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L’ÎLE AU TRÉSOR - crdp-strasbourg.fr

Robert-Louis stevenson L LE AU TR SOR (1883) Traduction : D odat Serval dition du groupe Ebooks libres et gratuits Table des mati res PREMI RE PARTIE LE VIEUX FLIBUSTIER ..7 Chapitre I Le vieux loup de mer de l Amiral Chapitre II O Chien-Noir fait une br ve apparition ..15 Chapitre III La tache noire ..24 Chapitre IV Le coffre de mer ..32 Chapitre V La fin de l Chapitre VI Les papiers du capitaine ..46 DEUXI ME PARTIE LE MA TRE COQ ..54 Chapitre VII Je me rends Bristol ..55 Chapitre VIII l enseigne de la Chapitre IX La poudre et les Chapitre X Le voyage.

Robert-Louis Stevenson L’ÎLE AU TRÉSOR (1883) Traduction : Déodat Serval Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits »

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1 Robert-Louis stevenson L LE AU TR SOR (1883) Traduction : D odat Serval dition du groupe Ebooks libres et gratuits Table des mati res PREMI RE PARTIE LE VIEUX FLIBUSTIER ..7 Chapitre I Le vieux loup de mer de l Amiral Chapitre II O Chien-Noir fait une br ve apparition ..15 Chapitre III La tache noire ..24 Chapitre IV Le coffre de mer ..32 Chapitre V La fin de l Chapitre VI Les papiers du capitaine ..46 DEUXI ME PARTIE LE MA TRE COQ ..54 Chapitre VII Je me rends Bristol ..55 Chapitre VIII l enseigne de la Chapitre IX La poudre et les Chapitre X Le voyage.

2 77 Chapitre XI Ce que j entendis dans la barrique de pommes ..84 Chapitre XII Conseil de TROISI ME PARTIE MON AVENTURE TERRE ..99 Chapitre XIII O commence mon aventure Chapitre XIV Le premier coup ..106 Chapitre XV L homme de l le ..113 QUATRI ME PARTIE LA PALANQUE ..122 Chapitre XVI Le docteur continue le r cit : l abandon du navire ..123 Chapitre XVII Suite du r cit par le docteur : le dernier voyage du petit canot ..129 Chapitre XVIII Suite du r cit par le docteur : fin du premier jour de combat ..135 3 Chapitre XIX Jim Hawkins reprend son r cit : la garnison de la Chapitre XX L ambassade de Silver.

3 150 Chapitre XXI L CINQUI ME PARTIE MON AVENTURE EN MER ..166 Chapitre XXII O commence mon aventure en Chapitre XXIII La mar e Chapitre XXIV La croisi re du Chapitre XXV J am ne le Jolly Roger ..187 Chapitre XXVI Isra l Hands ..194 Chapitre XXVII Pi ces de huit ! ..204 SIXI ME PARTIE LE CAPITAINE SILVER ..212 Chapitre XXVIII Dans le camp ennemi ..213 Chapitre XXIX Encore la tache Chapitre XXX Sur parole ..231 Chapitre XXXI La chasse au tr sor : l indicateur de Chapitre XXXII La chasse au tr sor : la voix d entre les arbres ..248 Chapitre XXXIII La chute d un chef.

4 256 Chapitre XXXIV Et ..264 Mon premier livre par R. L. stevenson ..272 propos de cette dition lectronique ..288 4 L ACHETEUR H SITANT Si des marins Les contes et refrains, Temp tes, aventures, Par chaleurs ou par froidures, Go lettes, les, et marins abandonn s, Corsaires et tr sors cach s ; Si tout ancien roman, redit Dans le style d autrefois, Peut plaire encore Aux jeunes gens instruits de nos jours, Comme il me plaisait jadis, Eh bien, soit ! coutez. Sinon, Si la jeunesse studieuse Oublie ses go ts d autrefois : Kingston, Ballantyne le brave, Cooper des flots et des bois, Ainsi soit-il !

5 Et s il le faut Mes pirates et moi bient t Nous partagerons leur tombeau. R. L. stevenson . 5 S. LLOYD OSBOURNE GENTLEMAN AM RICAIN L HISTOIRE SUIVANTE, CRITE CONFORM MENT SON GO T CLASSIQUE, EST AUJOURD HUI, EN SOUVENIR DE MAINTES HEURES D LICIEUSES, ET AVEC LES MEILLEURS V UX, D DI E PAR SON AMI AFFECTIONN L AUTEUR. 6 7 PREMI RE PARTIE LE VIEUX FLIBUSTIER 8 Chapitre I Le vieux loup de mer de l Amiral Benbow C est sur les instances de M. le chevalier Trelawney, du docteur Livesey et de tous ces messieurs en g n ral, que je me suis d cid mettre par crit tout ce que je sais concernant l le au tr sor, depuis A jusqu Z, sans rien excepter que la position de l le, et cela uniquement parce qu il s y trouve toujours une partie du tr sor.

6 Je prends donc la plume en cet an de gr ce , et commence mon r cit l poque o mon p re tenait l auberge de l Amiral Benbow, en ce jour o le vieux marin, au visage basan et balafr d un coup de sabre, vint prendre g te sous notre toit. Je me le rappelle, comme si c tait d hier. Il arriva d un pas lourd la porte de l auberge, suivi de sa cantine charri e sur une brouette. C tait un grand gaillard solide, aux cheveux tr s bruns tordus en une queue poisseuse qui retombait sur le collet d un habit bleu malpropre ; il avait les mains coutur es de cica-trices, les ongles noirs et d chiquet s, et la balafre du coup de sabre, d un blanc sale et livide, s talait en travers de sa joue.

7 Tout en sifflotant, il parcourut la crique du regard, puis de sa vieille voix stridente et chevrotante qu avaient rythm e et cass e les man uvres du cabestan, il entonna cette antique rengaine de matelot qu il devait nous chanter si souvent par la suite : Nous tions quinze sur le coffre du Yo-ho-ho ! et une bouteille de rhum ! Apr s quoi, de son b ton, une sorte d anspect, il heurta contre la porte et, mon p re qui s empressait, commanda bru-talement un verre de rhum. Aussit t servi, il le but pos ment et 9 le d gusta en connaisseur, sans cesser d examiner tour tour les falaises et notre enseigne.

8 Voil une crique commode, dit-il la fin, et un cabaret agr ablement situ . Beaucoup de client le, camarade ? Mon p re lui r pondit n gativement : tr s peu de client le ; si peu que c en tait d solant. Eh bien ! alors, reprit-il, je n ai plus qu jeter l H ! l ami, cria-t-il l homme qui poussait la brouette, accostez ici et aidez monter mon Je resterai ici quelque temps, continua-t-il. Je ne suis pas difficile : du rhum et des ufs au lard, il ne m en faut pas plus, et cette pointe l -haut pour regar-der passer les bateaux. Comment vous pourriez m appeler ?

9 Vous pourriez m appeler Ah ! je vois ce qui vous in-qui Tenez ! (Et il jeta sur le comptoir trois ou quatre pi ces d or.) Vous me direz quand j aurai tout d pens , fit-il, l air hau-tain comme un capitaine de vaisseau. Et la v rit , en d pit de ses pi tres effets et de son rude langage, il n avait pas du tout l air d un homme qui a navigu l avant : on l e t pris plut t pour un second ou pour un capitaine qui ne souffre pas la d sob issance. L homme la brouette nous raconta que la malle-poste l avait d pos la veille au Royal George, et qu il s tait inform des auberges qu on trouvait le long de la c te.

10 On lui avait dit du bien de la n tre, je suppose, et pour son isolement il l avait choisie comme g te. Et ce fut l tout ce que nous appr mes de notre h te. Il tait ordinairement tr s taciturne. Tout le jour il r dait alentour de la baie, ou sur les falaises, muni d une lunette d approche en cuivre ; toute la soir e il restait dans un coin de la salle, aupr s du feu, boire des grogs au rhum tr s forts. La plupart du temps, il ne r pondait pas quand on s adressait lui, mais vous regardait brusquement d un air f roce, en soufflant 10 par le nez telle une corne d alarme ; ainsi, tout comme ceux qui fr quentaient notre maison, nous appr mes vite le laisser tranquille.


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