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NEVROSES ET PSYCHOSES - Psycha Analyse

Lydia FERNANDEZ Deug 1 NEVROSES ET PSYCHOSES 1- LA NOTION DE 2- LA 3 3 LES SIGNES CLINIQUES DE LA 4 LE DIAGNOSTIC DE LA 5 GENESE ET EVOLUTION DE LA STRUCTURE 6 LES PRINCIPAUX MECANISMES DE DEFENSE DE LA LE 7 LE 7 LA 7 LA 7 L 7 L 7 L 7 LA FORMATION 8 3- LES DIFFERENTS TYPES DE NEVROSES .. 8 LA NEVROSE HYSTERIQUE (NH) .. 9 LA NEVROSE PHOBIQUE (NP) .. 10 LA NEVROSE OBSESSIONNELLE (NO).. 11 4- AUTRES TROUBLES NEVROTIQUES .. 12 L 12 LA 12 INHIBITION 12 PSYCHASTHENIE ET 12 ETATS SITUATIONNELS ET REACTIONNELS D EXPRESSION 12 TROUBLES NEVROTIQUES CHEZ L 12 5- LA 13 DEFINITION ET 13 GENESE ET EVOLUTION DE LA STRUCTURE 13 LES PRINCIPAUX MECANISMES DE DEFENSE DE LA 13 LE 13 L IDENTIFICATION 13 LE 14 LE DEDOUBLEMENT DU 14 6- LES DIFFERENTES PSYCHOSES .. 14 LES PSYCHOSES AIGU 14 Lydia FERNANDEZ Deug PSYCHOSES DELIRANTES AIGU S OU BOUFFEES 14 LES PSYCHOSES 15 PSYCHOSES 15 LA SCHIZOPHRENIE (S).

Concernant la définition de la névrose, la publication du Manuel Diagnostique et Statistique de Troubles Mentaux (DSM, version IV actuellement) a marqué une nette rupture avec les ... Classification freudienne (Fénichel, 1945) Classification du DSM Névroses actuelles en rapport avec un événement contemporain

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  Classification, Statistique, Nervose, Psychoses, Nevroses et psychoses

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1 Lydia FERNANDEZ Deug 1 NEVROSES ET PSYCHOSES 1- LA NOTION DE 2- LA 3 3 LES SIGNES CLINIQUES DE LA 4 LE DIAGNOSTIC DE LA 5 GENESE ET EVOLUTION DE LA STRUCTURE 6 LES PRINCIPAUX MECANISMES DE DEFENSE DE LA LE 7 LE 7 LA 7 LA 7 L 7 L 7 L 7 LA FORMATION 8 3- LES DIFFERENTS TYPES DE NEVROSES .. 8 LA NEVROSE HYSTERIQUE (NH) .. 9 LA NEVROSE PHOBIQUE (NP) .. 10 LA NEVROSE OBSESSIONNELLE (NO).. 11 4- AUTRES TROUBLES NEVROTIQUES .. 12 L 12 LA 12 INHIBITION 12 PSYCHASTHENIE ET 12 ETATS SITUATIONNELS ET REACTIONNELS D EXPRESSION 12 TROUBLES NEVROTIQUES CHEZ L 12 5- LA 13 DEFINITION ET 13 GENESE ET EVOLUTION DE LA STRUCTURE 13 LES PRINCIPAUX MECANISMES DE DEFENSE DE LA 13 LE 13 L IDENTIFICATION 13 LE 14 LE DEDOUBLEMENT DU 14 6- LES DIFFERENTES PSYCHOSES .. 14 LES PSYCHOSES AIGU 14 Lydia FERNANDEZ Deug PSYCHOSES DELIRANTES AIGU S OU BOUFFEES 14 LES PSYCHOSES 15 PSYCHOSES 15 LA SCHIZOPHRENIE (S).

2 15 LES FORMES CLINIQUES DE LA 16 LA SCHIZOPHRENIE 16 L 16 L HEBEPHRENIE 16 LA S PARANO 16 L HEBEDO 16 LES FORMES FRONTIERES DE LA 16 SCHIZOPHRENIE 16 LES PSYCHOSES SCHIZO-AFFECTIVES OU SCHIZOPHRENIES 16 PSYCHOSES DELIRANTES 16 LES DELIRES CHRONIQUES SYSTEMATISES OU DELIRES PARANO AQUES OU PARANO 17 LES DIFFERENTS TYPES DE DELIRES PARANO 17 LE DELIRE D 17 LE DELIRE DE RELATION OU DELIRE DE 17 LES DELIRES PASSIONNELS (EROTOMANIAQUE ET DE JALOUSIE) .. 17 LES PSYCHOSES HALLUCINATOIRES 18 LES 18 LES PSYCHOSES 19 LA PSYCHOSE MANIACO-DEPRESSIVE (PMD) .. 19 TROUBLES PSYCHOTIQUES SECONDAIRES A DES AFFECTIONS 19 20 NEVROSES ET PSYCHOSES 1- LA NOTION DE STRUCTURE Pour Bergeret (1986), les deux termes de n vrose ou de psychose s emploient galement de fa on habituelle pour d signer une maladie, c est dire l tat de d compensation visible auquel est arriv e une structure par la suite d une inadaptation de l organisation profonde et fixe du sujet des circonstances nouvelles, int rieures, devenues plus puissantes que les moyens de d fense dont il dispose.

3 Si le diagnostic est pos correctement en tenant compte des signes cliniques (symptomatologie) et des donn es conomiques profondes, l emploi des termes n vrose ou psychose est l gitime dans la mesure o il se r f re la structure authentique du patient. Pourquoi parler de structure ? Freud dans ses Nouvelles Conf rences sur la Psychanalyse (1933) explique que si nous laissons tomber sur le sol un bloc de cristal, il se brise mais pas de fa on quelconque ; les cassures bien qu invisibles ext rieurement jusque-l sont d j d termin es de fa on originale et immuable par le mode de structure pr alable du cristal. Il en serait de m me pour la structure psychique. Peu peu, partir de la naissance (et sans doute avant), en fonction de l h r dit mais surtout du mode de relation aux parents d s les tout premiers moments de la vie, des frustrations, des traumatismes et des conflits rencontr s, en fonction aussi des m canismes de d fense, le psychisme individuel s organise, se cristallise, tout comme le cristal min ral, avec des lignes de clivage ne pouvant plus varier par la suite.

4 On aboutirait ainsi une v ritable structure stable dont les deux mod les sont repr sent s par la structure n vrotique et la structure psychotique. Tant qu un sujet r pondant l une ou Lydia FERNANDEZ Deug 3l autre structure n est pas soumis de trop fortes preuves int rieures ou ext rieures, des traumatismes affectifs, des frustrations ou des conflits trop intenses. Il ne sera pas malade pour autant. Le cristal tiendra bon. Si la suite d un v nement quelconque, le cristal vient se briser, le sujet de structure n vrotique d veloppera une n vrose et le sujet de structure psychotique une psychose. Un sujet n vrotique correctement trait et soign se retrouvera en bonne sant en tant que structure n vrotique compens e. Un sujet psychotique se retrouvera en tant que structure psychotique compens e. La stabilit des structures implique une impossibilit de passer de la structure n vrotique la structure psychotique partir du moment o le Moi est organis dans un sens ou dans l autre.

5 Dans la structure n vrotique, l l ment immuable demeure l organisation du Moi autour du g nital et de l dipe. Le conflit se situe entre le Moi et les pulsions, le m canisme de d fense du refoulement domine ; la libido objectale se trouve en cause et le processus secondaire conserve un r le efficace respectant la r alit . Dans la structure psychotique, au contraire, le d ni porte sur toute une partie de la r alit , c est la libido narcissique qui domine, le processus primaire l emporte avec son caract re imp rieux, imm diat, automatique. L objet est fortement investi (fusionnel) et il appara t tout un ventail de m canismes de d fense archa ques co teux pour le Moi. En psychopathologie, il n existe pas que la structure n vrotique et psychotique. Une autre organisation est d crite comme occupant une place interm diaire entre la structure n vrotique et psychotique, il s agit de l organisation tat-limite. La position interm diaire veut dire ici situation nosologique proche de l une ou des deux autres structures tout en demeurant sp cifique.

6 Elle se pr sente comme une organisation plus fragile que les deux autres structures et non comme fixe et irr versible. N tant pas fig e et non r ellement structur e, elle peut se cristalliser d finitivement dans l un des cadres voisins et plus solides constitu s par la lign e n vrotique ou par la lign e psychotique. Ce qui domine dans l organisation tat-limite, c est l Id al du Moi, un choix d objet anaclitique, l existence d un type libidinal narcissique sans Surmoi compl tement constitu , o l essentiel du conflit post-oedipien ne se situe pas dans une opposition entre le Moi et le Surmoi. 2- LA NEVROSE D finitions est une maladie de la personnalit caract ris e par des conflits intra-psychiques qui transforme la relation du sujet son environnement social en d veloppant des sympt mes sp cifiques en lien avec les manifestations de son angoisse (M n chal, 1999). Cette d finition met l accent sur 4 l ments centraux qui se retrouvent dans toutes les n vroses : 1) la notion de maladie de la personnalit qui est en fait un trouble psychique moins grave que la psychose.

7 Les troubles psychiques du n vros sont subjectifs. 2) La dimension du conflit int rieur caract rise le fonctionnement psychique du n vros . Ce conflit int rieur1caract rise le fonctionnement psychique du n vros du n vros . Enfin, la sp cificit du sympt me mis en avant par le n vros r pond une angoisse particuli re. Le champ de gravit des n vroses se d finit de fa on diff rentielle par rapport aux autres champs de la psychopathologie la fois par le degr de gravit , par l organisation interne laquelle elle conduit pour le sujet n vros et par la relation que celui-ci entretient avec l environnement. La n vrose d note la pr sence d une situation permanente de conflit s opposant l quilibre du sujet et source de souffrance. Elle t moigne d une solution pour faire face aux difficult s que rencontre le sujet dans sa relation au monde ext rieur. Ses effets se traduisent par 3) des sympt mes qui sont des traits d union entre le sujet et le monde, en relation ambivalente avec 4) l angoisse.

8 1 conflit pathologique et chronique, partiellement li l tat d environnement. Lydia FERNANDEZ Deug 4 Concernant la d finition de la n vrose, la publication du Manuel Diagnostique et statistique de Troubles Mentaux (DSM, version IV actuellement) a marqu une nette rupture avec les classifications issues de la psychopathologie psychanalytique. Elle se centre sur des points de vue th rapeutiques et pathog niques nouvelles en rattachant phobies et obsessions aux troubles anxieux. Ce qui est important ici, c est la disparition de termes comme maladie ou r action qui sont remplac s par d sordre et trouble. classification freudienne (F nichel, 1945) classification du DSM N vroses actuelles en rapport avec un v nement contemporain N vroses de transfert en rapport avec les d fenses contre l angoisse Troubles anxieux ( tats n vrotiques anxieux ou phobiques) qui comprennent : Troubles somatoformes qui comprennent : N.

9 Post-traumatique N. li es aux difficult s sexuelles N. d angoisse Neurasth nie Hypocondrie N. Hyst rique ou hyst rie de conversion N. phobique ou hyst rie d angoisse N. Obsessionnelle Troubles paniques avec ou sans agoraphobie Agoraphobie sans trouble panique Phobie sociale Troubles obsessionnels compulsifs Etat de stress post-traumatique Anxi t g n ralis e Troubles anxieux non sp cifi s Peur d une dysmorphie corporelle Trouble de conversion ou N. hyst rique de type conversif Hypocondrie ou N. hypocondriaque Somatisation Troubles somatoformes : douloureux, indiff renci s, non sp cifi s Ces d finitions relatives aux n vroses sont actuellement descriptives et symptomatiques. Seront dits n vrotiques les troubles qui, sans tiologie organique d celable sont ressentis par le sujet comme ind sirables et trangers lui-m me, sans qu il y ait perturbation s rieuse ou durable du sens de la r alit ou du sentiment de l identit.

10 Les signes cliniques de la n vrose La proximit de la n vrose et de la normalit rend difficile une syst matisation de ses signes cliniques. Six l ments sont toutefois pr sents dans chaque tableau n vrotique : 1) des difficult s relationnelles : le motif de la consultation du n vros peut tre une plainte contre sa hi rarchie professionnelle, probl mes familiaux, de couple, de relations ses enfants, ses amis ou aux autres. Maltrait , incompris, brim , intimid , inhib , .., le n vros t moigne d une vive sensibilit la relation aux autres dont il ne peut admettre les in vitables variations. Cette sensibilit en fait un tre difficile vivre, ce qui tend objectiver des propres sentiments. Il est en conflit avec son environnement qui le per oit caract riel , d humeur instable et intol rant. Ses traits de caract re sont dissimul s derri re une couverture sociale protectrice : son humeur agressive est transform e en provocation, en s duction, en causticit ou en ironie.


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