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Recommandations Formalisées d’Experts - Accueil …

Recommandations Formalis es d Experts Actualisation de Recommandations Antibioprophylaxie en chirurgie et m decine interventionnelle. (patients adultes) 2017 Comit de pilotage Soci t fran aise d anesth sie et de r animation C. Martin (coordonnateur) C. Auboyer M. Boisson H. Dupont D. Fletcher R. Gauzit M. Kitzis M. Leone A. Lepape O. Mimoz P. Montravers Pourriat Charg s de bibliographie C. Gakuba R. Bernard Avec la collaboration des soci t s savantes suivantes Soci t fran aise de chirurgie orthop dique et traumatologique Dr.

Recommandations Formalisées dExperts Actualisation de recommandations Antibioprophylaxie en chirurgie et médecine interventionnelle. (patients adultes)

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1 Recommandations Formalis es d Experts Actualisation de Recommandations Antibioprophylaxie en chirurgie et m decine interventionnelle. (patients adultes) 2017 Comit de pilotage Soci t fran aise d anesth sie et de r animation C. Martin (coordonnateur) C. Auboyer M. Boisson H. Dupont D. Fletcher R. Gauzit M. Kitzis M. Leone A. Lepape O. Mimoz P. Montravers Pourriat Charg s de bibliographie C. Gakuba R. Bernard Avec la collaboration des soci t s savantes suivantes Soci t fran aise de chirurgie orthop dique et traumatologique Dr.

2 Emmanuel de Thomasson Pr. Franck Fitoussi Soci t fran aise de neurochirurgie Professeur C dric Barrey Soci t fran aise et francophone de chirurgie de l ob sit Docteur Lionel Rebibo Soci t fran aise de stomatologie chirurgie maxillo-faciale et chirurgie orale Professeur Laurent Guyot Soci t fran aise d hygi ne hospitali re Professeur Anne-Marie Rogues Docteur Olivia Keita-Perse Soci t de chirurgie vasculaire et endovasculaire Xavier Berard Soci t de pathologie infectieuse de langue fran

3 Aise Eric Bonnet Soci t de chirurgie thoracique et cardiovasculaire de langue fran aise Dominique Grisoli Marco Alifano Association fran aise d urologie Jean-Dominique Doublet F d ration fran aise de chirurgie visc rale et digestive Professeur Fr d ric Borie Soci t fran aise d ophtalmologie Professeur Gilles Renard Coll ge national des gyn cologues et obst triciens fran ais Philippe Judlin Soci t fran aise de radiologie Vincent Vidal Soci t fran aise de chirurgie plastique reconstructrice et esth tique Docteur Jean-Pierre Reynaud Professeur Jean-Louis Grolleau Soci t fran aise oto-rhino-laryngologie et de la chirurgie de la face et du cou Professeur B atrix Barry Texte valid par le Conseil d'Administration de la SFAR (29/06/2017) Pr ambule L infection est un risque pour toute intervention et, par exemple, en chirurgie l on retrouve des bact ries pathog nes dans plus de 90 % des plaies op ratoires, lors de la fermeture.

4 Ceci existe quelle que soit la technique chirurgicale et quel que soit l environnement (le flux laminaire ne supprime pas compl tement ce risque). Ces bact ries sont peu nombreuses mais peuvent prolif rer. Elles trouvent dans la plaie op ratoire un milieu favorable (h matome, isch mie, modification du potentiel d oxydor ) et l intervention induit des anomalies des d fenses immunitaires. En cas d implantation de mat riel tranger le risque est major . L objectif de l antibioprophylaxie (ABP) est de s opposer la prolif ration bact rienne afin de diminuer le risque d infection du site de l intervention.

5 La consultation pr op ratoire repr sente un moment privil gi pour d cider de la prescription d une ABP. Il est possible d y d finir le type d intervention pr vu, le risque infectieux qui s y rapporte (et donc la n cessit ou non d une ABP), le moment de la prescription avant l intervention et d ventuels ant c dents allergiques pouvant modifier le choix de la mol cule antibiotique s lectionn e. Rationnel de la RFE Depuis 1992 la Sfar a tabli et r guli rement actualis des Recommandations pour encadrer la prescription de l ABP en chirurgie et en m decine interventionnelle pour les patients adultes.

6 Les derni res Recommandations ont t tablies en 2010 et font l objet d une actualisation en fonction des donn es de la litt rature publi es depuis cette date. Une recherche bibliographique exhaustive des articles pertinents a t effectu e sur les banques de donn es disponibles : La base fran aise d valuation en sant ( ) ; La National Guideline Clearinghouse am ricaine ( ) ; La biblioth que Lemanissier en France ( ) ; La Cochrane Library ( ); La base de donn es PUBMED ( ). Les mots cl s utilis s taient : antibioprophylaxie, prophylaxie antibiotique, chirurgie, radiologie interventionnelle, infection postop ratoire, antibiotic prophylaxis, perioperative antibiotics, surgery, interventional radiology, postoperative infection.

7 1. M thodologie Introduction g n rale sur la m thode GRADE La m thode de travail utilis e pour l laboration de ces Recommandations est la m thode GRADE . Cette m thode permet, apr s une analyse quantitative de la litt rature, de d terminer s par ment la qualit des preuves, et donc de donner une estimation de la confiance que l on peut avoir de l analyse quantitative et un niveau de recommandation. La qualit des preuves est r partie en quatre cat gories : haute : les recherches futures ne changeront tr s probablement pas la confiance dans l estimation de l effet; mod r e : les recherches futures changeront probablement la confiance dans l estimation de l effet et pourraient modifier l estimation de l effet lui-m me.

8 Basse : les recherches futures auront tr s probablement un impact sur la confiance dans l estimation de l effet et modifieront probablement l estimation de l effet lui-m me; tr s basse : l estimation de l effet est tr s incertaine; L analyse de la qualit des preuves est r alis e pour chaque crit re de jugement puis un niveau global de preuve est d fini partir de la qualit des preuves des crit res cruciaux. La formulation finale des Recommandations est toujours binaire: soit positive soit n gative et soit forte soit faible: forte : il est recommand de faire ou ne pas faire (GRADE 1+ ou 1-); faible : il est probablement recommand de faire ou de ne pas faire (GRADE 2+ ou 2-); La force de la recommandation est d termin e en fonction de quatre facteurs cl s et valid e par les experts apr s un vote, en utilisant la m thode GRADE Grid : estimation de l effet.

9 Le niveau global de preuve: plus il est lev , plus probablement la recommandation sera forte; la balance entre effets d sirables et ind sirables: plus celle-ci est favorable, plus probablement la recommandation sera forte; les valeurs et les pr f rences: en cas d incertitude ou de grande variabilit , plus probablement la recommandation sera faible; ces valeurs et pr f rences doivent tre obtenues au mieux aupr s des personnes concern es (patient, m decin, d cisionnaire); co ts: plus les co ts ou l utilisation des ressources sont lev s, plus probablement la recommandation sera faible.

10 Pour faire une recommandation, au moins 50% des participants ont une opinion et moins de 20% pr f rent la proposition contraire ; pour faire une recommandation forte au moins 70% des participants sont d accord. Si les experts ne disposent pas d tudes traitant pr cis ment du sujet, ou si aucune donn e sur les crit res principaux n existe, aucune recommandation ne sera mise. Un avis d experts pourra tre donn tout en le diff renciant clairement des Recommandations .


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