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Une première ligne forte de l'expertise du médecin …

02 /2016 NONC DE POSITIONUNE PREMI RE ligne forte DE L EXPERTISE DU M DECIN DE FAMILLEP ublication du Coll ge des m decins du Qu bec Coll ge des m decins du Qu bec2170, boulevard Ren -L vesque Ouest Montr al (Qu bec) H3H 2T8 T l phone : 514 933-4441 ou 1 888 M DECIN T l copieur : 514 933-3112 Site Web : Courriel : ditionService des communicationsGraphismeUniformR vision linguistiqueOdette LordLe pr sent document est valide dans la mesure o aucune disposition l gislative ou r glementaire l effet contraire ou incompatible n est susceptible de le modifier ou de l affecter directement ou indirectement, et ce, de quelque fa on que ce reproduction est autoris e condition que la source soit mentionn p t l gal : 1er trimestre 2016 Biblioth que et Archives CanadaBiblioth que et Archives nationales du Qu becISBN 978-2-924674-00-0 Coll ge des m decins du Qu bec, f vrier 2016 Notes : Dans cette publication , le masculin est utilis sans pr judice et seulement pour faciliter la ailleurs, pour all ger le texte, le terme sant est employ pour d signer plus largement la sant et les services sociaux.

Publication du Collège des médecins du Québec Collège des médecins du Québec 2170, boulevard René-Lévesque Ouest Montréal (Québec) H3H 2T8

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1 02 /2016 NONC DE POSITIONUNE PREMI RE ligne forte DE L EXPERTISE DU M DECIN DE FAMILLEP ublication du Coll ge des m decins du Qu bec Coll ge des m decins du Qu bec2170, boulevard Ren -L vesque Ouest Montr al (Qu bec) H3H 2T8 T l phone : 514 933-4441 ou 1 888 M DECIN T l copieur : 514 933-3112 Site Web : Courriel : ditionService des communicationsGraphismeUniformR vision linguistiqueOdette LordLe pr sent document est valide dans la mesure o aucune disposition l gislative ou r glementaire l effet contraire ou incompatible n est susceptible de le modifier ou de l affecter directement ou indirectement, et ce, de quelque fa on que ce reproduction est autoris e condition que la source soit mentionn p t l gal : 1er trimestre 2016 Biblioth que et Archives CanadaBiblioth que et Archives nationales du Qu becISBN 978-2-924674-00-0 Coll ge des m decins du Qu bec, f vrier 2016 Notes : Dans cette publication , le masculin est utilis sans pr judice et seulement pour faciliter la ailleurs, pour all ger le texte, le terme sant est employ pour d signer plus largement la sant et les services sociaux.

2 COLL GE DES M DECINS DU QU BEC03 Membres du groupe de travail responsable de la mise jour de l nonc de position sur le r le du m decin de familleDR JEAN-PIERRE BOUCHERM decin de famillePr sident du groupe de travailDRE JULIE LAJEUNESSE M decin de familleVice-pr sidente du groupe de travailDR JEAN-BERNARD TRUDEAU M decin de familleSecr taire adjointColl ge des m decins du Qu becSecr taire du groupe de travailDR ARMAND AALAMIAN M decin de familleVice-doyen de l enseignement m dical des 2e et 3e cycles et des affaires professionnellesUniversit McGillDRE DOMINIQUE DESCH NES M decin de famille d sign e par le Coll ge qu b cois des m decins de famille DR MARC GIRARD M decin sp cialiste en neurologie d sign par la F d ration des m decins sp cialistes du Qu becDR BERNARD MILLETTE M decin de familleM decin-conseil la Direction g n raledu Coll ge des m decins du Qu becM.

3 PIERRE PARENT Repr sentant du publicDR CLAUDE RIVARD M decin de famille d sign par la F d ration des m decins omnipraticiens du Qu becCOLL GE DES M DECINS DU QU BEC04 Membres du groupe de travail responsable de la mise jour de l nonc de position sur le r le du m decin de familleLes PeRsonnes et oRGanismes RenContR s et/ou ayant soumis un doCumentPersonnes/organismes rencontr s : Dre Marie-Dominique Beaulieu, m decin de famille, chercheuse et professeure titulaire, D partement de m decine de famille et de m decine d urgence, Facult de m decine, Universit de Montr al M. Pierre Blain, directeur g n ral, Regroupement provincial des comit s des usagers M. Georges- mile Bourgault et M. Michel Caron, Ordre des pharmaciens du Qu bec Dre Marie-Jos e Chouinard, psychiatre, Dre Suzie Beno t, m decin de famille et Mme H l ne Brouillet, psychologue, programmes sant mentale et d pen-dance, CISSS de la Mont r gie-Est Dre Maxine Dumas Pilon, pr sidente, Coll ge qu b cois des m decins de famille Dre Diane Francoeur, pr sidente, F d ration des m decins sp cialistes du Qu bec Dr Louis Godin, pr sident, F d ration des m decins omnipraticiens du Qu bec Dr Antoine Groulx, m decin de famille, directeur de l organisation des services de premi re ligne int gr s, Minist re de la Sant et des Services sociaux Dre Yun Jen, pr sidente, Association m dicale du Qu bec Dr Yves Langlois, m decin de famille et Dr Mauril Gaudreault, m decin de famille.

4 Comit directeur des activit s m dicales partageables, Coll ge des m decins du Qu bec Dre Paule Lebel, m decin sp cialiste en sant publique et m decine pr ventive, codirectrice de la Direction collaboration et partenariat patient, professeure agr g e, Facult de m decine, Universit de Montr al Dr Jean Pelletier et Dre Luce P lissier-Simard, repr sentants des directeurs des quatre d partements de m decine de famille/m decine d urgence du Qu bec et des quatre programmes de r sidence en m decine de famille du Qu bec Dr Claude Rivard, m decin de famille, et Mme Julie C t , gestionnaire, Clinique familiale des Hauts-Bois Dre Andr anne Roy et Dr Philippe Karazivan, chercheurs, respectivement l Universit de Sherbrooke et l Universit de Montr al, ayant r alis des tudes autour des enjeux touchant la pratique des jeunes m decins de familleCOLL GE DES M DECINS DU QU BEC05 Dr Guy-Bertin Tcheumi, Dr Ren Wittmer et Mme Genevi ve Coiteux, repr sentants de la F d ration des m decins r sidents du Qu bec tudiants/ tudiantes : Chanel B land, Universit de Montr al; Samuel Caron, Universit Laval; Roselyne Choini re, Universit de Sherbrooke; Annick Gauthier, Universit McGill, repr sentants des Groupes d int r t en m decine de famille M.

5 Robert Salois, Commissaire la sant et au bien- tre du Qu bec et Dre V ronique D ry, m decin sp -cialiste en sant publique et m decine pr ventive, commissaire adjointe aux analyses et politiques de sant et de bien- tre Mme Lucie Tremblay, pr sidente et Mme Genevi ve M nard, directrice-conseil, Direction, Affaires externes, Ordre des infirmi res et des infirmiers du Qu becPersonnes/organismes ayant soumis un document : Ordre des ergoth rapeutes du Qu bec Ordre des psychologues du Qu bec Ordre des travailleurs sociaux et des th rapeutes conjugaux et familiaux du Qu bec Ordre professionnel de la physioth rapie du Qu bec Ordre professionnel des di l tistes du Qu bec Ordre professionnel des inhaloth ra-peutes du Qu bec Membres du groupe de travail responsable de la mise jour de l nonc de position sur le r le du m decin de famille Table des mati res07/ChaPitRe 1 Le contexte des travaux du groupe de travail sur le r le du m decin de famille08/ ChaPitRe 2 Affirmations pour une premi re ligne forte de l expertise du m decin de famille10/ ChaPitRe 3 Les attentes et les besoins en sant des citoyens et citoyennes du Qu bec 12/ ChaPitRe 4 Les d fis des soins et services de sant de premi re

6 ligne au Qu bec15/ChaPitRe 5 Le m decin de famille au Qu bec : r les et enjeux21/ChaPitRe 6 Le travail en quipe interprofessionnelle : une richesse et une n cessit 27/ChaPitRe 7 Des mod les de pratique de premi re ligne performants : les facteurs de succ s35/ChaPitRe 8 La m decine de famille et les m decins de famille : recrutement, formation, recherche et soutien la pratique40/ ChaPitRe 9 Pour une premi re ligne de soins et de services de sant forte : des actions multicibles requises43/ ChaPitRe 10 La liste des affirmations et des recommandations49/ des R f RenCes ComPL mentaiResCOLL GE DES M DECINS DU QU BEC7 Chapitre 1/ Le contexte des travaux du groupe de travail sur le r le du m decin de familleLa mission du Coll ge des m decins du Qu bec (le Coll ge) est de veiller ce que les citoyens du Qu bec puissent compter sur une m decine de qualit au service du 2005, le Coll ge publiait un nonc de position sur le r le du m decin de famille1.

7 L automne 2014, dans un contexte d volution des pratiques inter-professionnelles, le Coll ge d veloppait un cadre d analyse pour valuer les demandes de partage d activit s m dicales. Ce cadre rendait n cessaire une r vision de l nonc de 2005 sur le r le du m decin de famille. la suite de cette d cision et sans relation de cause effet, le monde de la sant et des services sociaux au Qu bec a travers une p riode d intenses d bats en 2015 avec le d p t de plusieurs projets de loi visant notamment transformer la pratique des m decins. Dans ce contexte, les d fis de la m decine de famille seront grandissants, ce qui confirme la n cessit de revoir l nonc de position du Coll ge sur le r le du m decin de Coll ge des m decins du Qu bec (2005). Le m decin de famille : un r le essentiel GE DES M DECINS DU QU BEC8 Chapitre 2/ Affirmations pour une premi re ligne2 forte de l expertise du m decin de familleLe Coll ge d clare d s maintenant que les affirmations qui suivent, en pr lude au pr sent nonc , sont incontournables pour pr tendre une premi re ligne forte de l expertise du m decin de famille.

8 Ces affirmations sont la fois la fondation et le ciment des recommandations qui Le terme premi re ligne se r f re la premi re ligne de soins et services sociaux accessible directement au citoyen. Les soins plus sp cialis s, dits de deuxi me et de troisi me lignes, sont habituellement accessibles la suite de l'intervention en premi re ligne . 3 Voir la fin de l nonc la liste compl te des affirmations et no 1 Comme le d montrent de nombreuses tudes, recherches et donn es probantes, un syst me public de sant et de services sociaux fort, perfor-mant, accessible et viable doit s appuyer sur une premi re ligne robuste de soins et de services o le m decin de famille doit jouer un r le primordial. Ainsi, par souci de qualit , d efficacit , d efficience et de consolidation, les ressources et le financement doivent tre orient s en cons no 23 Les m decins (toutes sp cialit s confondues) partagent collectivement la responsabilit sociale de r pondre aux besoins en soins et services de sant de la communaut o ils exercent, et ils doivent adapter leur pratique aux besoins locaux (p.)

9 Ex. : accessibilit en temps opportun pour soins aigus et suivis de client le), et ce, dans la mesure des moyens dont ils disposent. Par cons quent, la complicit du tandem m decin de famille m decin sp cialiste doit tre troite, efficace et se traduire par un acc s convivial et privil gi .COLL GE DES M DECINS DU QU BEC9affiRmation no 3 Les citoyens du Qu bec doivent pouvoir, s ils le d sirent, s inscrire aupr s d un m decin de famille et tre vus en temps opportun par celui-ci ou par un professionnel de l quipe laquelle il no 4La mission premi re du m decin de famille est d accepter la responsabilit du suivi long terme des patients en premi re ligne (p. ex. : promotion de la sant , soins pour malaises aigus, suivi des maladies chroniques).affiRmation no 5La forte polyvalence individuelle de tr s nombreux m decins de famille qu b cois, qui sont la fois pr sents en suivi de client le et en deuxi me ligne de soins constitue une valeur ajout no 6La formation du m decin de famille, la fois en sciences biologiques et en sciences humaines, ainsi que sa pratique polyvalente en premi re ligne le placent comme l intervenant cl , le leader int grateur et le chef d orchestre de l quipe de soins de premi re ligne .

10 Il est le professionnel de la sant le plus apte tablir avec les patients, gr ce au partage et l int gration des informations des autres membres de l quipe de soins, une vision globale de leur tat de sant , coordonner leurs plans de soins et, si requis, contribuer les orienter dans le syst me de soins et de services de sant .affiRmation no 7La valorisation de la m decine de famille au sein de la soci t doit faire l objet d actions concr tes, compte tenu de son importance pour une premi re ligne forte . Tous les propos l encontre de cette valorisation de la m decine de famille, peu importe le milieu (enseignement, formation, pratique), doivent tre d nonc s rapidement et des actions doivent tre entreprises imm diatement pour les faire GE DES M DECINS DU QU BEC10 Chapitre 3/ Les attentes et les besoins en sant des citoyens et citoyennes du Qu becLa consultation men e par le Coll ge de m me que la litt rature scientifique identifient plusieurs attentes, constats et besoins jug s prioritaires en lien avec la m decine de ACCESSIBILIT AUx SOINS ET SERVICES DE SANT : LE CRI DU C UR!


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