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LEPTOSPIROSE - Infectiologie

LEPTOSPIROSEJ. GaudelusCHU Jean Verdier93140 BONDYU niversit Paris XIIIJ ourn es Nationales d InfectiologieNice 2005 LEPTOSPIROSEA nthropozoonosebact rienne des pays chauds et humides, d crites partout dans le 000 cas. 1 000 d c s par quentes dans les TOM-DOMLEPTOSPIROSEA gents pathog nesBact ries gram n gatifLeptospira biflexa = saprophyte2 esp cesLeptospira interrogans = pathog ne-Ordre : spiroch tes-Famille : Leptospiraceae-Genre : LeptospiraLEPTOSPIROSEL eptospira interrogansEsp ce pathog ne la plus nombreusePlus de 20 s rogroupes, multiples serovarsParmi les s rogroupesL. Australis, L.

Kawasaki, méningite lymphocytaire, hépatite virale, SHU, grippe, palu, dengue, infection bactérienne ... Maladie Maladie professionnelle associée aux loisirs ... Délai d’observation de 2 mois avant de conclure à la négativité. Amplification génique – PCR

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  Kawasaki, Maladies, Leptospirose, Maladie maladie

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1 LEPTOSPIROSEJ. GaudelusCHU Jean Verdier93140 BONDYU niversit Paris XIIIJ ourn es Nationales d InfectiologieNice 2005 LEPTOSPIROSEA nthropozoonosebact rienne des pays chauds et humides, d crites partout dans le 000 cas. 1 000 d c s par quentes dans les TOM-DOMLEPTOSPIROSEA gents pathog nesBact ries gram n gatifLeptospira biflexa = saprophyte2 esp cesLeptospira interrogans = pathog ne-Ordre : spiroch tes-Famille : Leptospiraceae-Genre : LeptospiraLEPTOSPIROSEL eptospira interrogansEsp ce pathog ne la plus nombreusePlus de 20 s rogroupes, multiples serovarsParmi les s rogroupesL. Australis, L.

2 Automnales, L. bataviae, L. canicola, L. grippotyphosa, L. icterohemorrhagiae, L. pomona,L. pyrog nes, L. Sejro LEPTOSPIROSER servoir animaltr s diversifi : rongeurs,mammif res domestiques et sauvages (NAC)Sources d infection: eaux, sols souill s par les urinesdes animaux infect s. La bact rie r siste plusieurs moisdans le milieu ext rieur humide (eau douce).Voies de transmission: peau l s e, de risque: Professions expos es : agriculteurs, employ s desabattoirs, goutiers, : baignades en eau douce, sports nautiques(cano kayak, rafting), p che ..LEPTOSPIROSEC linique (1)Incubation = 5 14 jours (2 30 jours).

3 Symptomatologie riche et tr s variableprincipalement en p diatrie, 2 aigu : 3 7 jours (septic mique).D but brutal : syndrome pseudogrippalsurvenant l t ou au d but de l vre lev e (39-40), frissons, c phal es, myalgies,manifestations digestives fr quentes, injectionconjonctivale, ruptions cutan es, syndrome m ning .LEPTOSPIROSEC linique (2)Seconde phase = manifestations tr s vari es corr l e l apparition des Ig M l enfant, les formes anict riquespr multivisc rales pr dominance h pator patodigestives: h patom galie ict re, hydrochol nales : prot inurie, hyperazot mie, : m ningite es : ruptions non sp cifiques manifestations h morragiques.

4 Tous les organes peuvent tre atteints. LEPTOSPIROSEC liniqueBiologieContexteDiagnosticLEPTOSP IROSEC linique: extr me polymorphisme, contexte ++, kawasaki , m ningite lymphocytaire, h patite virale,SHU, grippe, palu, dengue, infection bact riennes v : non sp cifique: hyperleucocytose,thrombop nie, hypertransaminas mie mod r e,hyperbilirubin mie mixte, cr atinine, CPK,prot inurie, leucocyturie, h maturie : activit favorisant le contactSoit avec des urines d animauxSoit avec un environnement humidecontamin par les major siL sions cutan esProjection au niveau des Maladieprofessionnelle associ e aux loisirsCNR entre 1988 et 200335 % retrait s ou + 65 ans16 % coliers ou tudiants30 % profession identifi e comme risqueLEPTOSPIROSEBact riologique:Sang et LCR les 5 premiers jours.

5 Urines partir du dir: pr sence de fins spiroch tes au microscope fond : lente et difficile sur milieu Tween 80 -albumine ou sur milieu EMJH (Ellignyhausen, Mc Cullough, Johnson et Harris)D lai d observation de 2 mois avant de conclure la n gativit .Amplification g nique PCRpermet le diagnostic direct en 48 h (plasma, LCR, urines) d s le n gative rapidement vers le biologique sp cifiqueLEPTOSPIROSEP ermet le diagnostic partir du de d pistage ELISA. Seuil de positivit 1 de confirmation : test de microagglutination (MAT).(Ex r action d agglutination de Martin et Pettit).

6 Partir du 10ejour avec gamme des antig nes pour d termination du s de positivit = 1 souvent tardive: r p ter les pr l vements DiagnosticDiagnostic s rologiqueLEPTOSPIROSES pid miologieHors m tropoleMartinique GuadeloupeGuyaneLa R unionTahitiMayotteNouvelle Cal donie**L. Icterohaemorrhagiae (40 %)1994-20035444501257263321761636 Incidence moyennep. 100 00014,2610,657,9510,2822,0310,9874,36 LEPTOSPIROSE pid miologieM tropole 300 cas/an de 1994 2003 : 255 moyenne : 0,5 p. 100 000, entre juillet et novembre (x 2, 2esemestre).L. Icterohaemorrhagiae (rats) 35 %L. Grippotyphosa (rongeurs type campagnols 20 %)L.

7 Australis (h rissons) 10 %Circonstances favorisantes : chaleur estivale lev eet fortes pr cipitations cours d eau : Meuse (Ardennes)Ognon (Doubs).LEPTOSPIROSEEnqu te cas (90) t moins (169) InVS-INMACano -kayakBlessuresCampingP cheActivit professionnelle risqueR sidenceruraleBaignadeContact avec les rongeursORA21,57,75,35,153,73,12,8IC 95%(3,1-907,5)(3,8-22,6)(1,2-29,8)(2,4-1 2,6)(1,5-14,7)(1,7-7,7)(1,6-7,9)(1,5-6,5 )ORA15,572,94,8IC 95%(1,6-147,0)(2,7-17,6)(1,1-7,6)(1,4-16 ,2)P0,017< 0,0010,030,013 Analyse univari eAnalyse multivari eExpositionLEPTOSPIROSEA ctivit s risques li es aux loisirsContacts avec l eau douceBaignade (30 %), p che (18 %), cano -kayak (8 %) chutes accidentelles dans l eau (10 %)

8 , canyoning-rafting, jet-ski, voyages outremerContacts avec des animauxRongeurs et ratsLEPTOSPIROSET raitement antibiotique probabilisteLeptospirose suspect e non document e(Int r t d un traitement pr coce)Dur e des sympt mesDoxycyclineCeftriaxone7 10 joursP ni G, P niALEPTOSPIROSEV accinVaccin inactiv 1 ml d une suspension de 2 x 108 LeptospiraIcterohaemorrhagiae inactiv s par le formaldehydeSPIROLEPT2 injections 15 jours d intervalle1 rappel 4 6 mois plus tard1 rappel tous les 2 ansLEPTOSPIROSEV accinSPIROLEPTE fficacit : pas d tude contr l e goutiers 1951-1973 29 cas LIHMise en 1974-1981 2 casplace du vaccin 1984-2004 0 casEffets ind sirablesR actions locales ou locor actions syst miques rares : fi vre, c phal es,malaise, vertiges, naus es, myalgies,paresth sies, ruptions : Allergie un des de donn es chez l g n rale?

9 10 % des cas Cano -kayakdont 1/3 dus LIH315 cas/an. 25 35 cas. 8 10 occasionnels : 1 110 000 Licenci s, activit irr guli re : 30 000Au cas par cas : natation, cano -kayak, triathlonMilieu professionnel goutiersAu cas par cas en cas d exposition intense et r p t e valu e par le m decin du prophylactiquePr expositionPratiquants de sports nautiques en zone hyperend : 200 decine de de donn contamination accidentelle de laboratoire.


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