Example: biology

REFERENTIELS DE BONNES PRATIQUES ACTUALISÉS SFD …

REFERENTIELSDE BONNES PRATIQUES actualis SSFDPARAMEDICALS urveillance glyc mique ettechnique d injection d insuline et des analogues du GLP1 Mars 2017 Coordonnateur M dical et ETP : Danielle DURAINR seau de Sant Nancy (Nancy Sant M tropole)Pr sident :Ivano MANTOVANIH pital PrincesseGrace MONACO2 Que ce soit pour un sujet porteur d un diab te de type 1 ou de type 2, l auto-surveillance glyc mi-que, la technique injection d insuline et ou GLP1 demeurent des actes majeurs dans la prise en charge de sa maladie et permet chaque patient de g rer au mieux son autocontr le r gulier doit permettre au patient de maintenir un bon quilibre glyc mique et d atteindre des objectifs fix s auparavant avec son m professionnel de sant aide.

optimiser les résultats en adaptant ses doses d’insuline ou de médicaments pour que les glycémies restent dans les objectifs fixés avec le médecin. Il est démontré aujourd’hui, que l’équilibre du diabète de type 1 et de type 2 jugé sur l’HbA1c est corrélé au nombre de contrôles glycémiques (HAS Avril 2011).

Tags:

  Pratiques, Bonnes, Referentiel, Referentiels de bonnes pratiques actualis, Actualis, 201 s sfd

Information

Domain:

Source:

Link to this page:

Please notify us if you found a problem with this document:

Other abuse

Transcription of REFERENTIELS DE BONNES PRATIQUES ACTUALISÉS SFD …

1 REFERENTIELSDE BONNES PRATIQUES actualis SSFDPARAMEDICALS urveillance glyc mique ettechnique d injection d insuline et des analogues du GLP1 Mars 2017 Coordonnateur M dical et ETP : Danielle DURAINR seau de Sant Nancy (Nancy Sant M tropole)Pr sident :Ivano MANTOVANIH pital PrincesseGrace MONACO2 Que ce soit pour un sujet porteur d un diab te de type 1 ou de type 2, l auto-surveillance glyc mi-que, la technique injection d insuline et ou GLP1 demeurent des actes majeurs dans la prise en charge de sa maladie et permet chaque patient de g rer au mieux son autocontr le r gulier doit permettre au patient de maintenir un bon quilibre glyc mique et d atteindre des objectifs fix s auparavant avec son m professionnel de sant aide.

2 Accompagne et duque r guli rement les patients pour que cette auto-surveillance glyc mique soit pratiqu e de fa on adapt 2017 mise jour suivant les tudes FITTER :Fourth Injection Technique & Therapy Expert RecommendationsRome, Italie 23-25 Octobre 2015 New Insulin Delivery Recommendations AH FRID, G KREUGEL, G GRASSI S HALIMIMayo Clin Proc sept 2016:91(9) : 1231-1255 Historique des recommandations En 2003, l Alf diam param dicale ditait les premi res recommandations sur l autosurveillance glyc mique et la technique d injection d insuline. En 2006, un r ajustement avait t r alis.

3 Depuis, certaines choses ont volu es et la Soci t Franco-phone du Diab te Param dical se devait de r diter un nouveau r f rentiel de BONNES PRATIQUES , dans une d marche d am lioration pour tous les acteurs de sant afin de les aider garantir qualit et s curit aux patients. En mai 2010, Ath nes, le workshop (groupe de tra-vail, ) r unissant plu-sieurs pays, a pr sent les r sultats d tudes et des recommandations d montrant que pour obtenir un bon contr le glyc mique, le respect scrupuleux de la technique d injection d insuline est aussi importante que le type et la dose d insuline d livr e.

4 De plus les nouveaux mat riels d injections d insuline et d auto-surveillance glyc -mique ont consid rablement am lior la prise en charge de la maladie diab tique. En octobre 2015, 2016 mise jour suivant les tudes FITTERSOMMAIRE3 SOMMAIRESURVEILLANCE GLYCEMIQUE1. EDUCATION DU PATIENT1a. Eduquer le patient la mesure de la glyc mie1b. Eduquer, aider et accompagner le patient interpr ter les r sultats glyc miques2. MESURE DE GLYCEMIE CAPILLAIRE2a. R alisation de la glyc mie capillaire par infirmi re. Lecteur de glyc mie usage partag 3.

5 CONTR LE QUALITE3a. A domicile et l h pital3b. R aliser des contr les qualit s, c est respecter la l gislation et les r gles d accr ditation4. MODALITES DE PRISE EN CHARGE4a. En France DT1/DT2 Insulinotrait s/DT2 sous antidiab tiques oraux (ADO)4b. Autres pays FrancophonesTECHNIQUE D INJECTION D INSULINE ET GLP11. EDUCATION DU PATIENT2. TECHNIQUE D INJECTION D INSULINE3a. Technique du pli cutan 3. TECHNIQUE D INJECTION DU GLP14. ELIMINATION DES AIGUILLES5. EVALUATION DES ACQUIS DU PATIENTQUESTIONNAIRE D EVALUATIONPage 4 Page 6 Page 9 Page 10 Page 11 Page 12 Page 12 Page 13 Page 13 Page 16 Page 14 Page 17 Page 17 Page 18R f.

6 Diabetes et Metabolism sep 2010 vol. 36 New injection recommendations for patients with diabetesIvano MantovaniPr sidentSFD Param dical(2016-2019)Danielle DurainPr sidenteALFEDIAM Param dical(1991-1995)C est l observance th rapeutique dans l autocontr le glyc mique qui conduira le patient prendre des d cisions permettant d at-teindre les objectifs glyc miques qu il c est fix s avec le m de-cin. Ces d cisions peuvent porter sur l alimentation, l activit phy-sique, l adaptation des doses d insuline, la conduite tenir en cas de malaises et dans les diff rentes situations de la vie quotidienne.

7 Toutefois, l utilisation grande chelle de l auto-surveillance glyc -mique (ASG) n cessite d abord de respecter des principes essentiels. Mal ma tris e, l autosurveillance glyc mique, au lieu de constituer le progr s qu elle repr sente, peut conduire des approximations th rapeutiques, voire des erreurs s rieuses et des probl mes de s curit sanitaire (probl me de contamination). D autre part, au cours des derni res ann es, tandis que l on soulignait l importance de l autosurveillance glyc mique, l insulinoth rapie intensive a t largement d velopp e ainsi que la mise l insuline plus pr coce des diab tiques de type 2 ; et dans toutes situations n cessitant une autosur-veillance glyc mique rapproch e et bien ma tris semble indispensable de sensibiliser r guli rement les patients et le personnel soignant une pratique rigoureuse.

8 C est pourquoi la SFD Param dical, r unissant des infirmi res d horizons diff rents et d exp riences compl mentaires (lib rale, hospitali re, p diatrique, structure de la ville) a labor des r f rentiels de BONNES PRATIQUES , r alisation de la glyc mie capillaire, injection d insuline et du GLP1; afin d aider les acteurs de sant garantir une qualit et une s curit en harmonisant les PRATIQUES enseign es et celles appliqu es au GLYCEMIQUE1. EDUCATION DU PATIENTP ratiquer l autosurveillance glyc mique, c est mesurer sa glyc mie, optimiser les r sultats en adaptant ses doses d insuline ou de m dicaments pour que les glyc mies restent dans les objectifs fix s avec le m decin.

9 Il est d montr aujourd hui, que l quilibre du diab te de type 1 et de type 2 jug sur l HbA1c est corr l au nombre de contr les glyc miques (HAS Avril 2011).Ceci n cessite une ducation du patient qui comporte plusieurs tapes :1a. Eduquer le patient la mesure glyc mique> Aider le patient dans son choix du lecteur de glyc mie et de l autopiqueur (cf annexe ANSM - AFSSAPS) Choisir un lecteur de glyc mie en milieu hospitalier. Les professionnels de sant form s duquent le patient avec le mat riel pr sent et lui apprenent :> Manipuler le lecteur > V rifier la conservation des bandelettes et ou des lectrodes.

10 > R aliser un pr l vement de sang capillaire et la glyc mie. (Conf grille d valuation page 6).> Entretenir et contr ler son lecteur, puisque sans un outil en bon tat de fonctionnement, les r sultats ne seront pas fiables.> Noter les r sultats sur un carnet de surveillance et/ou utiliser de nouvelles technologies (Iphone, Ipad, PDA, ).> D terminer les moments les plus pertinents pour r aliser les glyc mies.> Eliminer les lancettes dans un collecteur et un lieu agr . Les collecteurs ne doivent pas tre jet s dans la poubelle, mais incin r s par un organisme sp cialis ou en pharmacie.


Related search queries