%7%11%Le march global 2017Le march se stabilise et se reconfigure696M 723M +14,7%-4,7%-1,7%+49,6%+3,9%2483131201522 285298118 Droits voisinsSynchronisationNum riquePhysiqueMARCH de la musique ENREGISTR E.

7 ANN E 2017(en milliers d euros)(Valeur gros nette de remises et retours)MARCH PHYSIQUEANN E 2016 ANN E 2017 VOLUTIONTOTAL VENTES DE SUPPORTS PHYSIQUES313 070298 409-4,7%MARCH NUM RIQUEANN E 2016 ANN E 2017 VOLUTIONT L CHARGEMENT43 08835 070-18,6%- Titres17 65014 613-17,2%- Albums24 67619 962-19,1%- Vid omusicales761494-35,2%T L PHONIE MOBILE79156 987-11,7%STREAMING ABONNEMENTS PAYANTS167 308202 44921,0%STREAMING FINANC PAR LA PUBLICIT 29 74440 12634,9%STREAMING197 053242 57523,1%TOTAL VENTES NUM RIQUES248 054284 63114,7%TOTAL MARCH 561 125583 0413,9%201620177 LES CONDITIONS POUR LE RETOUR D UNE CROISSANCE PERENNEC est aujourd hui la seule aide directe dont b n ficient les producteurs de musique enregistr e. Depuis sa mise en place en 2006, le cr dit d imp t la production phonographique a prouv son efficacit en revitalisant la production locale tout en ayant un impact positif pour les finances publiques.

8 Selon une r cente tude, 1 euro de cr dit d imp t d pens g n re en moyenne 3 euros de recettes pour l Etat (source : tude Xerfi novembre 2017 para tre). Les priorit s des producteurs du SNEP Les effets vertueux du cr dit d imp t production phonographiqueP RENNISER LE CR DIT D IMP T LA PRODUCTION PHONOGRAPHIQUE *Recettes fiscales et socialesEFFETS D ENTRA NEMENTPOUR L ENSEMBLE DE LA FILI REDE LA MUSIQUEI mpact sur la productionde nouveaux artistesnon- ligibles au CIPPPr servation de la diversit musicaleContribution au rayonnementde la FRANCE l internationalHausse des investissements engag sEmbauches et/ou maintien du personnel8 musique et radioMusique et t l visionLa radio reste le principal vecteur de d couverte des nouveaut s musicalesUne marge de progression consid rable pour exposer d cemment les artistes en prime timeLE PLUS SOUVENT, COMMENT D COUVREZ-VOUS LES NOUVEAUT S MUSICALES ?

9 59%15%14%12%A la radioEn streaming audioA la t l visionEn streaming vid o sur des sites tels que Youtube, VEVO et dailymotion Quant la musique la t l vision, elle reste l un des programmes les moins expos en prime time tandis que les jeunes talents de la musique n y trouvent plus leur place. 10%TF19%CSTAR7% FRANCE 36% FRANCE 26%W91%M6 MusiqueSportMagazineFilm / Fiction / S rieDocumentaire(hors docu. musicaux)Divertissement / jeu La t l vision et la radio demeurent, m me l re des r seaux num riques, des partenaires essentiels dans le d veloppement et l accompagnement de la carri re d un artiste. Si la diversit des artistes francophones progresse en radio gr ce au nouveau cadre juridique, la concentration des titres reste encore pr occupante sur certains r LA PR SENCE DES ARTISTES DANS LES M DIAS TRADITIONNELS 9 Alors que tous les indicateurs relatifs au streaming progressent, un profond d calage subsiste entre la consommation massive de musique sur une plateforme comme YouTube et les revenus tr s faibles vers s en retour par cette plateforme aux artistes et aux producteurs.

10 Cette grande distorsion s explique par le fait que des services comme YouTube se revendiquent du statut de simple h bergeur de contenus et, ce titre, s affranchissent de n gocier la musique dans des conditions justes, comme le font les services de streaming audio. L ann e 2018, qui verra aboutir la r forme de la directive europ enne relative au droit d auteur, sera d cisive pour le monde de la cr ation. Ce n est pas parce que la musique a fait sa r volution de l offre l gale que les contenus musicaux chappent aux pratiques illicites sur Internet. La n cessaire responsabilisation des interm diaires, notamment les moteurs de recherche, et la lutte contre la pratique du streamripping, constituent deux pr ccupations majeures afin de garantir l am lioration des revenus des producteurs et des artistes. CORRIGER LE VALUE GAP PROT GER LES CR ATEURS DE LA CONCURRENCE D LOYALE DU PIRATAGE Le value gapLes usages illicites, frein persistant au d veloppement de l offre l galeUn obstacle la croissance des revenus du streamingLE STREAMING VIDEO REPRESENTE PR S DES DEUX TIERS DU TEMPS CONSACR AU STREAMING EN consommateursfran aiset 54%des 16-24 ansUTILISENT DES SERVICES DE musique MAIS NE COMPTE QUE POUR 11% DES REVENUS DU STREAMING*Streaming vid oStreaming audio payantStreaming audio financ par la pubStreaming vid oStreaming audio52% POUR YOUTUBE LUI SEUL, YOUTUBE CONCENTREPLUS DE LA MOITI DES HEURESD DI ES AU STREAMING LA DEMANDE16%19%65%*Hors UGC UniversalTemps pass Revenu10LA PRODUCTION MUSICALE FRAN AISE AU TOP DE L ANNEE 2017En 2017, le public a pl biscit les artistes d velopp s et produits en FRANCE .


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