Exercice de récapitulation 4 - CCDMD

1 HOMOPHONESEXERCICE DE R CAPITULATION 41 LES EXERCICES DE FRAN AIS DU de r capitulation Exercice de r capitulation 4 Compl tez les phrases du texte suivant avec un des mots entre parenth ces adresses (son sont) _____ p rim ponseToutes ces adresses sont p rim appartementIls (on ont) _____ lou un appartement d tudiant, (on on n ont) _____aurait jamais cru qu ils y seraient rest s (s y si ci) _____ longtemps. Quand ils ontd m nag , comme tu le (ses c est s est sait sais) _____ puisqu ils (ton t ont)_____ tout dit, je leur ai donn un coup de main.

2 J avais encore mon camion cemoment-l . Ils (mon m ont) _____ demand de venir huit heures, mais ils ne(mon m ont) _____ pas ouvert aussit t : ils dormaient encore. (On Ont)_____ les entendait ronfler du palier et (on on n ont) _____ entendaitchanter une perruche (celle que Jean-Marc (ta t a) _____ donn e par la suite). J taisl tout penaud avec (ma m a) _____ bo te outils et (mon m ont) _____escabeau. Puis ils se (son sont) _____ r veill s, force de m entendre frapper avec(mon m ont) _____ poing, et (mon m ont) _____ offert un caf . Jean-Marca sorti (son sont) _____ harmonica et s est mis jouer, tandis que Marie, toujoursavec (son sont) _____ peignoir sur le dos, a commenc faire les paquets, tu saisbien comment ils (son sont) _____.

3 Quelques jours plus tard, on passe devant leurancien appartement et on lit sur la pancarte que les propri taires (on ont) _____doubl le prix du loyer. (On On n Ont) _____ en croyait pas nos DE R CAPITULATION 42 LES EXERCICES DE FRAN AIS DU L appartementIls ont lou un appartement d tudiant, on n aurait jamais cru qu ils y seraient rest s si long-temps. Quand ils ont d m nag , comme tu le sais puisqu ils t ont tout dit, je leur ai donn uncoup de main. J avais encore mon camion ce moment-l . Ils m ont demand de venir huitheures, mais ils ne m ont pas ouvert aussit t : ils dormaient encore. On les entendait ronflerdu palier et on entendait chanter une perruche (celle que Jean-Marc t a donn e par la suite).

4 J tais l tout penaud avec ma bo te outils et mon escabeau. Puis ils se sont r veill s, forcede m entendre frapper avec mon poing, et m ont offert un caf . Jean-Marc a sorti son harmo-nica et s est mis jouer, tandis que Marie, toujours avec son peignoir sur le dos, a commenc faire les paquets, tu sais bien comment ils sont. Quelques jours plus tard, on passe devantleur ancien appartement et on lit sur la pancarte que les propri taires ont doubl le prix duloyer. On n en croyait pas nos yeux.