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TEXTE COURT - SFMU

_____ Conf rence de Consensus : Prise en charge des plaies aux urgences TEXTE COURT Copyright@ sfmu 2005 : Tous droits r serv s ISoci t Francophone de M decine d Urgence 12 me CONFERENCE DE CONSENSUS Clermont-Ferrand 2 d cembre 2005 12 mePrise en charge des plaies aux Urgences TEXTE COURT JURY DU CONSENSUS Pr sident : Gilles Potel (Nantes) Anne Bottet-Mauloubier (Romagnat) Soazick Broegg (Cr teil) Claudine Buffet (Draguignan) Yves Hansmann (Strasbourg) Didier Honnart (Dijon) Thierry Jacquet-Francillon (Bourg-en Bresse) Jacky Laulan (Chambray-les-Tours) Jean-Marc Le Gac (Quimperle) Christophe Lesca (Le Chesnay) V ronique Molina (Kremlin-Bic tre) Fabrice Pacchioni (Gap) Christophe Perrier (Clermont-Ferrand) Nicolas Schreyer (Lausanne - Suisse) Brigitte Tequi (Nant)

Conférence de Consensus : Prise en charge des plaies aux urgences – texte court – Copyright@SFMU 2005 : Tous droits réservés III • les soins immédiats :

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1 _____ Conf rence de Consensus : Prise en charge des plaies aux urgences TEXTE COURT Copyright@ sfmu 2005 : Tous droits r serv s ISoci t Francophone de M decine d Urgence 12 me CONFERENCE DE CONSENSUS Clermont-Ferrand 2 d cembre 2005 12 mePrise en charge des plaies aux Urgences TEXTE COURT JURY DU CONSENSUS Pr sident : Gilles Potel (Nantes) Anne Bottet-Mauloubier (Romagnat) Soazick Broegg (Cr teil) Claudine Buffet (Draguignan) Yves Hansmann (Strasbourg) Didier Honnart (Dijon) Thierry Jacquet-Francillon (Bourg-en Bresse) Jacky Laulan (Chambray-les-Tours) Jean-Marc Le Gac (Quimperle) Christophe Lesca (Le Chesnay) V ronique Molina (Kremlin-Bic tre) Fabrice Pacchioni (Gap) Christophe Perrier (Clermont-Ferrand) Nicolas Schreyer (Lausanne - Suisse) Brigitte Tequi (Nantes) COMMISSION DU CONSENSUS Fran oise Carpentier (Grenoble)

2 Agn s Ficarelli (Bry-sur-Marne) Eric Jehle (Clermont-Ferrand) Fr deric Joye (Carcassonne) Patrick Lebrin (Bry-sur-Marne) Philippe Lestavel (Henin-Beaumont) COMIT SCIENTIFIQUE Benoit Coudert (Meulan) Philippe Laffargue (Lille) GROUPE DE BIBLIOGRAPHIE St phane Bohbot (Meulan-les-Mureaux) St phane Boizat (Clermont-Ferrand) G rard Jankowiak (Henin-Beaumont) G rald Kierzek (Paris) Marc Lelercq (Henin-Beaumont) David Mouriesse (Bourg-en-Bresse) Martin Naessens (Lyon) Nicolas Sedillot (Bourg en Bresse) Fabienne Vaysse (Clermont-Ferrand) Val rie Verger (Mulhouse) COMIT D ORGANISATION Fran oise Carpentier (Grenoble) Agnes Ficarelli (Bry-sur-Marne) Eric Jehle (Clermont-Ferrand) Fr deric Joye (Carcassonne) Patrick Lebrin (Bry-sur-Marne) Philippe Lestavel (Henin-Beaumont) Jeannot Schmidt (Clermont-Ferrand) GROUPE BIBLIOGRAPHIQUE St phane Bohbot (Meulan-les-Mureaux) St phane Boizat (Clermont-Ferrand) G rard Jankowiak (Henin-Beaumont) G rald kierzek (Paris) Marc Leclercq (Henin-Beaumont) David Mouriesse (Bourg-en-Bresse)

3 Martin Naessens (Lyon) Nicolas Sedillot (Bourg-en-Bresse) Fabienne Vaysse (Clermont-Ferrand) Val rie Verger (Mulhouse) EXPERTS DE LA CONFERENCE DE CONSENSUS Isabelle Barthelemy (Clermont-Ferrand) Christian Bastin (Gilly - Belgique) Thierry Begue (Bobigny) G rard Bleichner (Argenteuil) Jean-Pierre Bru (Annecy) Jean-Louis Ducass (Toulouse) Jean Hardwigsen (Marseille) Eric Jehle (Clermont-Ferrand) Jacques Kopferschmitt (Strasbourg) Florence Laporte (Bry-sur-Marne) Fran ois Moutet (Grenoble) Marc Prevel (Rueil-Malmaison) Maurice Raphael (Montfermeil) Mohamed Rtaimate (Lesquin) Michel Scepi (Poitiers) Jean-Philippe Steinmetz (Strasbourg) Ousmane Traore (Clermont-Ferrand) Bernard Vermeulen (Geneve- Suisse) AVEC L AIMABLE PARTICIPATION DES PARTENAIRES DU CONSENSUS SOFCOT : Pr.

4 Nordin Soci t Fran aise et Francophone des Plaies et Cicatrisations : Dr. Meaume Soci t Fran aise de Chirurgie de la Main : Pr. Masquelet Soci t Fran aise de Stomatologie et Chirurgie Maxillo-Faciale : Pr. Blanc Soci t Fran aise d Anesth sie et R animation : Pr. Marty (Pr sident) - Pr. Eledjam (Pr sident du Comit des R f rentiels Cliniques) SAMU de France : Dr. Giroud Soci t de Pathologie Infectieuses de Langue Fran aise : Pr. Stahl APNET : Pr. Hillon _____ Conf rence de Consensus : Prise en charge des plaies aux urgences TEXTE COURT Copyright@ sfmu 2005 : Tous droits r serv s IIINTRODUCTION : Donn es pid miologiques et physiopathologie Une plaie se d finit comme une effraction de la barri re cutan e par un agent vuln rant, survenant par coupure, crasement ou abrasion.

5 Les plaies repr sentent environ 13% des admissions au service des urgences, les situant dans les tous premiers rangs des motifs de recours, et int ressent principalement la t te, le membre sup rieur, et le membre inf rieur. Cette conf rence ne concerne ni les br lures ni les plaies chroniques. La prise en charge d une plaie a pour but de favoriser la cicatrisation et d en limiter les cons quences esth tiques. Le traitement optimal suppose que l urgentiste ma trise parfaitement l tape diagnostique initiale, les techniques anesth siques et de sutures utilisables en dehors du bloc op ratoire.

6 L analyse du m canisme l sionnel, le si ge de la blessure, les signes cliniques initiaux et les donn es de l exploration de la plaie devront aboutir une programmation des soins faisant appel au sp cialiste chaque fois que n cessaire. La prise en charge initiale d une plaie r pond donc des exigences extr mement variables tenant compte du terrain, de la localisation de la blessure et de son m canisme. Sa qualit conditionne pour une large part l volution ult rieure. QUESTION 1 : QUEL ACCUEIL INITIAL ET QUELLE EVALUATION DOIVENT ETRE REALISES A L ADMISSION ?

7 L accueil initial est assur par l Infirmier(e) Organisateur (trice) de l Accueil (IOA). Sa fonction dans la prise en charge des plaies est centr e sur : l valuation et la priorisation : En l absence d chelle de tri sp cifique, le d lai d attente et l orientation du bless sont d termin s par des l ments de gravit imm diate ou potentielle engageant le pronostic vital ou fonctionnel : m canisme et si ge de la plaie, existence de signes de d tresse vitale et EVA : toute plaie p n trante (arme blanche ou arme feu) doit faire redouter des l sions sous-jacentes.

8 Toute plaie en regard d un axe vasculo-nerveux ou d un organe vital comporte des risques sp cifiques ; ainsi une douleur persistante en aval d une plaie de membre doit faire redouter une isch mie aigu (membre froid, abolition d un ). les donn es de l interrogatoire : M canisme et heure du traumatisme, ant c dents, traitement en cours, VAT et produits d j appliqu s sur la plaie. _____ Conf rence de Consensus : Prise en charge des plaies aux urgences TEXTE COURT Copyright@ sfmu 2005 : Tous droits r serv s III les soins imm diats : Administration d antalgiques, lavage de la plaie et pansement sommaire.

9 La surveillance r guli re des param tres vitaux doit tre adapt e en fonction des l ments de priorisation. Les l ments de gravit , les donn es de l interrogatoire et les soins imm diats vont permettre l IOA d valuer le degr d urgence (P1, P2, P3, P4). Une fiche standardis e pour le recueil sp cifique des donn es n cessaires la prise en charge des plaies par l IOA est propos e en annexe du TEXTE long. QUESTION 2 : QUELS DOIVENT ETRE L ORGANISATION ET L AMENAGEMENT DES LOCAUX ?

10 Opter pour des salles polyvalentes n exclut pas de consacrer une salle des gestes techniques. Dans tous les cas, la suture en salle d urgence vitale doit tre possible. Les enfants doivent b n ficier d une prise en charge sp cifique dans des locaux d di s (Grade C). Une source d clairage mobile et orientable est indispensable (Grade A). Tout service doit disposer de locaux adapt s l usage du m lange quimolaire oxyg ne/protoxyde d azote (MEOPA) (Grade A). Le mobilier doit permettre une installation confortable du malade et du m decin (accord professionnel).


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