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Quelles sont les principales défaillances du marché

Quelles sont les principales d faillances du march ? Objectifs: montrer que les asym tries d information, l existence de biens collectifs et d externalit s rendent les march s d faillants (rationnement des march s par ex) comment lutter contre les asym tries ? am liorer l information, intervention de l Etat Pr -requis : coordination par le march , march concurrentiel et march s imparfaits Les mots-cl s : asym trie de l information, biens communs/collectifs, passager clandestin, externalit s I. Le march n est pas toujours efficace, il peut tre d faillant A- Lorsque les agents peuvent consommer en m me temps le m me bien ou service Bien collectif ( ) Un bien collectif pur est un bien dont la consommation pr sente les caract ristiques de non rivalit , non exclusion et indivisibilit (ex.)

point de vue performance d’usage et performance environnemental). Elle prend en compte le progrès scientifique et l’évolution technologique. Elle incite à une amélioration continue des performances environnementales des produits ; - la certification par tierce partie: les écolabels sont gérés et attribués par

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1 Quelles sont les principales d faillances du march ? Objectifs: montrer que les asym tries d information, l existence de biens collectifs et d externalit s rendent les march s d faillants (rationnement des march s par ex) comment lutter contre les asym tries ? am liorer l information, intervention de l Etat Pr -requis : coordination par le march , march concurrentiel et march s imparfaits Les mots-cl s : asym trie de l information, biens communs/collectifs, passager clandestin, externalit s I. Le march n est pas toujours efficace, il peut tre d faillant A- Lorsque les agents peuvent consommer en m me temps le m me bien ou service Bien collectif ( ) Un bien collectif pur est un bien dont la consommation pr sente les caract ristiques de non rivalit , non exclusion et indivisibilit (ex.)

2 La D fense nationale). Il est impur si sa consommation peut tre limit e (ex. les autoroutes). Sa consommation est indivisible au sens o la quantit disponible du bien est enti rement consomm e par chacun des agents conomiques membres d une collectivit . Q1. Montrez que le feu d artifice peut tre un bien collectif compte tenu de la d finition ci-dessus. Q2. Quel probl me cela pose-t-il la ville de Carcassonne ? Q3. Quels choix a t fait Annecy ? Q3. Ce type de service pourrait il tre marchand ? Si oui, quels en seraient les conditions ? B- Lorsque les cons quences n gatives de la production ne sont pas support es par les producteurs nathan p88 Q1.

3 Quels sont les diff rentes cons quences de l utilisation massive des automobiles ? Contribue la pollution ( mission de CO2 x2,6 environ entre 1990 et 2010) => augmentation des d penses de s curit sociales li es aux effets sur la sant , aux accidents de la route Q2. Les co ts g n r s par la pollution sont -ils support s par les constructeurs automobiles ou par les utilisateurs d automobiles ? Externalit n gative Q3. En quoi peut on consid r cette situation comme une d faillance du march ? Le march ne tient pas compte des externalit s n gatives doc 3 p 137 Belin PROBLEME DE CE DOC => LA NECESSITE D EXPLIQUER LES INDICATEURS PRENDRA DU TEMPS SANS APPORTER BCP DE CONTENU.

4 Ces co ts externes regroupent les co ts associ s la pollution de l air, le bruit, les encombrements et la congestion automobile, les accidents de la circulation et les co ts des soins de sant , et enfin la lib ration de gaz effet de serre responsables du r chauffement de la plan te Q1. Quel tait le co t externe de la pollution atmosph rique produite par les transport ? Q2. Quel est le co t externe total li l ensemble des impacts n gatifs des transports ? Q3. Quel est le mode de transport qui a le co t externe le plus faible ? C- Lorsque l information est imparfaite et asym trique Asym trie d information Extrait du Roman D autres vies que la mienne Ou nathan p84-85 march des lemons Q : Ach teriez vous cette voiture ?

5 Q1. Pourquoi Mme Fernandez ne peut elle obtenir un prix plus lev sur le march pour sa voiture ? Prix faible car prise de risque par l acheteur, risque de tomber sur un lemon Q2. Ces deux personnes ont-elles int r t vendre leur voiture d occasion sur le march ? Les automobiles de mauvaises qualit chassent celles qui sont de bonne qualit Q3. Sur quelle hypoth se de la concurrence pure et parfaite, peut on parler, ici, de d faillance du march ? transparence du march -> non seulement l information est imparfaite mais elle est asym trique II. Quelles actions peuvent tre mises en uvre pour lutter contre ces d faillances du march ?

6 A partir des exemples suivants, retrouver de quelle d faillances du march il s agit, comment on peut surmonter cette d faillances et qui sont les acteurs qui peuvent intervenir Classer les exemples : Exemples Type de d faillances Solution(s) Agent(s) l origine de la solution Reprendre les exemples pr c dents : march de la voiture d occasion / pollution g n r e par les v hicules <= D un co t de 320 millions d euros, le viaduc de Millau, a t financ et r alis par le groupe Eiffage dans le cadre d une concession, la premi re de ce type par sa dur e de 75 ans. Le p age s levait 8,20 pour les v hicules l gers en juillet-ao t 2011. Les colabels ont t cr s l initiative des pouvoirs publics afin d apporter des garanties aux consommateurs en mati re de qualit cologique des produits ou des services.

7 Demand volontairement par les fabricants (ou les distributeurs, ou les prestataires), un colabel peut constituer un signe de diff renciation int ressant vis- -vis de la concurrence. Tous les colabels doivent pr senter les six caract ristiques suivantes, d crites dans la norme internationale (reprise par l Union europ enne et la France) (NF EN) ISO 14024 (2001) : - la d finition d exigences pr cises : les cahiers des charges (ou r f rentiels) des colabels comprennent des crit res, assortis de seuils respecter, aussi bien pour la limitation des impacts environnementaux des produits que pour leur aptitude l usage. Les colabels font r f rence aux normes en mati re d aptitude l usage des produits, lorsque celles-ci existent dans la cat gorie de produits concern e ; - la prise en compte de l ensemble du cycle de vie des produits : les diff rents impacts environnementaux des produits sont tudi s depuis l extraction des mati res premi res jusqu la fin de vie des produits, en passant par les tapes de fabrication, de distribution et d utilisation.

8 Les exigences environnementales qui en r sultent sont donc d finies pour tous les produits d une m me cat gorie, selon une approche multi- tape et multicrit re ; - la concertation : l ensemble des parties prenantes doit tre associ au processus d laboration des crit res des colabels, c est- -dire des repr sentants des professionnels (fabricants, distributeurs et prestataires), des associations (de consommateurs et de protection de l environnement) et les pouvoirs publics ; - le libre acc s : tout demandeur potentiel doit pouvoir participer au processus d laboration des colabels et toute entreprise qui remplit les crit res d un colabel est autoris e l utiliser ; - la r vision r guli re des exigences : elle est indispensable afin de garantir que l colabel reste s lectif (il doit distinguer les meilleurs produits d un point de vue performance d usage et performance environnemental).

9 Elle prend en compte le progr s scientifique et l volution technologique. Elle incite une am lioration continue des performances environnementales des produits ; - la certification par tierce partie : les colabels sont g r s et attribu s par des organismes tiers ind pendants, qui v rifient r guli rement aupr s des entreprises titulaires la conformit des produits et services aux crit res de l colabel de la cat gorie concern e. Cela passe par des audits r alis s sur le site des entreprises. De plus, des contr les sur les produits ou services sont effectu s p riodiquement. PEUT ETRE NE CONSERVER QUE LES IMAGES DE LABELS + L IMAGE DE 60 MILLIONS DE CONSOMMATEURS + 1 PUB COURS : taxer / inciter / r glementer Conclusion sur les agences de notation ou sur les biens communs Q1.

10 Quel type de d faillances du march ces agences sont elles r soudre ? Q2. Qu valuent elles ? Q3. Pourquoi ces agences sont elles contest es ? LE PROGRAMME INDIQUE BIEN COLLECTIF ET NON BIEN COMMUN. SI ON DECIDE DE TRAITER LES BIENS COMMUNS Biens communs Doc 9 p103 Magnard Doc : Les biens communs entrainent une surexploitation des ressources Q1. Que peut on dire de l accessibilit au poisson dans un 1er temps ? illimit e CONSOMMATION PAR PLUSIEURS PERSONNES A LA FOIS = BIEN COLLECTIF Q2. quelle strat gie ont eu les p cheurs ? P che intensive => maximisation du profit Q3. Quelles ont t les cons quences sur les quantit s de poissson ?


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