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Infection ou Colonisation: une source importante du m susage antibiotique Pierre Marie RogerInfectiologieDESC Maladies Infectieuses et TropicalesOctobre 2015ouinonDonn essuffisantes ?AB indiqu ?AB alternatif moins toxiqueAB alternatif moins cher, ou dur e trop longueAB alternatif spectre moins largeStopStopStopStopStopStopAB alternatif plus efficaceAntibioth rapiesde bonne qualit Evaluation Antibioth rapies un jour donn 25% d ATB inutiles40% des ATB sous optimalesPlan D finition(s); Limite(s) FocusoInfections urinaires oInfections respiratoiresoPlaies chroniques / IOAoLecture Critique d Article Implications Perspectives3 Plan D finition(s); Limite(s) FocusoInfections urinaires oInfections respiratoiresoPlaies chroniques / IOA Lecture Critique d Article Implications Perspectives4 contamination : mise en vidence de microbes non pr sents dans le site pr lev colonisation : pr sence de microbes sans Infection associ e Infection : signes cliniques associ s la pr sence de microbes connus pour tre l origine des sympt mes observ s selon les techniques mises

Bacterial colonisationof the burn wound: a UK experience. AlrawiM1, Crowley TP2, Pape SA1. J Wound Care.2014 May;23(5):274‐7. Abstract OBJECTIVE: Bacterial colonisationof the burn wound remains a major source of morbidity and mortality in burns patients.

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1 Infection ou Colonisation: une source importante du m susage antibiotique Pierre Marie RogerInfectiologieDESC Maladies Infectieuses et TropicalesOctobre 2015ouinonDonn essuffisantes ?AB indiqu ?AB alternatif moins toxiqueAB alternatif moins cher, ou dur e trop longueAB alternatif spectre moins largeStopStopStopStopStopStopAB alternatif plus efficaceAntibioth rapiesde bonne qualit Evaluation Antibioth rapies un jour donn 25% d ATB inutiles40% des ATB sous optimalesPlan D finition(s); Limite(s) FocusoInfections urinaires oInfections respiratoiresoPlaies chroniques / IOAoLecture Critique d Article Implications Perspectives3 Plan D finition(s); Limite(s) FocusoInfections urinaires oInfections respiratoiresoPlaies chroniques / IOA Lecture Critique d Article Implications Perspectives4 contamination : mise en vidence de microbes non pr sents dans le site pr lev colonisation : pr sence de microbes sans Infection associ e Infection : signes cliniques associ s la pr sence de microbes connus pour tre l origine des sympt mes observ s selon les techniques mises en uvre, concernent tous les agents infectieux possibles: bact ries, virus, champignons, parasitesD finitions.

2 Contamination / Colonisation / InfectionDiff rencier ces 3 diagnostics est un effort quotidien Pr l vements sur sites st rilesoH moculturesoPr l vements chirurgicaux Pr l vements osseux dans IOAoPonctions sur s reusesoPonctions lombaires < 20% des pr l vements Pr l vements sur sites colonis soECBUoTous les pr l vements respiratoires: ECBC, LBA, brosse, aspirations trach l vements cutan s > 80% des pr l vementsEffort toujours men ?- LCA pour illustration -79 Donn es introductivesLes infections communautaires et nosocomiales sont une cause importante de mortalit hospitali reL antibioth rapie pr coce est la pierre angulaire du traitement de ces infections, associ e aux gestes de drainages et/ou de r section chirurgicales n cessairesLe retard d administration des antibiotiques augmentele risque de mortalit hospitali reL efficacit de l antibioth rapie probabilistes, visant les germes suppos s tre en cause, devient al atoiredu fait de la r sistance bact rienneQuestion pos e : quel est l impact d une antibioth rapie inadapt e sur le devenir d un patient en sepsis s v re vu aux Urgences ?

3 10M thode :1112 Caract ristiques m thodologiquesEnqu te prospectivede cohortemonocentriqueAnalyse uni- puis multivari eD finition de l antibioth rapie inadapt e ?(crit re de jugement) c est une antibioth rapie inefficace sur le germe isol par les pr l vements microbiologiques18 Principaux R sultats des patients infect s de la cohorte devant recevoir une antibioth rapie ont re u un traitement inadapt L AI plus fr quente au cours des infections nosocomiales Mortalit hospitali re major e en cas d AI: RR ; IC 95%: des agentspathog nes isol s20 D finition de l antibioth rapie inadapt inadapt e elle m me car amenant consid rer comme responsable de l infectionune colonisation21contamination : mise en vidence des microbes non pr sents dans le site pr lev Fr quence: relative l inoculum environnemental et au respect des r gles de pr l vements et d exploitation au laboratoire Concerne ceux / celles qui pr l vent aupr s des patients Concerne ceux / celles qui mettent en uvre les techniques de laboratoire Ampleur du probl meo10% des h mocultureso> 10% des ECBUoCombien sur plaies traumatiques / chroniques ?

4 Pas de d finition consensuelle sur identification sur histoire clinique temps de pousse et Nb colonies inefficients Contamination 0% impossible Objectif : < 3% Jusqu 10% dans la litt rature 12 ES anglais : 2,1 8,2% SAU, < 3 mois, R a +++ Cela requiert de l exp rience et bon nombre de professionnels ne font pas d h mocultures tous les jours Conna tre la bonne mani re de faire r duit la contamination (/5) Par veine p riph rique versusKTC : r duction du risque (/5) Antisepsie par solution alcoolique ? attendre le temps n cessaire Ne Pas Re palper d sinfecter le bouchonContamination Limites : Diff rencier phases pr analytique et per analytique Contr le(s) n cessaire(s) si doute clinico microbiologique Impossible tester par l antibioth rapie car pas de mol cule spectre limit un agent potentiellement pathog necolonisation : pr sence de microbes sans Infection associ e Reflet de la flore naturelle / microbiote modifi e par les traitements associ s Mais possible pathog nicit si immunod pression Translocation des BGN de la flore intestinale lors de l agranulocytose Donn es volutives dans le temps: passer d une colonisation une Infection Peut on / doit on limiter la colonisation ?

5 Antibioth rapie vs antiseptique ? Objectif affich en Vaccinologiepuisque l tape initiale d une Infection est l acquisition d une nouvelle bact rie Histoire naturelle de la colonisation pharyng e M. catarrhalissurvient en premier , pr valence de 55% des enfants 6 mois; 72% 12 mois S. pneumoniaeet Hemophilussppchez 38% and 19% respectivement 6 mois de vie l adolescence diminution du portage de pneumocoque et augmentation pr valence de staphylocoque dor Variabilit +++ portage des m ningocoques dans le pharynx: de 5 25% adolescents et adultes jeunes Facteurs de modifications: tabagisme passif, cr ches, antibiotiques, infections virales Transmission inter humaine+++Colonisation pharyng e: l pid miologie confirme la s quence acquisition / colonisation / Infection Survient tr s pr coc ment, et avec des bact ries pathog nes : H.

6 Influenzae, S. pneumoniae La colonisation pr c de de peu les manifestations infectieuses dues ces m mes bact ries notamment OMA fr quence x 30 comparativement M. cataharralis Colonisation par N. meningitidis obligatoire avant survenue de l Infection et d contamination pharyng e dans les objectifs th rapeutiquesAcquisition de nouvelles souches de pneumocoque Dans le mod le exp rimental murin et chez l homme, r action inflammatoire qui mettra x semaines r gresser Les infections surviennent dans le contexte d une nouvelle acquisition avec inflammation Comp tition entre les esp ces commensales (S. oralis) et/ou entre potentiels pathog nes (pneumo vsstaphylo), et inter esp ces (Staphylo)Bacterial colonisationof the burn wound: a UK , Crowley TP2, Pape Wound May;23(5):274 : Bacterial colonisationof the burn wound remains a major source of morbidity and mortality in burns patients .

7 This study aimed to determine the presence of different micro organisms in a UK regional burns centreand to examine the relationships between bacterial colonisation, burn size, length of hospital stay and delayed : A retrospective review of microbiology surveillance swab results on all adult patients admitted to a regional burns centreover a 12 month period was : 139 adult patients were included in the study. Approximately 68% of patients showed evidence of burn wound colonisationat some point during their inpatient stay. The remaining 32% had negative microbiology swabs throughout their hospital stay. A total of 202 micro organisms were isolated. Staphylococcus aureus was found to be the most common micro organism, found in 79% of patients with positive swab results.

8 A direct link was found between an increased incidence of bacterial colonisationand delay in referral of >24 hours, larger burn size and length of hospital : By understanding the potential sources of bacteria and the effect of patient factors on their susceptibility to bacterial colonisation, we can form better management and treatment strategies to reduce morbidity and mortality from burns wound sepsisPlan D finition(s); Limite(s) FocusoInfections Urinaires oInfections RespiratoiresoPlaies chroniques / IOA Lecture Critique d Article Implications Perspectives37 Infections UrinairesLa phase pr analytique en bact riologie tude comparative SMIT versusservice non sp cialis 1 mois de pr l vements 50 ECBU du SMIT versus31 ECBU du F1 sex ratio: 20/30 versus13/18 ge moyen: 65 versus83 ans, P < autonomie: 25/50 versus9/31, P = demeuremini-sondageautonomeSMITF1 ECBU: donn es pr analytiquesst rilepolymicrobienneleuco + germedissociation L/GF1 SMIT051015202530354045 Nombre 0408012002468101214 Nombre 04080120F1 SMITD lai de r alisation ECBUd laiAvril 2015 Colonisation urinaire chez le sujet g Sp cificit du sujet g.

9 Grande pr valence de la colonisation urinaire ge, sexe f minin et d pendance femmes autonomes domicile: pr valence de 10 % entre 70 et 80 ans sujets des 2 sexes vivant en institution : de 20 50 % 80 ans: 33 50% des femmes, 25% des hommes enqu te fran aise : 28% des ECBU avec bact riurie significative chez les patients g s hospitalis s taient des colonisations urinaires Les colonisations ne doivent pas tre trait es Risque : traiter tort une colonisation urinaire alors que l Infection est d une autre erreur diagnostique et th rapeutique tudeprospective de 673 jeunesfemmes pr sentantunebact riurieasymptomatiquede Janvier2005 D cembre2009 2 groupesselonantibioth rapie: Groupe A, n = 312 sans ATB et GroupeB avec ATB, n = 361oE.

10 Coli : Groupe A ; Groupe B oE. faecalis: GroupeA ; GroupeB valuationcliniqueet microbiologique M3, M6 et M12 Infections Respiratoires, communautaires ou associ es aux soinsPlusieurs contextes avec difficult s pour diff rencier colonisation / Infection Pr l vements respiratoires au cours des pneumonies aigue communautaires Suspicion d exacerbation infectieuse de BPCO / DDB Mucoviscidose patients trach otomis s / intub s et suspicion de pneumonies associ es la VMet la r vision de valuation microbiologique d une PAC pas de r f rence pour le diagnostic microbiologique ECBC : difficult s de r alisation pr l vement /frottis /lecture = variations sensibilit (15 100%) et sp cificit (11 100 %) Autres produits respiratoires H moc.


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