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La revanche des Bâtards - Incapable de se taire

La revanche des B tards "Malheur au si cle, t moin passif d'une lutte h ro que, qui croirait qu'on peut sans p ril, comme sans p n tration de l'avenir, laisser immoler une nation! Cette faute, ou plut t ce crime, serait t t ou tard suivi du plus rude ch timent." Relation du voyage de la commission scientifique de Mor e dans le P loponn se, les Cyclades et l'Attique Pr face Quand la cause est diabolique, tous les efforts le sont aussi. Donner plus de la m me chose, n'am liorera rien, seul le petit peuple est capable de mettre fin ce carnage, qui n'a que trop dur . Beaucoup, ne liront pas ce que j' cris, car je donne, et ce qui est donn n'a aucune valeur dans notre monde. C'est bien qu'il en soit ainsi et c'est la raison, pour laquelle j'ai crit un livre qui ne sera jamais termin , ni publi , ni vendu, mais donn.

La revanche des Bâtards "Malheur au siècle, témoin passif d'une lutte héroïque, qui croirait qu'on peut sans péril, comme sans pénétration de l'avenir, laisser immoler une nation!

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1 La revanche des B tards "Malheur au si cle, t moin passif d'une lutte h ro que, qui croirait qu'on peut sans p ril, comme sans p n tration de l'avenir, laisser immoler une nation! Cette faute, ou plut t ce crime, serait t t ou tard suivi du plus rude ch timent." Relation du voyage de la commission scientifique de Mor e dans le P loponn se, les Cyclades et l'Attique Pr face Quand la cause est diabolique, tous les efforts le sont aussi. Donner plus de la m me chose, n'am liorera rien, seul le petit peuple est capable de mettre fin ce carnage, qui n'a que trop dur . Beaucoup, ne liront pas ce que j' cris, car je donne, et ce qui est donn n'a aucune valeur dans notre monde. C'est bien qu'il en soit ainsi et c'est la raison, pour laquelle j'ai crit un livre qui ne sera jamais termin , ni publi , ni vendu, mais donn.

2 Celui qui est Incapable de distinguer l'attracteur mouches du reste, celui qui est Incapable de se d tacher de la forme pour apercevoir le fond, dispara tra bient t. Je ne suis qu'un inculte, sans ducation, sans pr tention ni aucune lettre de noblesse, qui m prise le mensonge, la haine, la violence, la guerre, la domination et l'hypocrisie. Je suis une t te de cochon et d'une intol rance maladive aux compromis d'apparence. Quand j'ai compris qu'il y avait deux ducations, deux lois, deux savoirs et deux classes d'individus qui peuplent la plan te, j'ai aussi compris quelle classe j'appartenais. Je n'ai aucun tabou, ni d'h sitation aborder des sujets comme science, Dieu, divin ou religion, ni plus qu' critiquer ce monde de pseudo connoisseurs et de sp cialistes qui nous dirige.

3 Ai-je un seul doute sur la validit de ce que j' cris ? Aucun ! cette lecture, vous aurez choisir selon votre conscience. Introduction Batard, batard! Vulguaire : Personne quelconque, le commun des mortels, la masse. Dans mon livre Bouleversements climatiques de l Atlantide au vingti me si cle je d crivais le chaos de soci t venir, celui dans lequel nous sommes, travers le r tablissement d une tr s ancienne histoire tr s diff rente de celle que nous connaissons. Le 22 d cembre 2007, je rendais public mon article J accuse Dans lequel, je d crivais que l histoire, ainsi que la g ographie avaient t manifestement trafiqu es. La derni re partie de l article : Le diable est dans les d tails donnait la description d une histoire ancienne diff rente, bas e sur les anciennes cartes marine et les d couvertes du Nouveau Monde.

4 Dans l ensemble, ces textes couvrent l ancienne histoire d une fa on passablement pr cise jusqu au d luge il y a 5000 ans, et d une fa on moins pr cise dans la p riode qui s tend jusqu nous. Ce texte vise corriger ces erreurs, en plus d ajouter une pr cision in gal e dans le dernier 5000 ans, redessinant notre perception de l histoire et notre conception du mot mensonge. Quand j ai compris que l or et les richesses taient bien peu de choses en gard du savoir, je croyais avoir saisi la motivation derri re un m canisme qui s appropriait le savoir au fil du temps, pour dominer le reste du peuple. Puisqu ils enfournaient tout par la force, rien n expliquait le mani risme pris l gard du peuple. Non seulement il y avait une couleuvre s enfiler, mais il fallait se la faire volontairement.

5 Des agissements au fil du temps, qui n tait pas sans rappeler celle du chasseur qui ne d sire surtout pas veiller les sens de la proie somnolente. Ce mani risme sugg rait une peur visc rale, celle que quelque chose soit d couvert, ou ne s veille avant le temps, qui bouleverserait incontestablement l issue d un plan dessin exclusivement pour pallier cette ventualit . L enr lement des id es engageait la loyaut l gard du syst me, de la compagnie, de la secte, de la religion, de l argent, de la performance, de l image, le parc humain ne contenait plus que des moutons et des lions, mais tous ayant l apparence de le r ve de tout lion. Pourquoi fallait-il n cessairement que dans ce grand plan machiav lique, l homme demeure identifi comme le principal orchestrateur de ses propres malheurs alors que les maux ne sont que l uvre de certains ?

6 Un trou id ologique qui prenait manifestement l apparence du grand fr re mal intentionn , posant des gestes hypocrites l gard d un plus jeune, pour soulever l ire paternelle. Dans mon article sur l nergie libre, je d crivais le concept amour-r sistance , l origine de cette grande th orie de l univers appel Dieu. Aucun mysticisme. Une th orie de la science philosophique, une poque o les mots Dieu et religion ne soulevaient pas de tabous. Conservons-en simplement, que la plante, jug e inutile pour un agriculteur, sera arrach e, et qu une autre, jug e utile, sera au contraire fertilis e par le fermier. Un exemple qui n a rien voir avec la d cision humaine, puisque de telles symbioses existent partout dans la nature. La crois e th rique dans laquelle nous sommes, est aussi le moment ou s engage ce choix, une direction volutive qui affecte tout.

7 Amour ou r sistance dans l altruisme, engageront une destin e qui sera support e par Dieu et ses grandes lois immuables d une fa on imparable. Poursuivre ce plan, impliquait donc qu il soit r alis avec l assentiment de la plus grande populace possible, certains moments pr cis du calendrier co ncidant avec ces fameuses crois es c lestes, au risque de voir se soulever une remise en question populaire de l ordre tabli, qui n aurait de cesse. Il fallait donc tout prix assurer l harmonie et le consensus m me factice, en vitant la contestation durant ces p riodes, signe que notre engagement tait l amour, lire alignement des id es, un dessein qui sera aussi support par l effort divin. Ne pas avoir de r sistance est pour eux, un imp ratif. Pour y arriver, ils ont d tronquer l histoire aux glorieux Romains en plus de nous laisser qu une vague id e de tout ce qui s est produit avant le 17e si cle.

8 Pour y arriver, ils ont d faire dispara tre des pans entiers d histoires et de calendrier, raccordant comme au cinoche, les diff rents bouts entre eux. Pour y arriver, ils ont d faire dispara tre de la population une valeur ch re aux anciens, celle d un arbre g n alogique qui identifie les anc tres depuis l origine de l homme. Pour y arriver, ils ont du livrer une guerre constante au savoir et aux cultes populaires comme ils l ont fait en Allemagne ou au Vietnam ou en Irak ou en Cor e ou au Chili ou en Isra l. Pour y arriver, ils ont d gorger des millions de personnes, hommes, femmes et enfants, rasant au sol des r gions enti res avant de contraindre la population l esclavage, non sans avoir oubli de prendre ses richesses au passage. Pour y arriver, ils ont du d truire et censurer des milliers de livres r v lant des bribes de savoir, ce savoir si pr cieux qui permettrait de comprendre.

9 Pour y arriver, ils ont d duquer ceux qui restaient, que tout ce qui venait avant, n tait que balivernes et imb cillit s, instaurant du coup l'obscurantisme. Mais son origine remonte au premier jour o des hommes instruits voulurent assurer leurs connaissances, un caract re surnaturel et un prix incommunicable, pour para tre eux-m mes sup rieurs l humanit , et dominer sur les restes des mortels. Quels furent, sur l esprit humain, en g n ral, et d abord sur la science elle-m me et sur les hommes qui la cultivaient, les effets de ces habitudes jalouses, et si contraires la philosophie lib rale qui se fait aujourd'hui un noble devoir du soin de r pandre les lumi res ? Cette disposition g n rale dut surtout s appliquer l tude des sciences occultes : on ne cherchait que des moyens de produire des merveilles et tout ce qui ne devait pas y conduire semblait peu digne d attention.

10 D une telle m thode, il ne peut que r sulter des connaissances partielles, interrompues par de vastes et importantes lacunes et non pas une science dont toutes les parties encha n es entre elles se rappellent mutuellement, en sorte que la connexit de l ensemble pr serve les d tails de tomber dans l oubli. Chaque secret, chaque connaissance pouvait se perdre isol ment et l habitude du myst re rendait chaque jour le danger plus probable. Ceux qui douteraient de notre assertion peuvent la v rifier sur des faits modernes Histoire des sciences occultes Les anciens tournaient toutes les sciences du c t de l utilit . Tout ce qui n tait pas int ressant pour les arts, pour la soci t tait n glig . Ils rapportaient tout l homme moral et ne croyaient pas que les choses qui n avaient point d usage fussent dignes de l occuper.


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