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L ‘IMPLANTATION DES MOYENS DE PRODUCTION

LogistiqueL implantation DES MOYENS DE PRODUCTION 2LA GESTION D'ATELIER 7LA GESTION DES STOCKS TRADITIONNELLE 9 LES METHODES DE GESTION DE PROJETS 14 MANAGEMENT DES RESSOURCES DE LA PRODUCTION 16L implantation DES MOYENS DEPRODUCTION1 Typologie de Crit re n 1 : L importance des s ries et de la r p titivit :Lancements r p titifsLancements non-r p titifsProduction unitaireMoteur de fus eR acteur de centrale nucl aireTravaux publicsMoules pour pressePetites et moyenness riesOutillageSous-traitanceGrandes s riesElectrom nagerAutomobileJournauxB/ Crit re n 2 : L organisation du flux de PRODUCTION :1 ) PRODUCTION en continu :Pour des quantit s importantes, l implantation est r alis e en ligne de PRODUCTION ouatelier de flux (flow shop).

Moules pour presse Petites et moyennes séries Outillage Sous-traitance Grandes séries Electroménager Automobile Journaux B/ Critère n°2 : L’organisation du flux de production : 1°) Production en continu : Pour des quantités importantes, l’implantation est réalisée en ligne de production ou atelier de flux (flow shop).

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  Implantation, Presse, Ateliers

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1 LogistiqueL implantation DES MOYENS DE PRODUCTION 2LA GESTION D'ATELIER 7LA GESTION DES STOCKS TRADITIONNELLE 9 LES METHODES DE GESTION DE PROJETS 14 MANAGEMENT DES RESSOURCES DE LA PRODUCTION 16L implantation DES MOYENS DEPRODUCTION1 Typologie de Crit re n 1 : L importance des s ries et de la r p titivit :Lancements r p titifsLancements non-r p titifsProduction unitaireMoteur de fus eR acteur de centrale nucl aireTravaux publicsMoules pour pressePetites et moyenness riesOutillageSous-traitanceGrandes s riesElectrom nagerAutomobileJournauxB/ Crit re n 2 : L organisation du flux de PRODUCTION :1 ) PRODUCTION en continu :Pour des quantit s importantes, l implantation est r alis e en ligne de PRODUCTION ouatelier de flux (flow shop).

2 Ce type d organisation permet peu de flexibilit .Forte automatisation du processus de ) PRODUCTION en discontinu :Trois conditions sont requises : -des quantit s relativement faibles-de nombreux produits vari s-un parc de machine vocation g n rale (Les machines ne sont pas sp cifiques un produit et sont capables de r aliser un grand nombre de travaux).On parle dans ce cas d atelier de taches, ou ateliers fonctionnels (job-shop).3 ) PRODUCTION par projet :Le produit est unique, son processus de PRODUCTION aussi, et ne se renouvelle entre continu et discontinu :Le ratio d efficacit du processus (REP, parfois appel ratio de tension des flux)

3 Permetde d terminer le rapport entre le temps de pr sence d un produit dans le syst me, et letemps pendant lequel une valeur ajout e a t apport e au continuType discontinuFlux des produitsFlux lin aireFlux complexesEfficacit REP moyen de 80 100 %REP moyen de 5 10 %Flexibilit Lignes de PRODUCTION rigidesLignes de PRODUCTION souplesD laisFaiblesLongsEn-coursFaiblesImportant sIl vaut mieux avoir g rer des processus continu plut t que des processus peut donc rechercher l int rieur d un atelier de m canique (organisationdiscontinue) toutes les pi ces qui ont la m me gamme. Les machines sont alorsregroup es pour former une cellule de PRODUCTION en continu.

4 On gagne alors en d lais etsur les en-cours, tout en perdant de la souplesse. C/ Crit re n 3 : La relation avec le client :1 ) Vente sur stock :Le client ach te des produits qui existent d j dans le stock que l entreprise aconstitu .On utilise ce syst me lorsque :-d lai de fabrication > d lai de livraison acceptable pour le client-la diminution des co ts exige la PRODUCTION en grande quantit 2 ) PRODUCTION la commande :On ne commence fabriquer que lorsqu il existe une commande ferme. Les stocks sontdonc diminu s, et les frais financiers aussi. Encore faut-il que le d lai de PRODUCTION soitinf rieur au d lai acceptable pour le client.

5 32 Les diff rentes organisations de la implantation en sections homog nes :On regroupe dans un m me atelier les machines qui ont les m mes fonctions ou utilisentles m mes avantages sont la flexibilit car l implantation est ind pendante des gammes defabrication, et le regroupement du personnel travaillant dans un m me contre, les flux sont souvent complexes, et les en-cours et d lais de productionimportants. B/ implantation en lignes de fabrication :Les machines sont plac es en ligne dans l ordre de la gamme de fabrication. Il n y a doncpas de points de rebroussement et les flux sont faciles identifier.

6 En revanche laflexibilit de ce type d implantation est quasiment nulle. C/ implantation en cellules de fabrication :Il s agit d un compromis entre la ligne et l implantation fonctionnelle : on constitue descellules ou lots de PRODUCTION , sortes de petits ateliers sp cialis s pour r aliserenti rement un ensemble de pi ces. Dans les processus discontinus, cette implantationoffre l avantage de r duire notablement les stocks et les d lais. 3 Comment concevoir une unit de principes de base sont :-On doit supprimer dans la mesure du possible tout d placement qui n am ne pasde valeur ajout e une pi ce. -Entre 2 d placements, une pi ce doit b n ficier d un apport de valeur ajout cheminement des pi ces doit tre vident.

7 A/ Probl mes d une implantation en sections homog nes :Lorsque l on fait ex cuter des t ches r p titives tr s sp cialis es dans plusieurssecteurs, on augmente les trajets des mati res et des produits. On peut chercher optimiser les d placements de pi ces en utilisant la fabrication par lots. Dans ce cas, ilfaut chercher fluidifier le trafic des pi ces dans l atelier par les m thodes suivantes. B/ Solutions :41 ) La s paration des usines :Puisqu chaque type de PRODUCTION , correspond un type de gestion et un typed implantation , il ne faut pas h siter cr er au sein de la m me usine, plusieurs unit sayant chacune sa sp cificit.

8 2 ) La s paration g ographique des produits diff rents : Lorsqu une entreprise fabrique un type de produit unique dans des versions diff rentes,on peut avoir int r t s parer les diff rentes versions de produits en cr ant plusieurssous ensembles ind pendants et en supprimant le clivage entre fabrication et montage. 3 ) La d centralisation des activit s de stockage et d exp dition :La centralisation des activit s de stockage, r ception et exp dition, conduit souvent des d placements inutiles. On peut donc pour r duire ces manutentions d centraliser lar ception des mati res premi res en l organisant directement en plusieurs points der ception plac s dans les diff rents ateliers de fabrication.

9 Il est alors indispensabled tablir de nouvelles relations avec les fournisseurs. 4 ) La multiplication des machines : La multiplication des machines est parfois source de beaucoup de fluidit dans lesateliers de PRODUCTION . En terme de flux, il est en effet souvent plus int ressant dedisposer de plusieurs machines de faible capacit , plut t que d une seule machine deforte capacit . Ceci se justifie surtout lorsqu une installation est un point de passageoblig entre chaque tape de la fabrication. C/ M thodes d analyse et de r solution :1 ) Les documents r unir pour l analyse : a Le graphique de circulation :A partir des plans l chelle des locaux et des installations, on repr sente lesdiff rents flux par diff rentes couleurs.

10 Ce diagramme permet de voir la longueur descircuits, la logique de l implantation , les lieux de stockages, les points de rebroussement,les d placements, et les b le sch ma op ratoire C est un diagramme qui montre la suite des op rations n cessaires pour fabriquer unproduit. On y d compose les processus en 5 l ments : les transformations quiapportent de la valeur ajout e, le transport ou la manutention, le stockage, laconstitution de stocks tampons, et les contr le. c l analyse de d roulement C est un tableau qui compl te le sch ma op ratoire en y ajoutant les informationsrelatives au temps, aux quantit s, aux poids et aux distances.


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