Example: bachelor of science

Les médicaments destroubles de l'humeur

Paged'accueil SommaireAvertissementEcrireRechercheR pertoireLivred'or Les m dicaments destroubles de l'humeurPage d'accueilSommairedu coursT l charger L'utilisationdu LithiumLesantid presseursLesanxiolytiques INTRODUCTIONO nparle de troubles de l'humeur quand la thymie (ou humeur) quitte la zonede norma-lit pour s'installer dans un tat tats pathologiques sont de deux ordres: l'humeur d pressive quand elle se situe au del de latristesse normale, onentre dans le registre des pisodes d l'inverse, l'humeur peut- tre expansive quand elle sesitue au del de la joie normale et entre dans le registre des tats d'excitation et d'euphorie appel s pisodes ' pisoded pressif s v re le plus intense est l' pisode d pressif m m me l' pisode expansif le plus caract ristique est l' pisode troubles bipolaires font alt rer les tats d pressifs majeurs avecdes crises maniaques.

Rappel: noradrénaline et sérotonine sont des neurotransmetteurs. Cette hypothèse explique la dépression par le déficit de la noradrénaline et (ou) de

Information

Domain:

Source:

Link to this page:

Please notify us if you found a problem with this document:

Other abuse

Transcription of Les médicaments destroubles de l'humeur

1 Paged'accueil SommaireAvertissementEcrireRechercheR pertoireLivred'or Les m dicaments destroubles de l'humeurPage d'accueilSommairedu coursT l charger L'utilisationdu LithiumLesantid presseursLesanxiolytiques INTRODUCTIONO nparle de troubles de l'humeur quand la thymie (ou humeur) quitte la zonede norma-lit pour s'installer dans un tat tats pathologiques sont de deux ordres: l'humeur d pressive quand elle se situe au del de latristesse normale, onentre dans le registre des pisodes d l'inverse, l'humeur peut- tre expansive quand elle sesitue au del de la joie normale et entre dans le registre des tats d'excitation et d'euphorie appel s pisodes ' pisoded pressif s v re le plus intense est l' pisode d pressif m m me l' pisode expansif le plus caract ristique est l' pisode troubles bipolaires font alt rer les tats d pressifs majeurs avecdes crises maniaques.

2 ! Traitementdes troubles de l'humeur Ilexiste de nombreux outils th rapeutiques:sismoth rapiephototh rapiepsychoth rapiesm dicamentsque l'on range en 2 grandes classes:Lessels de lithium (etanalogues)thymor gulateursLesantid presseursLesanxiolytiques et les s'ajoutent souvent ces th mono th rapie est difficile. hypnotiquesI- UTILISATION DU LITHIUM1 )Quelques d finitions: : diagnostic pos devant untableau d excitation psychomotrice avec euphorie, jovialit ,hyperactivit avec insomnie sans fatigue et troubles du comportement. tatmaniaque Cette pathologie survienten g n ral chez un patient pr sentant une psychose maniaco-d pressiveconnue. Le diagnostic peut tre hospitalisation estsouvent n cessaire :excitation intensed nutrition, amaigrissementtroubles du comportement impossibilit de l entourage faire faceLe traitement requiert unthymo-r gulateur en 1 intention.

3 Dans les formes s v res,d embl e on prescrit un neuroleptique qui r duit l'agitation : reenmonoth rapie,le lithium a une activit antimaniaque propre qui demande plusieurs jourspour se manifester donc on l emploie pour les acc s maniaques peu s v association lelithium potentialise le neuroleptique et permet d en limiter emploie aussila carbaz pine (TEGRETOL 400 800 mg/24 h) ou le valpromide(DEPAKOTEou DEPAMIDE)en seconde intention. ) Elle fait alterner des pisodes d pressifset des acc s maniaques. Le traitement de fond fait appel aux thymo r gulateurs(diminution de la fr quence et de l intensit des crises)Psychosemaniaco-d pressive ou troubles bipolaires : 2 ) Indications des sels de lithiumA- Pr vention des rechutes destroubles thymiques bipolaires ou psychose maniaco-d pressiveTraitement de 1intention des rechutes : 65 % des patientsbipolaires r pondent aux sels de lithium.

4 20 % peuvent esp rer une r missionde leurs troubles avec une lithi mie comprise entre 0,5 et 0,9 mEq re B - Effet anti-maniaque bien tay En 6 10 jours pourl acc s maniaque l ger. Pour les sujets plus gravement atteints ouagit s, les neuroleptiques sont plus Traitement pr ventif de la d pressionunipolaire r currente D- D pression r sistanteLes sels de lithium nesont pas un traitement de1 intention d un tat d pressifisol bien que leur efficacit soit sup rieure celle du plac bo etcomparable celle des anti-d presseurs imipraminiques, mais leuradjonction au traitement anti-d presseur augmente son effet. re E - Action sur l agressivit ind pendantede l humeur 3 ) Effets ind sirables: naus es, troubles de l quilibre,somnolence, constipation, asth nie, ruption :g nantsLes plus fr quents :tremblements desmains chez 25 50 % des sujets trait s.

5 Peuvent dispara tre en r duisantla dose de lithium, mais aussi traitement parpropanolol. prise de poids (4kg en moyenne)troubles cutan s(acn , psoriasis), chute des cheveuxsyndromepolyurie-polydipsie apr s un an de traitement souvent mod r mais quipeut conduire un diab te insipide (dose d pendant) signes biologiques asymptomatiques d hypothyro die. (Sihypothyro diethyroxine). 4 ) Risquesd'intoxication au LithiumNaus es, vomissements,diarrh es, tremblements des extr mit s qui peuvent appara tre si lalithi mie atteint 1,5 mEq/l. Cliquez ci-dessous sur l'image pourl' particuliers pouvant provoquer une intoxication :Touteperte sod e favorise la r absorption tubulaire du sodium et du lithium C est dire: r gime sans seltraitement diur tiquepertes digestives : vomissements, diarrh essudationexcessive3 classes m dicamenteuses diminuent l excr tion urinaire du lithium :les diur tiquesAINSIECS urveillanceaccrue galement en association avec :IRS (rozac,loxyfralrisque de syndrome s rotoninergique)P F neuroleptique (syndrome confusionnel)egretol(troubles neuro-toxiques)T 5 ) ConclusionLe traitement est d embl e de 3 ans le plussouvent.

6 Arr t si pas d am lioration. Pas de d pendance donc pas de r actionde sevrage. En cas de r sistance au lithium on peut proposer egretolou l acide valpro que (Depakoteou DepamideT ).Le traitement est bien codifi . Il faut une s lectiondes patients :r cidive d untrouble maniaque ou d pressif dans les 3 ans suivant l pisode initialpatient inform ,motiv et coop n y a pas de pathologie contre-indiquantformellement un traitement. Attention l existence d uneinsuffisance r nale ou trimestre degrossesse et allaitement (test de grossesse chez la femme en p rioded activit g nitale).Contre indication :erAnnexe 2sp cialit s commercialis es II -LES ANTIDEPRESSEURS (AD) 1 )Introduction: petit rappel sur l' tat d pressif Un d pressif voit sonhumeur modifi e.

7 Dans le langage courant, on parle de bonne humeur oumauvaise humeur. En m decine, on emploie le terme de thymie. Le tonus affectif de based'une personne est la thymie. Elle donne sa vie psychique une certainecoloration et l'am ne ressentir le monde selon cette dispositionpersonnelle. l'humeur une plus ou moins grande stabilit chez un m mesujet. On parle de troubles de l'humeur lorsque la thymie quitte lanormalit . l'humeur peut- tre dite d pressivequand elle se situe au del de la tristesse. En sens inverse, c'est l'acc smaniaque. On parle de d pression l g re,moyenne ou s v ' pisoded pressif majeur (EDM)peut mener au suicide. Il n'y a pas une d pression mais des d pressions.

8 Quels sont les principauxsympt mes de la d pression? est modifi e (humeur d pressivequotidienne allant de La vie psychique du sujet la morosit une intense douleur morale, d go tde la vie, perte d'int r t, sentiment de d valorisation de culpabilit ,ralentissement de la vie mentale -m moire, imagination, raisonnement).Tout est p nible, tout demande un conduite suicidairepeut appara tre. Le suicide appara t comme une solution pour le ce stade il faut faireattention au m dicament qui l ve l'inhibition et permet le gestesuicidaire. galement (contact difficile, id es n gatives,tristesse, souffrance morale). est aussi modifi e par alt ration dusommeil, de l'app tit.

9 Une asth nie souvent s v re se manifeste. Lavie somatiqueLa vie relationnelleFormescliniquesparticuli rement vari esce qui rend le diagnostic difficile malgr les classifications. Il existedes gradations dans l'intensit de la d formes l g res posentle rapport entre le normal et le pathologique (deuil, difficult de lavie).Si chacun n'est pas capablede faire une psychose maniaco-d pressive, chacun peut faire une r actiond pressive ou un tat d pressif caract ris .: Pr valence sur une vie enti re pourl'ensemble des troubles d pressifs, la pr valence est de 20%, 1% pourles troubles d pression est 2 foisplus fr quente chez les femmes, elle augmente avec l' ge. Elle est plusfr quente chez les personnes isol es et les ch des d pressifs sesuicident.

10 :Un traitement antid presseurbien conduit suffisamment longtemps avec un soutien psychologique estefficace dans 70% des cas. 10% des d prim s le resteront malgr 'est en 1957,en observant les effets euphorisants de l'Iproniaside (Marsilid) utilis alors comme antituberculeux., que furent d couverts les premiers m dicamentsantid progr seffectu s depuis, font que l'on dispose aujourd'hui de nombreux antid presseursbien tol r s. Ces traitements ne doivent pas faire oublier l'efficacit ind niable du recours aux psychoth rapies. Le traitementambulatoire est de loin le plus courant. L'hospitalisation est n cessaire en cas de d pressions tr s s v traitement comprendtrois tapes:r gression de l' pisodeaigu consolidation pour viterle rechute traitement pr ventif desr cidives, envisag chez certains ) Classement des ADOn peut classer les antid presseursselon:: la structure chimiqueUne seuleclasse homog ne, celle des :Selon leur efficacit surles diff rents types de d pression, on parle d'AD s datifs, d'ADstimulants, d'AD interm diaires.


Related search queries