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IE PSTE pour les lignes et les postes • 1973-2013 Milieux ...

LIGNE. Synth se des connaissances environnementales POSTE. pour les lignes et les postes 1973-2013 . Milieux milieu urbain Sommaire Mise en contexte .. 1. Bilan historique .. 3. Cadre r glementaire .. 3. Ampleur et port e des tudes r alis es .. 4. R sultats .. 12. bauche d'une m thode de localisation .. 12. M thodes ad hoc .. 12. La m thode sp cialis e sur le milieu urbain .. 13. Application de la m thode sp cialis e dans le cadre de projets .. 16. Projets r cents en milieu urbain .. 17. Les enseignements .. 20. retenir .. 20. viter .. 20. poursuivre .. 20. Bibliographie .. 21. 4. Pour des raisons historiques, les appellations (noms de lignes et de postes ainsi que vocabulaire m thodologique) et les r gles d' criture utilis es dans cette synth se sont celles qui figurent dans les sources ayant servi sa r alisation.

Milieu urbain 1 1 4 1 1 Mise en contexte Le milieu urbain est un lieu de concentration de populations humaines réunissant une multitude d’usages répartis dans une trame structurée par le

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1 LIGNE. Synth se des connaissances environnementales POSTE. pour les lignes et les postes 1973-2013 . Milieux milieu urbain Sommaire Mise en contexte .. 1. Bilan historique .. 3. Cadre r glementaire .. 3. Ampleur et port e des tudes r alis es .. 4. R sultats .. 12. bauche d'une m thode de localisation .. 12. M thodes ad hoc .. 12. La m thode sp cialis e sur le milieu urbain .. 13. Application de la m thode sp cialis e dans le cadre de projets .. 16. Projets r cents en milieu urbain .. 17. Les enseignements .. 20. retenir .. 20. viter .. 20. poursuivre .. 20. Bibliographie .. 21. 4. Pour des raisons historiques, les appellations (noms de lignes et de postes ainsi que vocabulaire m thodologique) et les r gles d' criture utilis es dans cette synth se sont celles qui figurent dans les sources ayant servi sa r alisation.

2 Pour plus de pr cisions, lire l'avant-propos. Photos de la couverture En haut : Ligne 315 kV Aqueduc-Atwater-Viger le long du canal de l'Aqueduc, Montr al En bas : Poste Berri (120-25-12 kV) Montr al, premier poste en b timent architectur , mis en service la fin des ann es 1960. Photo de l'endos Poste de Limoilou, 230-25 kV, Qu bec, mis en service en 2012. 1. 4. Poste Ad lard-Godbout, situ sur la rue Wellington, Montr al, con u dans un style n oclassique par l'architecte Maurice Perrault en 1901. Mise en contexte Ces compagnies faisaient rayonner leur prestige en soignant beaucoup l'apparence des postes implant s Le milieu urbain est un lieu de concentration de en milieu urbain, comme en t moigne l'architecture populations humaines r unissant une multitude remarquable de certains de ces postes encore d'usages r partis dans une trame structur e par le op rationnels Montr al, Trois-Rivi res et Qu bec.

3 D coupage des lots et le r seau routier. Il se distingue 1. aussi des autres Milieux par des paysages humanis s Gr ce l'enfouissement des lignes , on a aussi pu qui refl tent souvent les diff rentes poques ayant int grer des installations lectriques en milieu urbain marqu son d veloppement au fil du temps. Le milieu tout en pr servant ce dernier. L'enfouissement du urbain volue en effet selon les tendances sociales, r seau de distribution lectrique de la ville de Montr al culturelles et conomiques, et son d veloppement a d but sur la rue Sainte Catherine d s 1913, apr s la est encadr par des outils d'urbanisme, de gestion cr ation de la Commission des services lectriques et de planification du territoire. de la Ville de Montr al1 (CS VM). La construction de la premi re ligne de transport souterraine 66 kV, reliant L' lectrification des grands centres urbains du le poste Dorchester au port, a t r alis e en 1926.

4 Qu bec a t faite en majeure partie par des En 1941, les premi res lignes souterraines 120 kV. compagnies priv es, bien avant la nationalisation ont t install es par la Montreal Light, Heat and de l' lectricit . Power Consolidated sur une distance de 13 kilom tres entre les postes Atwater, Guy et Jeanne-d'Arc. 1. La CS VM (aujourd'hui la CS M) a t cr e le 1. 27 juin 1910 pour qu'on puisse mettre en place un r seau de conduits souterrains destin s loger les c bles lectriques et de t l communication dans la ville de Montr al. milieu urbain 1. Au d but des ann es 1960, on comptait 48 kilom tres de au passage de lignes en milieu urbanis pour certaines lignes souterraines 120 kV Montr al. partir de cette lignes du r seau de transport de la Baie-James (RTBJ) qui date, Hydro-Qu bec a entrepris de d manteler son r seau devaient rejoindre les postes devant constituer le r seau de c bles souterrains haute tension dans la m tropole de la boucle m tropolitaine (voir la figure 1).

5 D'autres pour le remplacer par des c bles plus puissants et des lignes tr s haute tension ont par la suite t planifi es circuits plus adapt s la demande. En 1968, il y avait pour raccorder le r seau de l' le de Montr al ces postes 80 kilom tres de lignes souterraines dont 75 kilom tres de ceinture. Montr al et 5 kilom tres Longueuil. (Crevier, 1968). En 1977, on en comptait 128 kilom tres 120 kV, dont 112 Au cours des ann es 1960 et 1970, par souci d'assurer Montr al (Bri re, 1977b). En 2012 2, le r seau totalisait une meilleure int gration en milieu urbain, Hydro Qu bec plus de 200 kilom tres de lignes souterraines, soit 11 a entrepris, dans le cadre de certains de ses projets de 69 kV, 173 120 kV, 4 230 kV, 16 315 kV et 5 postes ou de lignes , la recherche de solutions de design 450 kV La tr s grande majorit de ces lignes se plus esth tiques malgr le fait que ces projets n' taient trouvent en milieu urbain, particuli rement dans la r gion pas encore assujettis des tudes d'impact.

6 Le poste m tropolitaine (131 kilom tres Montr al, 5 kilom tres Berri, construit en 1967, est le premier avoir profit de Longueuil et 3 Trois-Rivi res). Le reste des autres ce souci d'une meilleure int gration depuis la cr ation circuits sont des barres souterraines dans diverses instal d'Hydro-Qu bec. Vers la fin des ann es 1970, quelques lations, un peu partout ailleurs au Qu bec. C'est aussi lignes 315 kV ont t con ues au moyen de nouveaux dans la m me d cennie qu'est construit le poste pyl nes appel s AVA (aspect visuel am lior ), mieux Dorchester (120-12 kV-4 kV) qui comporte plusieurs adapt s au milieu urbain. tages en souterrain l'arri re du si ge social d'Hydro- Qu bec. Il tait alors le plus important poste souterrain Ces efforts ont toutefois t mis en veilleuse pendant en Am rique du Nord. plus d'une dizaine d'ann es en raison de la r cession conomique des ann es 1980 ainsi que du ralentissement Au cours des ann es 1970, pour acheminer l' lectricit des investissements et du d veloppement du parc provenant des nouvelles centrales de la Baie-James, il a d' quipements de transport d' nergie.

7 Au d but des fallu tendre le r seau de transport d'Hydro Qu bec. C'est ann es 1990, les sp cialistes en environnement ont ainsi que plusieurs lignes a riennes tr s haute tension prouv le besoin de d velopper une approche struc- ont t projet es. Malgr le fait que la grande majorit tur e de localisation et d' valuation des impacts des des territoires traverser taient peu peupl s, Hydro- projets en milieu urbain. L'aboutissement de ces efforts Qu bec a d composer avec des probl matiques propres a t la concr tisation d'une m thode sp cialis e pour Figure 1 : Boucle m tropolitaine 735 kV. Source : Hydro-Qu bec, 1989 a 2. Donn es de juillet 2012 fournies par Martin Choquette, ing nieur lignes et c bles, Hydro-Qu bec Trans nergie. Synth se des connaissances environnementales 2 pour les lignes et les postes 1973-2013 . le milieu urbain en 1996, compl mentaire la M thode (MRC) doit noncer les orientations et les objectifs d' valuation environnementale lignes et postes de 1990, qui d'am nagement qui guideront le d veloppement de son tient compte des caract ristiques et des enjeux propres territoire.

8 Ses volont s se concr tisent dans l'adoption aux Milieux dens ment peupl s. tant donn sa trop d'un sch ma d'am nagement r gional incluant un 1. grande complexit et le fait que l'approche urbanistique plan d'affectation et, au besoin, l'identification de sites propos e tait probablement plus adapt e des projets d'int r t (paysage, zone inondable, patrimoine b ti, etc.). de localisation de sites ponctuels qu' l'implantation Cette planification r gionale doit tre revue p riodique- d'infrastructures lin aires, cette m thode n'a toutefois ment et se refl ter dans la r glementation d'urbanisme jamais r ellement t appliqu e. de chacune des municipalit s incluses dans la MRC. Cette loi fait l'objet d'une r vision en 2012. Durant les ann es 2000, on constate qu'un grand nombre d'installations de transport sont la fin de leur vie utile, En 1985, on modifie la Loi sur les biens culturels en et les besoins li s l'expansion urbaine n cessitent la vigueur depuis 1972 pour habiliter les municipalit s.

9 R alisation de nouveaux projets ou de r fections majeures prot ger une partie de leur patrimoine. Des b timents de postes et de lignes l'int rieur des Milieux urbains. et des lieux d'int r t patrimonial peuvent ainsi tre C'est ainsi que de 2008 2012, treize postes de ce type prot g s, et les interventions proximit de certains ont t con us, construits ou mis en service en milieu d'entre eux peuvent tre limit es. En octobre 2011, urbanis . un nouveau cadre l gislatif est sanctionn ; la nouvelle loi, intitul e Loi sur le patrimoine culturel, entre en Les postes et les lignes initialement implant s en vigueur en octobre 2012. Entre autres, cette nouvelle 4. p riph rie de la ville se trouvent dor navant dans loi ajoute la notion de paysage culturel patrimonial, des secteurs tr s urbanis s. Leur remplacement, leur qui est d fini comme suit : agrandissement ou l'ajout d' quipements ces instal Tout territoire reconnu par une collectivit pour lations deviennent de plus en plus probl matiques, et ses caract ristiques paysag res remarquables le d fi d'att nuer les impacts de ces nouveaux projets r sultant de l'interrelation de facteurs naturels et repose plus sur des choix technologiques judicieux que humains qui m ritent d' tre conserv es et, le cas sur une d marche m thodologique de localisation.

10 Ch ant, mises en valeur en raison de leur int r t historique, identitaire ou embl matique.. Bilan historique Avec l'entr e en vigueur de cette loi, les municipalit s Cadre r glementaire et les communaut s autochtones ont des pouvoirs suppl mentaires visant la protection et la valorisation Lois et r glements du patrimoine mat riel et immat riel (voir la synth se Outre la Loi sur la qualit de l'environnement (LQE) Patrimoine et arch ologie) identifi sur leur territoire. adopt e en 1972 et les r glements qui en d coulent pour encadrer la r alisation des valuations environnementales Enfin, comme la planification de l'am nagement du 1. de projets de lignes et de postes , il faut prendre en territoire rel ve en grande partie des municipalit s compte d'autres lois et r glements pour l'int gration des et que celles-ci doivent se conformer au sch ma quipements lectriques en milieu urbain en consid rant d'am nagement r gional de leur MRC, les plans et les usages actuels, mais aussi les visions de d veloppe- r glements d'urbanisme et de zonage municipal sont ment du territoire concern.


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