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1 DOCUMENT D'INFORMATION COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURSDICRIM Risques naturels et technologiquesMAROMMESEINE-MARITIMELE MOT DU MAIRE Notre commune est expos e des risques naturels et que les dangers soient localis s dans certaines parties du territoire COMMUNAL , chaque habitant a droit une information pr ventive et pr sent DOCUMENT a pour objectif de vous exposer tous les risques auxquels nous pourrions tre confront s MAROMME : inondation , mouvement de terrain, industriel et transport de mati res vouloir dramatiser, il faut tre conscient que le risque nul n existe pas. Alors, soyons pr ts r agir face ces v souhaite que ce DOCUMENT r alis conjointement avec les services de l tat vous apporte l information claire que vous pouvez attendre sur ce sujet . Le Maire,David LAMIRAY La commune de MAROMME est expos e : 2 risques naturels inondation Mouvement de terrain 2 risques technologiques Industriel Transport de mati res dangereusesConform ment aux articles R125-9 R125-14 du code de l'environnement, ce DOCUMENT a t tabli en juin 2010 par la commune de MAROMME au vu des connaissances locales et des informations transmises par la pr fecture de la Seine-Maritime (SIRACEDPC 76), en collaboration avec la direction d partementale des territoires et de la mer (DDTM), la direction r gionale de l'environnement, de l'am nagement et du logement (DREAL) et le service d partemental d'incendie et de secours (SDIS).

2 PR FECTURE DE LA SEINE-MARITIME1 Important :conserversoigneusementce documentLe risque est consid r comme majeur lorsque l'al a s'exerce dans une zone o existent des enjeux humains, mat riels ou environnementaux importants. Il peut tre : naturel : - inondation (ruissellements, )- mouvement de terrain (effondrements de falaise, cavit s )- temp te, cyclone, avalanche, feu de for t- s isme, ruption volcanique technologique :- industrie- nucl aire- transport de mati res dangereusesD'une mani re g n rale, le risque majeur peut entra ner des d g ts mat riels, des impacts sur l'environnement induisant une charge financi re importante et/ou de nombreuses a : v nement naturel ou technologique potentiellement dangereuxEnjeux : personnes, biens, environnement pouvant tre affect s par l'al aL'article L125-2 du code de l'environnement pr cise que "les citoyens ont un droit l information sur les risques majeurs auxquels ils sont soumis dans certaines zones du territoire et sur les mesures de sauvegarde qui les concernent.

3 " Les articles R125-9 R125-14 pr cisent les modalit s de cette s, les citoyens int greront mieux le risque majeur dans leur vie courante, pour mieux s en prot ger et acquerront ainsi une confiance lucide, g n ratrice de bons comportements individuels et Plan COMMUNAL de Sauvegarde (PCS), labor par le maire, d termine en fonction des risques connus, les mesures imm diates de sauvegarde et de protection des personnes. Il fixe l' chelon COMMUNAL l'organisation n cessaire la diffusion de l'alerte et des consignes. Il recense les moyens disponibles et d finit la mise en oeuvre, par la commune, des mesures d'accompagnement et de soutien de la PCS est obligatoire dans les communes dot es d un plan de pr vention des risques naturels pr visibles approuv ou dans le champ d application d un plan particulier d intervention arr t . La mise en uvre du PCS rel ve de chaque maire sur le territoire de sa commune et doit tre en coh rence avec les plans de secours d partementaux tablis par le pr fet.

4 inondation marni re falaise industriel nucl aire transport de mati res dangereuses2Le risque majeurL'information pr ventive des populations sur les risques majeursLes risques majeurs en Seine-Maritimecr dit IFFO-RMELe plan COMMUNAL de sauvegardeIllustration MAGENTA ConseilLes risques dans votre communeUne inondation est une submersion plus ou moins rapide d'une zone, provoqu e principalement par des pluies importantes, durables ou exceptionnelles lors de ph nom nes orageux. Elle peut se traduire par :- les ruissellements en vall e s che et sur les pentes- le d bordement d'un cours d'eau ( inondation de plaine)- la remont e d'une nappe phr atique- la stagnation des eaux pluviales- l'accumulation de points bas et le d bordement des r seaux d'assainissement. Les risques d' inondation sur le territoire COMMUNAL se traduisent essentiellement par des ruissellements urbains lors de pluies exceptionnelles.

5 Des dommages ont t constat s par arr t s de catastrophe naturelle pour les inondations de :D but de l' v nementDate de l'arr t interminist rielType de catastrophe07/05/198807/10/1988 Inondations et coul es de boue19/07/199406/12/1994 Inondations et coul es de boue16/06/199701/07/1997 Inondations et coul es de boue25/12/199929/12/1999 Inondations, coul es de boue, glissements et chocs m caniques li s l'action des vagues Les zones les plus touch es, comme lors des orages de juin 1997, sont celles se trouvant en contrebas des c tes de la Valette et de risque inondationD finition du risqueSituation du risque MAROMME abritez-vousfermez portes,fen tres, ventilationscoupez le gazetl' lectricit montez pieddans les tages coutezla radion'allez pas cherchervos enfants l' colelib rez les lignespour les secoursLes principales consignes de s curit du risque inondation Un plan de pr vention des risques inondation (PPRI) a t prescrit par le pr fet sur les bassins versants du Cailly, de l'Aubette et du Robec le 29 d cembre 2008.

6 La commune de MAROMME est int gr e dans l aire d tude du PPRI. Ce DOCUMENT r glementera, d s son approbation, l'occupation du sol et la construction dans les zones expos es au risque d' inondation . Dans le cadre du Sch ma d'Am nagement et de Gestion des Eaux (SAGE) des bassins du Cailly, de l'Aubette et du Robec, sont propos es la mise en oeuvre de travaux coordonn s en mati re de protection contre les inondations sur la commune et une ma trise des eaux pluviales dans l'urbanisme (Plan Local d'Urbanisme). Des travaux sur l'ensemble du bassin versant du Cailly sont en cours de r alisation, notamment sous l' gide de la Communaut d'agglom ration Rouen-Elbeuf-Austreberthe (CREA) : cr ation de bassins de retenue, pr servation des prairies inondables, carte de France est diffus e deux fois par jour. Elle est consultable et disponible dans les m dias habituels : journaux, radios, TV et aupr s de M t o couleurs de la vigilance sont les suivantes :Pas de vigilance particuli reSituation normale pour la saison (exemples : neige en hiver, orages en t ).

7 Soyez toutefois attentif si vous pratiquez des activit s sensibles au risque m t tr s vigilant : des ph nom nes m t orologiques dangereux sont pr vus. Tenez-vous au courant de l' volution m t orologique et suivez les conseils mis par les pouvoirs vigilance absolue s'impose : des ph nom nes m t orologiques dangereux d'intensit exceptionnelle sont pr vus. Tenez-vous r guli rement au courant de l' volution m t orologique et conformez-vous aux conseils ou consignes mis par les pouvoirs mouvement de terrain est un d placement plus ou moins brutal du sol ou du sous-sol. Il est fonction de la nature et de la disposition des couches g ologiques. Il est d des processus lents de dissolution ou d' rosion favoris s par l'action de l'eau et de l'homme. Il peut se traduire par :- des glissements de terrain sur des versants instables- des croulements en masse et chutes de pierres et de blocs- des affaissements et effondrements de cavit s souterraines4Pr ventionLe risque mouvement de terrain : cavit s souterrainesD finition du risqueLa vigilance m t orologiqueLes risques dans votre communeIl existe sur l'ensemble du d partement un risque potentiel d'affaissement plus ou moins brutal de cavit s souterraines naturelles ou artificielles (carri res, marni ).

8 En effet, l'exploitation souterraine de la marne, du sable, du silex ou de l'argile s'est pratiqu e jusqu'en 1940. De nombreux effondrements de terrain se produisent r guli rement apr s des pluies hivernales, avec une intensification depuis 1995. Un recensement des indices de cavit s souterraines a t r alis sur le territoire COMMUNAL en septembre 2006. En f vrier 2008, une tude a permis de lever le risque sur 2 indices et de le r duire pour un 3 me cas de menace ou d'incident, les experts peuvent demander : - la consolidation des terrains ou des constructions- le rebouchage de la cavit Des vacuations peuvent tre n cessaires si des habitations sont menac es. L'inventaire des cavit s souterraines est int gr dans la gestion de l'urbanisme par l'application de p rim tre d'inconstructibilit autour des indices r pertori s. Toute personne qui a connaissance de l'existence d'une cavit souterraine ou d'une marni re dont l'effondrement est susceptible de porter atteinte aux personnes et aux biens, doit en informer le maire.

9 Celui-ci communique au repr sentant de l' tat les l ments dont il dispose ce sujet (article L563-6 du code de l'environnement). La cartographie r alis e dans ce DOCUMENT est susceptible d' tre modifi e en fonction de l'actualisation des donn du risque MAROMMEPr vention vacuez l'habitation si elle est menac e loignez-vous de la zone instableLes principales consignes de s curit du risque cavit s souterrainesUn risque industriel majeur est li un v nement accidentel mettant en jeu des produits ou des proc d s dangereux employ s au sein d'un site industriel. Dans le cadre de la demande d'autorisation d'exploiter, l'industriel doit fournir aux services de l' tat une tude de dangers. Cette tude doit reprendre les sc narios d'accidents et en d crire les effets selon trois cat gories : les effets de surpression, les effets thermiques et les effets toxiques. les effets de surpression r sultent d'une onde de choc (d flagration ou d tonation), provoqu e par une explosion.

10 Celle-ci peut tre issue d'un explosif, d'une r action chimique violente, d'une combustion violente (combustion d'un gaz), d'une d compression brutale d'un gaz sous pression (explosion d'une bouteille d'air comprim par exemple) ou d'un nuage de poussi res combustibles. Pour ces cons quences, les sp cialistes calculent la surpression engendr e par l'explosion (par des quations math matiques) afin de d teminer les effets associ s (effets sur l'homme : tympans, poumons, etc). L'effet de projection (impacts de projectiles) est une cons quence indirecte de l'effet de surpression ; les effets thermiques sont li s la combustion d'un produit inflammable ou une explosion. Pour d terminer les cons quences sur l'homme (br lures du 1er, 2e ou 3e degr ), il est essentiel de d finir des flux (quantit de chaleur par unit de surface) ; les effets toxiques correspondent l'inhalation d'une substance chimique toxique (chlore, ammoniac, phosg ne, etc.), suite une fuite sur une installation.