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SPILF 2015 Mise au point ... - SPILF - Infectiologie

SPILF 2015 Mise au point DIAGNOSTIC ET ANTIBIOTHERAPIE DES infections urinaires BACTERIENNES COMMUNAUTAIRES DE L ADULTE - cystite aigu simple - cystite risque de complication - cystite r cidivante - py lon phrite aigu simple - py lon phrite aigu risque de complication - infection urinaire masculine - infection urinaire au cours de la grossesse Actualisation au 11 d cembre 2015 des recommandations initialement mises en ligne en mai 2014 ARGUMENTAIRE 2 GROUPE DE TRAVAIL Pr Fran ois CARON, Infectiologue, Rouen Pr sident du groupe, responsable du groupe de travail py lon phrites Dr Tatiana GALPERINE, Infectiologue, Lille Co%pr sidente du groupe, responsable du groupe de travail cystites Dr Manuel ETIENNE, Infectiologue, Rouen Responsable du groupe de travail infections urinaires masculines Pr Audrey MERENS, Microbiologiste, Saint%Mand Responsable du groupe de travail microbiologie Dr Clara FLATEAU, Infectiologue, Saint%Mand Charg e de projet Dr Ren AZRIA, G n raliste, V theuil Dr St phane BONACORSI, Microbiologiste, Paris Pr Franck BRUYERE, Urologue, To

SPILF 2015 Mise au point DIAGNOSTIC ET ANTIBIOTHERAPIE DES INFECTIONS URINAIRES BACTERIENNES COMMUNAUTAIRES DE L’ADULTE - cystite aiguë simple

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1 SPILF 2015 Mise au point DIAGNOSTIC ET ANTIBIOTHERAPIE DES infections urinaires BACTERIENNES COMMUNAUTAIRES DE L ADULTE - cystite aigu simple - cystite risque de complication - cystite r cidivante - py lon phrite aigu simple - py lon phrite aigu risque de complication - infection urinaire masculine - infection urinaire au cours de la grossesse Actualisation au 11 d cembre 2015 des recommandations initialement mises en ligne en mai 2014 ARGUMENTAIRE 2 GROUPE DE TRAVAIL Pr Fran ois CARON, Infectiologue, Rouen Pr sident du groupe, responsable du groupe de travail py lon phrites Dr Tatiana GALPERINE, Infectiologue, Lille Co%pr sidente du groupe, responsable du groupe de travail cystites Dr Manuel ETIENNE, Infectiologue, Rouen Responsable du groupe de travail infections urinaires masculines Pr Audrey MERENS, Microbiologiste, Saint%Mand Responsable du groupe de travail microbiologie Dr Clara FLATEAU, Infectiologue, Saint%Mand Charg e de projet Dr Ren AZRIA, G n raliste, V theuil Dr St phane BONACORSI, Microbiologiste, Paris Pr Franck BRUYERE, Urologue, Tours Dr G rard CARIOU, Urologue, Paris Dr Robert COHEN, P diatre, Saint%Maur%des%Foss s Dr Thanh DOCO%LECOMPTE, Infectiologue Dr Elisabeth ELEFANT, Embryologiste, Paris Dr R my GAUZIT, Anesth siste%R animateur, Paris Pr Ga tan GAVAZZI, G riatre, Grenoble Pr Laurent LEMAITRE, Radiologue.

2 Lille Dr Josette RAYMOND, Microbiologiste, Paris Pr Eric SENNEVILLE, Infectiologue, Tourcoing Pr Albert SOTTO, Infectiologue, N mes Dr Christophe TRIVALLE, G riatre, Villejuif GROUPE DE RELECTURE Dr Eric BONNET, Infectiologue, Toulouse Dr Bernard CASTAN, Infectiologue, Ajaccio Pr Emmanuel CHARTIER%KASTLER, Urologue, Paris Dr Sylvain DIAMANTIS, Infectiologue, Melun Pr Beno t GUERY, Infectiologue, Lille Dr Philippe LESPRIT, Infectiologue, Cr teil Dr Yves PEAN, Microbiologiste, Paris Pr Lionel PIROTH, Infectiologue, Dijon Pr Christian RABAUD, Infectiologue, Nancy Dr Joseph%Alain RUIMY, G n raliste, Paris Pr Jean%Paul STAHL, Infectiologue, Grenoble Dr Christophe STRADY, Infectiologue, Reims Dr Emmanuelle VARON, Microbiologiste, Paris Dr Fanny VUOTTO, Infectiologue, Lille Dr Claire WINTERBERGER, Infectiologue, Grenoble 3 SOMMAIRE METHODE GENERALE.

3 4 INTRODUCTION ..6 I. TERMINOLOGIE ..7 1. DEFINITIONS DES infections 7 2. COLONISATION 8 II. EPIDEMIOLOGIE ET RESISTANCE DE ESCHERICHIA COLI AUX ANTIBIOTIQUES ..10 1. 10 2. ORIGINE DES DONNEES DE SENSIBILITE AUX ANTIBIOTIQUES .. 10 3. RESISTANCE DE AUX ANTIBIOTIQUES CHEZ L' 11 4. RESISTANCE DE E. COLI AUX ANTIBIOTIQUES CHEZ L' 15 5. E. COLI PRODUCTEURS DE BLSE IMPLIQUES DANS LES IU 15 III. OUTILS DIAGNOSTIQUES DES infections 1. 22 2. EXAMEN CYTOBACTERIOLOGIQUE DES URINES (ECBU).. 22 3. BANDELETTES REACTIVES CHIMIQUES .. 24 IV. infections urinaires DU SUJET AGE ..27 1. 27 3. SYMPTOMES ET 28 4. SPECIFICITES DU TRAITEMENT .. 30 V. COLONISATION 1. DEFINITION ET 34 2. INDICATIONS DE DEPISTAGE ET DE 34 VI.

4 1. CYSTITE AIGUE 36 2. CYSTITE AIGUE A RISQUE DE 44 3. CYSTITES AIGUES RECIDIVANTES .. 47 VII. PYELONEPHRITES AIGUES ..61 1. PY LON PHRITE AIGUE SIMPLE, SANS SIGNE DE GRAVIT .. 61 2. PYELONEPHRITE AIGUE, A RISQUE DE COMPLICATION, SANS SIGNE DE 71 3. PYELONEPHRITE AIGUE 74 VIII. infections urinaires MASCULINES ..84 1. 84 2. TRAITEMENT .. 85 IX. infections urinaires AU COURS DE LA 1. 2. COLONISATION URINAIRE 3. CYSTITE AIGUE 4. PYELONEPHRITE AIGUE X. ANNEXE 119 ANNEXE 122 4 METHODE GENERALE Les recommandations de bonne pratique et les r f rences m dicales d finissent une strat gie m dicale optimale en fonction de l tat actuel des connaissances. Elles r sultent de l'analyse des donn es de la science issues de la litt rature et prennent en compte les valuations r alis es pour d livrer l autorisation de mise sur le march (AMM) des m dicaments concern s.

5 Les pr c dentes recommandations dict es par la SPILF en 2008 ont t conserv es lorsqu'aucune donn e nouvelle ne justifiait de modification. Les changements propos s r pondent donc des donn es scientifiques nouvelles, telles que l' volution des r sistances aux antibiotiques, de nouvelles tudes de pharmacovigilance, ou des publications scientifiques valuant de nouvelles strat gies diagnostiques et th rapeutiques. Cette prise en compte des donn es scientifiques les plus r centes a conduit formuler, dans certaines situations, des propositions th rapeutiques d passant le cadre des AMM. La Soci t de Pathologie Infectieuse de Langue Fran aise ( SPILF ), l Association Fran aise d Urologie, le Coll ge National des G n ralistes Enseignants, le Coll ge National des Gyn cologues et Obst triciens Fran ais, la Soci t Fran aise de P diatrie, la Soci t Fran aise de G riatrie et G rontologie, la Soci t Fran aise de M decine d'Urgence, la Soci t Fran aise de Radiologie, la Soci t Fran aise de Microbiologie, le Centre de R f rence des Agents T ratog nes ont t consult es pour proposer des repr sentants susceptibles de participer l laboration de cette recommandation.

6 Le groupe de travail a regroup des experts des disciplines concern es ( Infectiologie , urologie, microbiologie, g riatrie, gyn cologie%obst trique, m decine g n rale, p diatrie et radiologie), de mode d'exercice (lib ral, hospitalo%universitaire ou hospitalier) et d'origine g ographique divers. Avec l aide d une charg e de projet, les experts ont analys la litt rature et r dig le document sous la direction de deuxcoordinateurs. La recherche bibliographique a t r alis e par interrogation manuelle des banques de donn es Medline et Cochrane. Elle a identifi pr f rentiellement les recommandations th rapeutiques, les conf rences de consensus, les essais cliniques, les m ta%analyses et les revues de synth se, publi s en langue fran aise ou anglaise partir de 2008 (date des derni res recommandations).

7 Des donn es issues de congr s ou des r f rences plus anciennes pertinentes ont galement t incluses dans ces recommandations. Ces recommandations et leur argumentaire ont t tablis en accord avec la m thodologie de la Haute Autorit de Sant (HAS) pour l' laboration de recommandations de bonnes pratiques [1]. Les grades A, B ou C sont attribu s aux recommandations en fonction du niveau de preuve scientifique des tudes sur lesquelles elles reposent (cf. tableau infra). Lorsque les donn es de la litt rature sont insuffisantes ou incompl tes, les recommandations r sultent d'un accord professionnel prenant en compte l' tat des pratiques et les avis d'experts. Le texte labor par les diff rents groupes de travail a ensuite t soumis un groupe de lecture.

8 Les experts de ce groupe ont appr ci la qualit m thodologique et la validit scientifique des propositions, ainsi que la lisibilit et l'applicabilit du texte. Financement Ces recommandations ont t financ es par la SPILF . Ind pendance Le comit d organisation des recommandations de la SPILF a demand aux experts ayant particip l laboration des ces recommandations de d clarer d' ventuels liens d int r ts. Diffusion L argumentaire, le texte court des recommandations et le diaporama sont t l chargeables sur le site de la SPILF . Le r f rentiel fera l objet d un num ro sp cial de la revue M decine et Maladies Infectieuses, para tre l automne 2014. 5 Niveau de preuve scientifique de la litt rature et force des recommandations1.

9 Niveau de preuve scientifique des tudes Force des recommandations (grade) Niveau 1 : Essais comparatifs randomis s de forte puissance M ta%analyse d essais comparatifs randomis s Analyse de d cision bas e sur des tudes bien men es A Preuve scientifique tablie Niveau 2 : Essais comparatifs randomis s de faible puissance Etudes comparatives non randomis es bien men es Etudes de cohorte B Pr somption scientifique Niveau 3 : Etudes cas%t moin Niveau 4 : Etudes comparatives comportant des biais importants Etudes r trospectives S ries de cas Etudes pid miologiques descriptives (transversale, longitudinale) C Faible niveau de preuve scientifique 1. Haute Autorit de Sant . Elaboration de recommandations de bonne pratique, M thode Recommandations pour la pratique clinique , D cembre 2010.

10 LISTE DES ABREVIATIONS Institutions et dispositions l gales AFSSA : Agence fran aise de s curit sanitaire des aliments AFORCOPI-BIO : Association de formation continue en pathologie infectieuse des biologistes AMM : Autorisation de mise sur le march ANAES: Agence nationale d accr ditation et d valuation en sant ANDEM : Agence nationale pour le d veloppement de l valuation m dicale CA-SFM : Comit de l'antibiogramme de la soci t fran aise de microbiologie EARSS: European antibiotic resistance surveillance system EUCAST: European Committee for Antimicrobial Susceptibility Testing ESCMID: European Society of Clinical Microbiology and Infectious Diseases EAU : European association of urology HAS : Haute autorit de sant InVS : Institut national de veille sanitaire ONERBA : Observatoire national de l pid miologie de la r sistance bact rienne SFM : Soci t Fran aise de Microbiologie SPILF : Soci t de pathologie infectieuse de langue fran aise Termes m dicaux BLSE: b ta%lactamase spectre tendu BU: bandelette urinaire C3G: c phalosporine de troisi me g n ration EBLSE: ent robact rie productrice de BLSE ECBU: examen cyto%bact riologique des urines EHPAD: tablissement d h bergement pour personnes g es d pendantes IRM: imagerie par r sonance magn tique IU: infection urinaire PNA: py lon phrite aigu TDM: tomodensitom trie TMP : trim thoprime TMP-SMX: trim thoprime%sulfam thoxazole (ou cotrimoxazole) UFC.


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