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La revue Le Collège : de la page à l’écran - cmq.org

Prendre soin de ses proches : savoir garder une saine distance L e d fi de l autor gulation de la profession S alle d attente Sauvegardez votre ind pendance professionnelle Un m decin peut-il imposer des frais pour un rendez-vous non respect ?Le m decin, LeS m diaS et LeS miSSionS de divertiSSementVolume 55 | N 2 | Printemps 2015 Envoi dE publications canadiEnnEs contrat dE vEntE no 40063038 La revue Le Coll ge : de la page l cranNouveau contenant, m me et plus encore !ENSEMBLE VERS L ATTEINTE DE VOS OBJECTIFSSERVICE-CONSEILPLANIFICATION FINANCI REPLANIFICATION BUDG TAIREINVESTISSEMENTINCORPORATIONGESTION PRIV ESERVICE DE FACTURATIONMONTR AL 514 868-2081 ou sans frais, 1 888 542-8597QU BEC 418 657-5777 ou sans frais, 1 877 mot dU Pr Sident L Union fait La forceLes m decins du Qu bec vivent actuellement une p riode de turbulence, d ins curit et d inconfort sans pr c dent.

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1 Prendre soin de ses proches : savoir garder une saine distance L e d fi de l autor gulation de la profession S alle d attente Sauvegardez votre ind pendance professionnelle Un m decin peut-il imposer des frais pour un rendez-vous non respect ?Le m decin, LeS m diaS et LeS miSSionS de divertiSSementVolume 55 | N 2 | Printemps 2015 Envoi dE publications canadiEnnEs contrat dE vEntE no 40063038 La revue Le Coll ge : de la page l cranNouveau contenant, m me et plus encore !ENSEMBLE VERS L ATTEINTE DE VOS OBJECTIFSSERVICE-CONSEILPLANIFICATION FINANCI REPLANIFICATION BUDG TAIREINVESTISSEMENTINCORPORATIONGESTION PRIV ESERVICE DE FACTURATIONMONTR AL 514 868-2081 ou sans frais, 1 888 542-8597QU BEC 418 657-5777 ou sans frais, 1 877 mot dU Pr Sident L Union fait La forceLes m decins du Qu bec vivent actuellement une p riode de turbulence, d ins curit et d inconfort sans pr c dent.

2 Ce malaise trouve sa source dans les r formes qui sont propos es dans le r seau de la sant du Qu bec, la fois ambitieuses et controvers Qu bec a eu son lot de r formes depuis la cr ation de la R gie de l assurance maladie du Qu bec, en 1969. Plus ou moins fructueuses, ces r formes n ont jamais r solu enti rement certains probl mes r currents, tels que l accessibilit ou la r partition des m decins sur le au long des ann es, le Coll ge des m decins du Qu bec a t quelquefois observateur, acteur ou partenaire de ces initiatives, souvent en r action un probl me aigu. En 2015, nous voici nouveau dans une dynamique de confrontation : en effet, des lectrochocs sont administr s des m decins motiv s, d di s, mais essouffl s.

3 Le Coll ge recherche la collaboration et l union des forces afin de maintenir la qualit des services et des soins de sant au Qu bec. Les m mes principes ou valeurs devraient servir la recherche de solutions aux probl mes d accessibilit et de r partition des effectifs. L opposition des instances d cisionnelles n est assur ment pas favorable la collaboration n cessaire au bien- tre des patients. Le Coll ge, comme gardien de la qualit des soins m dicaux, demande aux acteurs impliqu s un souffle de cr ativit et un retour aux valeurs de base qui d finissent la m faisant preuve de mesure, de rigueur et de r alisme, je suis convaincu que nous saurons, tous ensemble, conjuguer les besoins du r seau et les d fis complexes que repr sente la m decine d aujourd hui.

4 N oublions pas qu au-del des professionnels qui l exercent, la m decine doit continuer d tre au service des patients. charLeS Bernard, sident-directeur g n ralStrength in UnityThis is a time of unprecedented turbulence, insecurity and unease for physicians in Qu bec. This unease stems from the proposed reforms to Qu bec s health network, which are both ambitious and bec has seen its share of reforms since the R gie de l assurance maladie du Qu bec was created in 1969. More or less successful, these reforms never fully resolved certain recurrent problems, such as accessibility or the distribution of physicians across the the years, the Coll ge des m decins du Qu bec has sometimes been an observer, stakeholder or partner in these initiatives, often in response to an acute problem.

5 In 2015, we find ourselves in a confrontational dynamic once again: indeed, electric shock therapy is being administered to physicians who are motivated and dedicated but running out of steam. The Coll ge is seeking collaboration and a joining of forces in order to maintain the quality of health care and services in Qu bec. The same principles or values should be employed to find solutions to the problems of accessibility and workforce distribution. The opposition of decision-making bodies is certainly not conducive to the collaboration needed to ensure patients well-being. The Coll ge, as custodian of the quality of medical care, is asking the stakeholders concerned for a spark of creativity and a return to the fundamental values that define showing restraint, discipline and realism, I am convinced that together we will be able to reconcile the network s needs and the complex challenges facing medicine today.

6 Let s not forget that beyond the professionals who practice it, medicine must continue to serve patients. charLeS Bernard, and Chief Executive OfficerVolume 55 | N 2 | Printemps 2015 | Le coLL ge | 34 | Le coLL ge | Printemps 2015 | Volume 55 | N 2 mot dU Pr Sident3 L union fait la force miSe aU Point5 Le nouveau continent L agenda6 Projets de loi r formant le syst me de sant Beaucoup de questions, peu de r ponses6 Divulgation obligatoire des p nuries de m dicaments6 393 m decins de plus que l an dernier7 Le Code de d ontologie des m decins : adapt la r alit d aujourd hui pour mieux prot ger le public7 La Fiche de pr vention clinique remplace le Guide sur l valuation m dicale p riodique7 Mise jour du Guide du m decin traitant L invalidit dans le R gime de rentes du Qu bec8 Guide d exercice sur la t l m decine et les technologies de l information et de la communication La Une9 La revue Le Coll ge : de la page l cran Nouveau contenant, m me et plus encore !

7 LeS manchetteS10 La location d un lieu d exercice : une entente crite, une obligation d ontologique10 Diagnostic et traitement du TDAH Des pr cisions s imposent11 Le m decin, les m dias et les missions de divertissement12 Un nouveau portail pour les tudiants et les r sidents en m decine12 Nouveau processus de d livrance des certificats de conduite professionnelle13 Abolition du permis restrictif pour r sident depuis le 12 d cembre 201416 Salle d attente Sauvegardez votre ind pendance professionnelle17 Le point sur le stage d observation18 Le patient partenaire : un concept promouvoir18 Le d fi de l autor gulation de la profession19 Un m decin peut-il imposer des frais pour un rendez-vous non respect ?

8 20 L utilisation de tests ou d examens par diff rents professionnels dans le cadre d un d pistage de masse23 Le mot des vice-doyens aux tudes m dicales de premier cycle La transition de l externat la r sidence en m decine chroniqUe diSciPLinaire14 Prendre soin de ses proches : savoir garder une saine distance 24 ateLierS et formation m dicamentS25 Avis, mises en garde et retraits26 aviS de radiation29 aviS de d c S30 noUveaUx memBreScomit ex cUtif Dr Charles Bernard, Dr Julie Lajeunesse, Mme Suzanne Lalonde, Dr Marie-H l ne LeBlanc, Dr Markus C. Martinadministrateurs nomm s par les facult s de m decine du qu becDr Armand Aalamian Vice-doyen de l enseignement m dical des 2e et 3e cycles et des affaires professionnelles Universit McGillDr Jos e Dubois Vice-doyenne aux tudes m dicales postdoctorales Universit de Montr alDr Mireille Gr goire Vice-doyenne aux tudes m dicales postdoctorales Universit LavalDr Serge Langevin Vice-doyen aux tudes m dicales postdoctorales Universit de Sherbrookeadministrateurs nomm s par l office des professions du qu becM.

9 Jean-Pierre Dubeau, 2014-2018 Mme Sophie Ducharme, 2014-2018 Mme Suzanne Lalonde, 2012-2016 Mme Nicole Valli res, 2012-2016coordonnatrice de la revue : Francine Morinr vision linguistique et r alisation graphique : Le Groupe des publications d affaires et professionnelles Rogers repr sentation publicitaire : Coll ge des m decins du Qu becReproduction autoris e si la source est mentionn e. Dans cette publication, le masculin est utilis sans pr judice et seulement pour all ger la p t l gal 2e trimestre 2015 Biblioth que et Archives nationales du Qu bec ISSN 1207-3040courriel : SommaireconSeiL d adminiStrationDr Charles Bernard M decine de famille Qu bec, 2012-2016Dr Jean-Pierre Boucher M decine de famille Lanaudi re, Laurentides, 2012-2016Dr Aurore C t Pneumologie Montr al, 2014-2018Dr Jos e Courchesne M decine de famille Mont r gie, 2014-2018Dr Luc Dallaire M decine de famille Chaudi re-Appalaches, 2012-2016Dr Guy Dumas M decine de famille Mauricie, Centre-du-Qu bec, 2012-2016Dr Richard Essiambre Cardiologie Laval, 2014-2018Dr Pierre Fiset Anesth siologie Montr al, 2014-2018Dr France Laurent Forest M decine de famille Bas-Saint-Laurent, Gasp sie, les-de-la-Madeleine.

10 2012-2016Dr Michel Garner M decine d urgence Montr al, 2014-2018Dr Mauril Gaudreault M decine de famille Saguenay, Lac-St-Jean, C te-Nord, Nord-du-Qu bec, 2012-2016Dr Jean-Yves Hamel Chirurgie g n rale Estrie, 2012-2016Dr Anne-Marie Houle Urologie Montr al, 2014-2018Dr Julie Lajeunesse M decine de famille Montr al, 2014-2018Dr Martin Lalibert M decine d'urgence Montr al, 2014-2018Dr Yves Langlois M decine de famille Mont r gie, 2012-2016Dr Marie-H l ne LeBlanc Cardiologie Qu bec, 2012-2016Dr Markus C. Martin Obst trique-gyn cologie Montr al, 2014-2018Dr Francine Mathieu-Millaire Ophtalmologie Montr al, 2014-2018Dr Marcel Reny M decine de famille Outaouais, Abitibi- T miscamingue, 2012-2016 Volume 55 | N 2 | Printemps 2015 | Le coLL ge | 5 Sommaire miSe aU Point Le noUveaU continentL arr t de la Cour supr me du Canada portant sur l aide m dicale mourir le 6 f vrier dernier constitue un jalon important dans l volution du droit et de la m decine, et un v nement remarquable tant de par le caract re excep-tionnel de la d cision unanime des neuf juges que de par l argumentaire sur lequel il repose.


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