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DGO 1 - 6 0 DEPARTEMENT DES EXPERTISES …

R alisation de campagnes de mesures et instrumentation des ouvrages d'art Afin de mener bien ses trois missions fondamentales, la Direction de l Expertise des Ouvrages b n ficie d un laboratoire de mesures performant. Les applications suivantes illustrent, titre d exemples, les multiples domaines de comp tences : Mesures des efforts dans les haubans et suspentes ( Viaduc de Millau). Mesures et analyses de vibrations dans les maisons suite aux plaintes de plus en plus fr quentes des riverains de voiries, vis- -vis du trafic. Cartographie non destructive de l activit de corrosion des armatures d un b ton arm.

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1 R alisation de campagnes de mesures et instrumentation des ouvrages d'art Afin de mener bien ses trois missions fondamentales, la Direction de l Expertise des Ouvrages b n ficie d un laboratoire de mesures performant. Les applications suivantes illustrent, titre d exemples, les multiples domaines de comp tences : Mesures des efforts dans les haubans et suspentes ( Viaduc de Millau). Mesures et analyses de vibrations dans les maisons suite aux plaintes de plus en plus fr quentes des riverains de voiries, vis- -vis du trafic. Cartographie non destructive de l activit de corrosion des armatures d un b ton arm.

2 Instrumentations bas es sur des mesures de contraintes ( Ascenseur de Str py-Thieu, Pont canal du Sart), de d placements, de temp rature et d humidit dans le b ton, .. Utilisation de nouveaux capteurs comme l extensom trie par fibres optiques. Ce type de capteur reste op rationnel durant de longues ann es et est insensible aux interactions lectromagn tiques. Pour un diagnostic correct de probl mes complexes, l utilisation conjointe de diff rentes techniques d auscultation est souvent indispensable. Mission Le SPW poss de environ 3700 ponts. Le r glement de gestion de ceux-ci donne aux diff rentes directions territoriales la responsabilit de la conception et de la gestion courante de leurs ouvrages.

3 Pour remplir cet objectif, ces directions territoriales peuvent s'appuyer sur les services sp cialis s du D partement des EXPERTISES Techniques dont la Direction de l'Expertise des Ouvrages (DGO1-65). Les missions de cette derni re peuvent se synth tiser comme suit : La DGO1-65 s occupe galement d autres types de structures tels qu cluses, ascenseurs bateaux, silos sel, habitations, b timents industriels, .. Recherche et d veloppement Devant les fr quentes nouveaut s dans le domaine des d gradations ou des besoins en mesure, il est indispensable de d velopper une d marche de recherche.

4 La Direction de l Expertise des Ouvrages recherche, adapte et d veloppe de nouveaux outils n cessaires l'examen des d gradations non visibles (par exemple d fauts d'injection de c bles de pr contrainte et de haubans, feuilletage du b ton des dalles de tablier de ponts, corrosion dans des endroits non accessibles ..). Les techniques actuellement en cours de d veloppement au sein de la direction sont : l impact- cho, la thermographie infrarouge pour l'examen des dalles de tablier, le g oradar pour la d tection de d laminations dans les dalles de tablier, pour la localisation de c bles, d armatures.

5 Le contr le par mission acoustique pour la d tection de fissures, corrosion, rupture de fils de pr contrainte, .. l'auscultation dynamique de dalle de tablier de ponts pour d tecter des d laminations. Enfin, constatant les difficult s rencontr es par les directions territoriales pour la r alisation des inspections visuelles (type A), la Direction a galement d velopp le Bridge-boy, un outil informatis de terrain. DIRECTION G N RALE OP RATIONELLE DES ROUTES ET DES B TIMENTS N Vert : 0800 11 901 (informations g n rales) DGO1 - 60 DEPARTEMENT DES EXPERTISES TECHNIQUES Direction de l Expertise des Ouvrages Rue C te d Or 253, B-4000 Li ge T l.

6 : +32 (0)4 231 63 04 M l. : MISSIONS ET ACTIVITES Version du 15/09/2010 5 R alisation d' EXPERTISES Si, durant la vie d'un ouvrage, le service gestionnaire d tecte une anomalie, il sollicite l intervention de la DGO1-65. Celle-ci r alise une inspection du d faut (examen visuel, mesures in situ, essais en ). Cette expertise comporte imp rativement les cinq tapes suivantes : 1. D tection des d fauts et d gradations. 2. D termination de leurs origines. 3. D termination du degr de r activit r siduelle du processus d'alt ration identifi . 4. Synth se, avec toutes les parties impliqu es, des r sultats obtenus lors des investigations.

7 5. Proposition de traitement ou de r paration. Ce type d analyse allie imagination et connaissances (mat riaux et leurs pathologies, fonctionnement des structures, techniques de constructions, m thodes d investigations, ..). Cette d marche, rarement enseign e dans nos coles et universit s, s acquiert par l exp rience acquise sur le terrain, la formation continue et les contacts avec les coll gues belges et trangers. Cette exp rience est renforc e par l tendue du domaine d intervention de la Direction de l Expertise des Ouvrages, qui couvre tout le parc wallon des ouvrages d art. Chaque ann e, environ 150 EXPERTISES sont r alis es par la Direction de l Expertise des Ouvrages, auxquelles il convient d'ajouter une centaine d ouvrages sous surveillance renforc e (ouvrages avec r actions alcalis-granulats, ponts bielles pr contraintes, cul es en terre arm e, tabliers de ponts souffrant du ph nom ne de "pourrissement du b ton".)

8 La dur e d une expertise est intrins quement variable. Quelques heures sont parfois de trop alors que dans d autres cas plusieurs mois ne sont pas suffisants. Sur site, l inspection d un ouvrage d art, implique souvent d atteindre des endroits peu accessibles. Tous les moyens sont bons : chelle, l vateur, corde, nage, bateau, ramping, .. Les inspecteurs de ponts doivent allier bonne t te et bonnes jambes. Les EXPERTISES d ouvrages sont galement l occasion de d couvrir de nouvelles pathologies. Ainsi dans les ann es 1980, des r actions alcalis-granulats ont t observ es en Belgique pour la premi re fois.

9 Dans les ann es 1990, ce sont des d gradations de tabliers de ponts en b ton, qui se sont faites de plus en plus fr quentes. Apr s plusieurs ann es de recherche cette combinaison de pathologies, nomm e "pourrissement des dalles de tablier de ponts" a livr ses secrets. La connaissance de ces pathologies permet aussi d am liorer la conception des nouveaux ouvrages. La DGO1-65 apporte dans ce cadre l , sa contribution dans l laboration de documents normatifs tel le cahier g n ral des charges type RWD. R alisation d'essais de mise en charge La vie publique d'un pont commence apr s avoir v rifi son bon comportement sous un chargement test (camions lest s).

10 Cet essai a pour but de contr ler le bon fonctionnement de l'ouvrage par rapport la note de calcul et aux prescriptions normatives. Il est r alis sur des ouvrages neufs, sur des ouvrages existants ayant subi d importantes r parations structurelles ou encore dans le cadre d une expertise, afin d valuer l impact des d gradations sur la stabilit r siduelle. L essai statique est compl t par la mesure des fr quences propres du pont. Leur volution dans le temps, permet de contr ler le bon comportement du pont. Contr le sur chantier de techniques sp ciales Les contr les sur chantier sont r alis s par les directions Territoriales paul es par les services du D partement des EXPERTISES Techniques.


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