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Quantité d’activité physique requise pour en retirer …

Pour obtenir un exemplaire de l avis du Comit scientifique de Kino-Qu bec intitul Quantit d activit physique requise pouren retirer des b n fices pour la sant ,communiquez avec Kino-Qu bec au(418) 691-2077ou consultez son site Internet bec est un programme du minist re de l' ducation, du minist re de la Sant et des Services sociaux et des R gies r gionales de la Sant et des Services : 55-1893 BLEU PMS 276 UJAUNE PMS 617 USynth sede l avis duComit scientifiquede Kino-Qu becet applicationsQuantit d activit physique requise pour en retirer des b n fices pour la sant R dactionGuy Thibault, Ph. D.,conseiller en recherche,Direction des sportset de l activit physique ,minist re de l ducationCoordination la productionPierre Pouliot,responsable des communicationsGraphismeCommunication Publi GriffeProductionMinist re de l ducation,Direction des communicationsLe pr sent document a re u l appui desorganisations professionnelles suivantes : l Association des cardiologues du Qu bec; la F d ration des ducateurs et ducatrices physiques enseignants du Qu bec; la F d ration des ducateurs et ducatrices physiques kin siologues

Pour obtenir un exemplaire de l’avis du Comité scientifique de Kino-Québec intitulé Quantité d’activité physique requise pour en retirer des bénéfices pour la santé,

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1 Pour obtenir un exemplaire de l avis du Comit scientifique de Kino-Qu bec intitul Quantit d activit physique requise pouren retirer des b n fices pour la sant ,communiquez avec Kino-Qu bec au(418) 691-2077ou consultez son site Internet bec est un programme du minist re de l' ducation, du minist re de la Sant et des Services sociaux et des R gies r gionales de la Sant et des Services : 55-1893 BLEU PMS 276 UJAUNE PMS 617 USynth sede l avis duComit scientifiquede Kino-Qu becet applicationsQuantit d activit physique requise pour en retirer des b n fices pour la sant R dactionGuy Thibault, Ph. D.,conseiller en recherche,Direction des sportset de l activit physique ,minist re de l ducationCoordination la productionPierre Pouliot,responsable des communicationsGraphismeCommunication Publi GriffeProductionMinist re de l ducation,Direction des communicationsLe pr sent document a re u l appui desorganisations professionnelles suivantes : l Association des cardiologues du Qu bec; la F d ration des ducateurs et ducatrices physiques enseignants du Qu bec; la F d ration des ducateurs et ducatrices physiques kin siologues du Qu bec; la F d ration des m decins omnipraticiens du Qu bec.

2 Gouvernement du Qu bec Minist re de l ducation, 1999 99-0057 ISBN 2-550-34513-4 D p t l gal Biblioth que nationale du Qu bec, 1999 BLEU PMS 276 UJAUNE PMS 617 U1leurs loisirs, environ deux personnes sur troisparmi la population qu b coise g e de 15ans ou plus sont s dentaires, peu activesou actives de fa on sporadique pr sente brochure r unit les faits saillants de l avis du Comit scientifique et les applications qui peuvent en d couler. Elle comprend quatre parties portant sur : une nouvelle vision du rapport entre activit physique et b n fices pour la sant ; le lien entre l activit physique et chacune des maladies qu elle peut contribuer pr venir ou gu rir; l effet que peut avoir une diminution du taux de s dentarit dans la population sur les besoins et les co ts en mati re de soins de sant ; une liste d l ments prendre en compte lorsqu on cherche inciter diff rents types de personnes adopter un mode de vie plus actif; ces l ments ont notamment trait au choix des activit s physiques et au volume de pratique viser.

3 Un peuUn peu,, c est d j beaucoupbeaucoup , , mais plus, c est encore mieux!mais plus, c est encore mieux!Un message destin aux Un message destin aux professionnels de la sant professionnels de la sant Toutes les personnes ayant un travailqui les conduit promouvoir un modede vie physiquement actif ( ducateurset ducatrices physiques, kin siologues, m decins, infirmiers et infirmi res, di t -tistes, physioth rapeutes, etc.) trouveront une information clairante dans l avis du Comit scientifique de Kino-Qu bec intitul Quantit d activit physique requise pour enretirer des b n fices pour la sant . Ce dernierfait tat des conclusions des nombreuses tudes exp rimentales et pid miologiquesqui ont t men es sur cette avis pr cise comment la pratique r guli red activit s physiques peut r duire le risqued tre atteint de certaines maladies ou d enmourir pr matur ment.

4 Il s agit en l occur-rence de probl mes de sant qui affligentune grande partie de la population : plusieursmaladies cardiovasculaires et les facteursde risque qui leur sont associ s (dyslipid mieet hypertension), le diab te, l ob sit et lecancer du c question est tr s importante dans la perspective d un effort collectif en vue de promouvoir l activit physique aupr s des citoyens, d autant que l on sait que pendant16 Kino-Qu bec, dont la mission est de faire la promotion d un mode de vie physiquement actif ausein de la population qu b coise, invite les professionnels de la sant modifier leur vision durapport entre activit physique et sant . On peut escompter une am lioration importante du bien- tre et de la sant de la population, et donc, moyen ou long terme, une r duction appr ciable de la demande en mati re de soins de sant , si on arrive motiver un plus grand nombre depersonnes, particuli rement celles qui sont s dentaires ou peu actives, adopter et conserverun mode de vie physiquement du Comit scientifique de Kino-Qu becPr sid par M.

5 Claude Bouchard, Ph. D.,du D partement de m decine sociale etpr ventive de l Universit Laval, le Comit scientifique de Kino-Qu bec b n ficie de l appuid un agent de recherche, M. Paul Boisvert, Ph. D.,et il est compos des personnes suivantes : Dr Fran ois Croteau,m decin ;Dr Fran ois Desbiens,Direction de la sant publiquede Chaudi re-Appalaches;M. Jean-Pierre Despr s, Ph. D.,Centre de recherche sur les maladieslipidiques, CHUL;Dr Gilles Dagenais,D partement de m decine,Universit de Montr al; M. Raymond Desharnais, Ph. D.,D partement de m decine socialeet pr ventive, Universit Laval;Mme Lyse Ferland,Direction des sports et de l activit physique (Kino-Qu bec), minist re de l ducation;Mme Lise Gauvin, Ph. D.,D partement de m decine socialeet pr ventive, Universit de Montr al;M. Gaston Godin, Ph. D., cole des sciences infirmi res,Universit Laval;Dr Martin Juneau,D partement de m decine et de cardiologie,Institut de cardiologie de Montr al;Mme Lucie Lapierre,Direction de la sant publique deMontr al-Centre (Kino-Qu bec);M.

6 Denis Massicotte, Ph. D.,D partement de kinanthropologie,Universit du Qu bec Montr al;Dr Andr Nadeau,D partement de m decine et unit derecherche sur le diab te, CHUL;Dr Gilles Paradis,Directeur de la sant publique deMontr al-Centre;M. Fran ois P ronnet, Ph. D.,D partement de kin siologie,Universit de Montr al;M. Angelo Tremblay, Ph. D.,D partement de m decine socialeet pr ventive, Universit Laval. En conclusionBLEU PMS 276 UJAUNE PMS 617 U2 Les principales conclusions du Comit scientifique de Kino-Qu bec font ressortir l existence d unnouveau rapport entre le volume d activit physique et les b n fices pour la sant . Ce rapport,qui est illustr sch matiquement la figure 1, se r sume comme suit :1 Plus la personne est active, meilleure sera sa sant .2 Il ne semble pas y avoir de seuil au-dessous duquel l activit physique n aurait pas d effet positif sur la sant ; toute augmentation, si minime qu elle soit, est b n Avec une augmentation (m me faible) de son activit physique , la personne auparavant s dentaire pourra r colter des b n fices importants sur le plan de la sant.

7 4 En valeur absolue, une augmentation donn e de l activit physique a un effet plus marqu pour la personne s dentaire ou peu active que pour la personne ne faut donc plus pr tendre, comme on a eu tendance le faire jusqu r cemment, qu il n y a pratiquement pas d avantages s entra ner si l on ne franchit pas un certain seuil, passablement lev ,d activit r gle g n rale, l activit physique minimale susceptible d avoir un effetpr ventif ou curatif appr ciable n est pas aussi lev e que celle qui est n cessaire pour am liorer la performance physique et ses d terminants, par exemple laconsommation maximale d oxyg activit physique n cessaire pour am liorer sa sant une nouvelle fa on de voir les choses Pour la personne s dentaire,augmenter ne serait-ce qu un peuson niveau d activit physique ,c est d j beaucoup, consid rantles b n fices que cela peut comporter.

8 Claude Bouchard, Ph. D., pr sident du Comit scientifiquede Kino-Qu becOn peut facilement calculer la d pense ner-g tique associ e la marche et au jogging des activit s populaires et accessibles sachant que l on d pense environ 1 kcal parkilogramme de poids corporel pour chaque kilo-m tre parcouru. Cette formule s applique lamarche autant qu la course. Ainsi, une femme de60 kg qui parcourt 5 km d pense approximativement300 kcal, qu elle coure (ce qui lui demandera environ30 min) ou qu elle marche (ce qui lui demandera approximativement 55 min).15 Pour mettre les chosesPour mettre les chosesen perspectiveen perspectivePour mieux illustrer ses recommandations, on peut : Proposer la personne une gamme d activit s physiques d intensit faible, moyenne ou lev e qui sont sa port e, dont au moins certaines peuvent se pratiquer en hiver.

9 Indiquer pendant combien de temps on doit pratiquer des activit s de chacune des cat gories d intensit pour atteindre un niveau cible raisonnable, compte tenu de son profil d activit actuel et de sa motivation. videmment, il est possible d imaginer diverses combinaisons en choisissant des activit s dans plus d une cat gorie d intensit . Pr ciser, dans le cas d activit s de loco- motion, combien de kilom tres on doit parcourir chaque semaine pour atteindre une activit physique cible jug e utile, c est- -dire pour augmenter sa d pense nerg tique d environ 1000 kcal, savoir : 5 km de natation, 20 km de marche, 15 km de course pied, 35 km de bicyclette et 12 km de ski de ou joggingEn r gle g n rale, on peutaugmenter sa d pense nerg ti-que hebdomadaire d environ1000 kcal en pratiquant une activit d intensit moyenne30 minutes par jour, 6 ou 7 jourspar semaine, ou une activit d intensit faible, 1 heure parjour, 5 ou 6 jours par cibles recommand esLes cibles recommand espar Kino-Qu becpar Kino-Qu bec Pour une personne s dentaire ou peu active, une augmentation de la d pense nerg tique hebdomadaire d environ 1000 kcal (par rapport la d pense ner- g tique sans activit physique de loisir) constitue une bonne cible atteindre.

10 Pour une personne r fractaire un changement aussi important, on peut proposer une cible de 500 kcal par semaine : un peu, c est d j beaucoup! Pour une personne d j active, une augmentation de la d pense nerg tique hebdomadaire de 1500 kcal ou plus constitue une bonne cible peu, c est d j beaucoup;mais plus, c est encore mieux!BLEU PMS 276 UJAUNE PMS 617 U14 Des cibles d'activit physique viser : 500, 1000 et 1500 kcalpar semaineDe nombreuses personnes prouvent lebesoin, bien l gitime, d avoir des points de rep re et un niveau cible d activit physique atteindre. Pour y r pondre et pour indi-quer plus clairement ce que cela signifieconcr tement d augmenter son activit physique de loisir jusqu un niveaucapable d avoir un effet b n fique pour la sant , on peut s inspirer de la figure 2. Elle pr sente des exemples d activit s physiques d intensit faible, moyenne, lev e ou tr s lev e, et la dur e hebdo-madaire de pratique n cessaire pour atteindre une d pense nerg tique totale d environ 500, 1000 ou 1500 kcal1500 kcal500kcal1000kcal1500 kcal500kcal1000kcal1500kcal1500kcal1000 kcal500kcalActivit s intensit faible D pense nerg tique estim e : jusqu 4 kcal/min Activit s intensit moyenne D pense nerg tique estim e : de 4 8 kcal/minActivit s intensit lev e D pense nerg tique estim e : de 8 12 kcal/minActivit s intensit tr s lev e D pense nerg tique estim e.


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