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PARTIE 1 : SITUATION DU SECTEUR DES PRODUITS …

PARTIE 1 : march Page 1 PARTIE 1 : SITUATION DU SECTEUR DES PRODUITS DE LA MER SITUATION DE LA CAPTURE SITUATION DE LA CONSOMMATION SITUATION DU SECTEUR HALIEUTIQUE MAROCAIN PARTIE 1 : march Page 2 Table des mati res 1 Les d fis majeurs du SECTEUR de PRODUITS de la mer au niveau mondial pour les ann es venir4 La pression sur la ressources disponibles .. 4 Le d fis de la valeur ajout e .. 4 R duction des restrictions l acc s des march s pour les pays en voie de d veloppement 6 2 SITUATION mondiale de la production 7 SITUATION mondiale du SECTEUR de la capture et de la production aquacole.

Partie 1 : marché Page 6 secteur halieutique en particulier le cadre financier, juridique et institutionnel adaptés à son développement

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1 PARTIE 1 : march Page 1 PARTIE 1 : SITUATION DU SECTEUR DES PRODUITS DE LA MER SITUATION DE LA CAPTURE SITUATION DE LA CONSOMMATION SITUATION DU SECTEUR HALIEUTIQUE MAROCAIN PARTIE 1 : march Page 2 Table des mati res 1 Les d fis majeurs du SECTEUR de PRODUITS de la mer au niveau mondial pour les ann es venir4 La pression sur la ressources disponibles .. 4 Le d fis de la valeur ajout e .. 4 R duction des restrictions l acc s des march s pour les pays en voie de d veloppement 6 2 SITUATION mondiale de la production 7 SITUATION mondiale du SECTEUR de la capture et de la production aquacole.

2 7 SITUATION des principales esp ces sauvages commercialis es au niveau mondial .. 8 Thon .. 9 C phalopodes .. 9 SITUATION des principales esp ces d aquaculture .. 9 L aquaculture : une r ponse la p nurie de mati re premi re .. 9 Potentiel de l 10 Les limites au d veloppement de l aquaculture .. 11 Tilapia, perche du Nil, poisson chat Pangasius .. 11 Bar (loup) d 11 12 Mollusques .. 12 Valorisation des poissons de grands fonds et des esp ces peu demand es : une autre r ponse la p nurie ? .. 12 3 March des PRODUITS de la mer.

3 14 Demande en PRODUITS de la mer .. 14 Facteur Prix: un frein la consommation des PRODUITS de la mer .. 15 Les grands march s mondiaux des produit de la mer .. 15 Les grandes volutions des modes de consommation ; ex de l Europe .. 16 volution de la consommation des PRODUITS de la mer .. 17 volution des formes de distribution des PRODUITS de la mer .. 18 volution des grands march s de PRODUITS de la mer transform s .. 22 SITUATION espagnole .. 32 Portugal .. 37 Italie .. 39 France .. 45 Grande Bretagne.

4 55 Belgique .. 59 Pologne .. 60 61 Suisse .. 62 Russie .. 63 Chine et Hong Kong .. 64 Vietnam .. 65 4 SITUATION du SECTEUR des PRODUITS de la mer Marocain .. 65 Fiabilit des donn es statistiques .. 65 SECTEUR de la capture .. 67 Aquaculture .. 74 Utilisation .. 77 Donn es cl s du SECTEUR de la transformation des PRODUITS de la mer .. 79 Dispositif d appui pour la mise niveau de la fili re .. 87 Facteur incitatifs .. 87 Mesures institutionnelles .. 87 Atouts et faiblesse de l industrie de transformation halieutique marocaine.

5 88 PARTIE 1 : march Page 3 Atouts, faiblesse par niveau de production .. 88 Analyse par grande famille de PRODUITS .. 91 PARTIE 1 : march Page 4 1 Les d fis majeurs du SECTEUR de PRODUITS de la mer au niveau mondial pour les ann es venir La pression sur la ressources disponibles La ma trise de la ressource sort tr s nettement du cadre strict de ce rapport centr sur les voies de valorisation des PRODUITS de la mer Toutefois, l importance ce facteur pour l essor de la fili re justifie le d veloppement de cette th matique au travers de plusieurs paragraphes de ce chapitre, notamment aux paragraphes traitant des captures mondiales et du SECTEUR halieutique marocain.

6 Toutefois, il est reste que m me si la ma trise de la mati re premi re est une condition sin qua non pour la mise en place d une fili re dynamique et performante, se limiter ce simple facteur pour expliquer la performance ou l insucc s de la fili re est tr s fortement r ducteur et limitatif car d autres probl mes et enjeux non moins importants et strat giques doivent tre pris en compte , il en est ainsi de la ma trise de la valeur ajout e et des r gles des changes internationaux / barri re tarifaire et non tarifaire trait e par ailleurs dans ce rapport Le d fis de la valeur ajout e Les tudes de la FAO montrent que le volume d activit total du SECTEUR de la p che au niveau mondial atteint la valeur de 400 milliards de dollars en 2007.

7 Sur ce total, le SECTEUR de la capture repr sente 80 milliards, le SECTEUR de l'aquaculture 60 milliards, la premi re transformation 80 milliards ; la seconde transformation 120 milliards et la distribution 80 milliards. D une fa on g n rale, il appara t donc que les secteurs de la deuxi me transformation et de la distribution repr sentent environ 50% du chiffre d affaire globale de la fili re p che au niveau mondial. Il appara t tabli que la PARTIE relative la distribution n a que peut de chance de revenir aux tats producteurs car les march s sont contr l s par les entreprises des principaux importateurs savoir les pays d velopp s.

8 Il appara t en effet tr s peu probable que les entreprises de ces pays laissent chapper leur ma trise sur cette activit Par contre, le d veloppement du SECTEUR de la seconde transformation parait tout fait r alisable si les tats et les diff rents acteurs conomiques des pays concern s s en donnent les moyens. Les enjeux associ s au maintien du chiffre d affaire correspondant ces activit s se comptent en milliers d emplois et en ressources accrues pour le d veloppement des pays concern s. Les donn es de la FAO montrent que les enjeux financiers sont potentiellement normes R partition de la valeur ajout e (VA) au long de la supply chain Morue d Islande Perche du Nil (Tanzanie) Hareng (Danemark) Anchois (Maroc)

9 Moyenne mondiale VA captur es par la distribution et la 2nde transformation 54 % 61 % 75 % 75 % 50 % VA captur e par la transformation 27 % 18 % 17 % 21 % 15 % Va captur e par le SECTEUR de la capture l aquaculture 19 % 16% 8% 4 % 20 % 15 % Source : FAO pour morue, Perche, Hareng, Anchois, Glitnir bbank pour moyenne mondiale PARTIE 1 : march Page 5 La part de la 2nde transformation et de la distribution d passe toujours 50% quel que soit le pays consid r . L analyse montre toutefois des diff rences notables selon les cas tudi s. Ainsi, la part de la valeur ajout e capt e par la 2nde transformation et la distribution est la m me dans le cas du harengs danois et de l anchois Marocains.

10 Mais dans le cas du Danemark, les op rations de la 2nde transformation sont r alis e par des entreprises nationale et la commercialisation est en majorit r alis e sur le march europ en ce qui veut dire que la valeur ajout e d gag e par ces activit s restent sur le territoire de l union Europ enne et contribue donc la croissance g n rale de l conomie alors que dans le cas du Maroc la valeur ajout e de la seconde transformation et de la distribution est bien souvent r alis e par des entreprises Italiennes, Espagnole ou Fran aise ne contribuent donc en rien la croissance nationale.


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